En Toute Sensualité

Deux corps entrelacés, sans peur de la nudité, juste le plaisir de s'offrir aux plaisirs de la chaire. Deux corps entremêlés, en toute sensualité, qui s'animent et cherchent à se plaire. Une danse érotique, un ballet de volupté, nul vice, ni malice, c'est un univers de douceur et de féminité. Deux âmes qui se connectent, deux êtres qui s'éveillent, s'ouvrent à mille et une merveilles. Une toile harmonieuse, œuvre d'art sulfureuse, de deux corps aux courbes délicieuses qui s'enchevêtrent. M.C.

Quel délice cette eau chaude qui sur ma peau glisse. Un doux supplice, comme une caresse sur mes courbes, mon calice. Alors que perlent et ruissellent les eaux du ciel, je savoure sans vergogne, les sensations exquises qui me parcours, me dévorent. Les yeux clos, je me laisse envahir par ce palpitant désir qui l'anime, je me laisse envoûter, par les sons de l'eau qui coule, mes petits gémissements d'envie, mes soupirs épris... Sur la paroi, la buée se forme et mes formes s'appliquent en douceur, mes fesses ici forment un cœur, mes mains comme des griffes, laissent sur la vitre les marques de mon âme féline... M.C.

Sous un doux soleil d'été, je me pavane, dans mon monde, ma sensualité. Sur ma peau les rayons jouent et dansent, laissant la douce marque de leur passage. Saisissant du bout des doigts la dentelle de ma lingerie fine, je joue amusée avec les ombres qui s'esquissent sur ma peau bronzée. Des fleurs et des volutes sur mon bas ventre prennent vie et éveillent mes envies. M.C.

Voici sous les traits délicats de ma féminité, révélés avec pudeur les doux secrets de mon intimité. Tableau vivant de mon être intime, toile naturelle de mon corps fragile. Tel est l'art de se mettre à nu, tout en préservant le fruit défendu. J'attise les convoitises, mais je me suis promise et demeure à ses yeux exquise.... M.C.

Huuuum... Je brûle de ce désir intense d'être prise par mon amant. Ce plaisir qui me consumme, cette envie d'être possédée, comme mise en transe par l'être aimé. Mon corps envahi par un torrent d'irrépressibles envies. Je veux m'abandonner à ses bras forts et virils, être cajolée, caressée, excitée, jusqu'à m'en rendre fébrile. Ma peau clame sa part de douceur, je sens dans ma chaire l'impatience d'être enlacée, embrassée, déboussolée. Que ce bel amant vienne de mon désir me délivrer... M.C.

Se perdre sur le Mont de Vénus, y trouver un oasis de délices. Succomber à la soif tentatrice, s'abreuver du doux nectar d'un fruit défendu. Puis patienter... Se laisser inviter à se montrer plus audacieux, plus minutieux pour le simple plaisir d'une belle ingénue. Se délecter d'un fruit sucré, gorgé de désirs, aux saveurs de plaisirs interdits... M.C.

Sous le soleil d'un bel après-midi d'été, nous voilà partis pour une nouvelle séance photo. Arrivés à notre destination, nous avons laissé la voiture à l'ombre et nous sommes mis à marcher à travers un sous bois. Le soleil qui par endroit perçait entre les feuillages laissait une lumière somptueuse. Nous avons marchés plusieurs minutes avant d'entendre au loin le son de l'eau. Nous y sommes, le bras d'une rivière perdue en pleine nature, calme et sauvage. S'avançant sur l'eau, un ponton en bois, bordé de roseaux, en surplomb, des branchages tressés. Nous avons fait quelques pas sur la berge pour trouver le meilleur endroit où s'installer. Sur l'autre rive, un canot de bois abandonné prenait l'eau. Une vieille corde effilochée retenait la barque au rivage. Le courant paraissait calme et tranquille et par endroit il ne semblait pas y avoir beaucoup de profondeur. On pouvait voir en surface comme un chemin de galets et sous la surface se devina

Allongée dans son plus simple appareil, elle s'étire et se prélasse. Nul besoin de plus d'artifice que ses attributs féminins dont elle use avec grâce et sensualité. C'est en toute simplicité, négligemment vêtue d'une étoffe légère, qu'elle sublime sa féminité. Un bout de tissu quelconque enveloppant une femme mystérieuse. C'est à leur naturel que l'on reconnaît les femmes belles et sensuelle... M.C.

Sous un voilage tout en finesse, s'esquisse une femme toute en délicatesse. Tel un tableau vivant, s'anime un corps, une âme sous un morceau d'étoffe. Toute de courbes sensuelles, une femme se dessine, divine et subtile. Sous le voilage son corps ondule, laissant son spectateur totalement incrédule. Sous l'étoffe se dévoile, l'intimité douce d'une femme impériale... M.C.

Sortie de sa délicate chrysalide, la belle déploie ses ailes. Sortie de ses dessous de soies, la belle se métamorphose. Virevoltant au soleil levant, sur sa peau satinée prend place un jeu de lumière éphémère. Doux spectacle d'un être délicat qui s'éveil, s'émerveille, butine ici et là, au gré du vent, jusqu'à ce que le crépuscule sonne le glas... M.C.