Plaisir d'offrir...


Nous avons déjeuné et c'est confortablement blottis dans le canapé que nous entamons la soirée. À la télé ils diffusent 3 épisodes de ta série préférée. Le programme de la soirée semble scellé. Mais... C'était sans compter nos envies passionnées ! Le générique du premier épisode à peine achevé, sous le plaid déjà nos mains commencent à s'animer. Assis, blottis, on s'enlace et s'embrasse. Mes mains cherchent le chemin de ta peau nue, sentir ta chaleur sous mes doigts.

Tu grognes quelque peu, me disant que l'épisode est inédit, mais je dépose un baiser au creux de ta nuque, tentes de te déconcentrer. Ça y est mes mains sous tes vêtements se sont glissées, à ta peau chaude et douce enfin j'ai accès. Je continue inlassablement mes baisers sur ta peau sucrée. Ta nuque, tes trapèzes, puis tes épaules, que tu hausses et roule pour tenter de faire diversion. Mais je suis bien décidé à te donner des frissons... Mes mains glissent sur tes bras, s'invitent sur tes cuisses. Mais comme rien y fait, je change de stratégie... C'est alors que je passe ma main dans tes cheveux, remontant lentement la base de ta nuque. Et tout doucement, je te sens qui te relâche. Tu sembles trouver cela agréable et je continue ce petit massage subtil. Je sens ta respiration qui change et tes mains se mettent à me parcourir de caresses. Après quelques instants d'échange, tu te retournes, t'assois à califourchon sur moi, et tu enveloppes mon visage de tes mains douces et chaudes pour m'embrasser. Tu dessines l'ovale de mon visage de délicats baisers, puis tu m'embrasses dans le cou, tout en me susurrant à l'oreille "Tu as gagné... J'ai envie de toi"...
Nous voici dans le couloir qui mène à ma chambre. Une pause s'impose, nos baisers s'embrasent, nos vêtements en tombent, laissant petit à petit découvrir le corps de l'autre. Nous sommes à demi-nu, fragiles et vulnérables, mais terriblement épris et passionnés. 
Le dos plaqué contre le mur, tu me laisses t'embrasser et je couvre ton corps de délicats baisers, comme pour en découvrir chaque parcelle avec soin et gourmandise. Commençant par ta nuque, tes épaules, ta poitrine, jusqu'au bout de tes seins. Je descends lentement le long de tes flancs, passe brièvement sur ton ventre frissonnant. Arrivant à la lisière de ton intimité, stoppé par le tissu de ton jean, je te regarde l'air gourmet, invoquant ta clémence. Du bout des doigts tu défais le premier bouton, descends lentement la fermeture éclair de ton pantalon, tout en te demandant s'il est bien raisonnable d'aller plus avant. Ton jean s'entrouvre sur ton sous-vêtement, où délicatement je dépose un baiser, commençant à te faire perdre pied... Du bout des doigts je saisis ton pantalon pour le descendre jusqu'à tes talons. Seul ton string en dentelle me sépare de ta délicieuse intimité. Mes mains caressent avec douceur tes jambes, tes mollets, tes cuisses, puis l'arrondi de tes fesses exquises. Alors que mes lèvres gourmandes cheminent ta dentelle de baisers plus ou moins appuyés. Je te sens fébrile, frémissante et toute excitée. Ta respiration est forte et saccadée, tes mains sur mes épaules se crispent, tes yeux se ferment, tu te mordilles les lèvres et j'entreprends de te retirer ton dernier vêtement, lentement, avec soin. Je le fais glisser le long de tes cuisses, retirant un pied, puis l'autre... Te voilà entièrement nue ! Tu es si belle...

Un peu échevelée, les yeux qui scintillent et moi qui doucement approche mon visage vers ton intimité dévoilée. Je dépose un doux baiser, un autre, puis un autre encore. Puis ma langue s'invite et commence un ballet langoureux, se frayant un chemin entre tes lèvres gorgées de désir et ton clitoris gonflé d'excitation, je savoure ton fruit délicat avec passion. Alors que je suis agenouillé à tes pieds, pour te mettre plus à ton aise, tu places une cuisse sur mon épaule. Je te sens t'ouvrir, ton corps se met à frémir, toute essoufflée, et crispée par l'excitation galopante, tu lâches de profonds gémissements.
Reprenant tout deux notre souffle après des préliminaires torrides et enivrants. Tu m'aides à finir de retirer les derniers vestiges de mes vêtements. Nous avons investi la chambre, et prenons place sur le lit. Rabattant la couette sur nos deux corps brûlant, nous continuons à nous embrasser langoureusement, à nous caresser, jusqu'à ce que tu m'invites à te faire l'amour.

Instinctivement nos deux intimités se sont rapprochées, frôlées, puis tendrement en toi je me suis glissé. Tout deux laissant échapper un doux gémissement de plaisir. Mon sexe s'introduisant dans le tien, je vais et je viens au rythme de ton bassin qui ondule sous mon corps brûlant. Comme dévorés par une fièvre ardente, nos deux corps embrasés s'enchevêtrent harmonieusement. Tantôt accroupie sur mon membre viril, tantôt soumise à mes assauts habiles, nos ébats amoureux une nuit de plus allaient nous consumer. À la tentation torride de nous appartenir nous venons de succomber...

M.C.


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