Pile ou Face...

Alors qu'à quatre pattes sur le lit elle présentait ses fesses qui n'attendaient que le moment où de mon membre viril j'allais les honorer, je me tenais debout et contemplais la vue sur ses courbes exquises. Sa belle cambrure était une délicieuse invitation à de torrides passions. Je plaçais mes mains sur ses hanches, tandis que mon sexe effleurait le sien, se glissait entre ses lèvres humides se frayant un chemin. Mes mains caressaient ses seins, alors que dans sa nuque je déposais un baiser. Elle me lança un regard pénétrant et me demanda de lui faire fougueusement l'amour. Enveloppant sa taille de mes mains, je suis entré en elle avec tendresse et vigueur. Ses seins s'entrechoquaient mollement à chacun de mes coups de reins. À chaque va et vient, elle laissait échapper un gémissement de plaisir, me demandant de lui saisir les cheveux et de me montrer plus audacieux. Je sentais son antre dégoulinant, tout son corps se crispait de désir, ses mains empoignaient les draps, sa respiration était saccadée, elle tentait d'étouffer ses gémissements d'excitation dans l'oreiller, mais son plaisir allait grandissant. C'est lors d'un énième coup de reins, qu'elle s'est recroquevillée, se crispant d'orgasme, tremblante et frissonnante. Cherchant à recouvrer son souffle et ses esprits, lâchant de profonds soupirs. Je me suis allongé près d'elle, cherchant moi aussi à reprendre mes esprits, mais le répit fût de courte durée. Elle me sourit, puis me lança : "Déjà fatigué?". 

Devais-je le prendre comme un défi, ou une simple provocation ? Je me suis donc ressaisi, l'ai allongée sur le dos, cheminant son corps de baisers jusqu'à entrouvrir ses cuisses. J'ai un instant joué de ma langue gourmande avec son sexe offert, recueillant avec délice son nectar intime. Puis je me suis agenouillé, j'ai placé ses jolies jambes sur mes épaules, ses cuisses plaquées contre mon torse, ses mains enserraient les miennes, elle fit un mouvement de bassin, frottant son sexe au mien, attendant que je vienne à nouveau franchir le seuil de son intimité en ébullition. Comme au ralenti, je suis entré de toute la longueur de mon instrument dressé, la faisait longuement soupirer d'envie. J'allais et venais au rythme de ses hanches qui ondulaient frénétiquement. Sa poitrine dansait, ses yeux se fermaient comme pour savourer la jouissance de ce ballet érotique. Ses mains aux miennes se crispaient, ses lèvres se pinçaient de plaisir. Nous jouions une douce symphonie, jusqu'au bouquet final... 

Explosion de plaisir, de sensations intenses, haletants et groggy, nous nous sommes allongés enlacés pour nous endormir rayonnants et comblés.

M.C.