Possèdes moi...


Toi ! Oui, toi qui pense que je ne le vois pas. Ne restes pas là, approche toi. Viens t'allonger près de moi, viens mettre mon cœur en émoi.
Alors que je franchis la porte, je la vois nue, échevelée sur son lit, les draps froissés. Elle me lance un regard empli de passion et les jambes croisées, elle me tend son string accroché à son pied. Je m'avance, un peu gêné, je crois même que je rougi. Ses mains caressent des jambes élancées, saisissent ses seins galbés et se glissent dans sa chevelure bouclée. Elle se pince délicatement les lèvres, comme si elle savourait un fruit juteux. Et moi je sens mon cœur s'emballer, et mon appendice se réveiller...
Approches, viens le chercher ! Dit-elle en faisant osciller son string du bout du pied, que je saisi tel un trophée. Elle me fit signe de me déshabiller, ce que j'entrepris avec une pointe de timidité, encore gêné par la dureté de mon appendice tout excité. Chemise et pantalon étaient enlevé, mais si mon sous-vêtement ne dissimulait plus grand chose, impossible à cet instant d'en autre chose.
Huuuum... N'ai pas peur, je ne vais pas te manger. Dit-elle en souriant. Elle semblait bien à l'aise dans sa nudité, ondulant sur le lit avec volupté. Si tu ne le fais pas, je viens m'en occuper... Ajoute-t-elle d'une voix suave et envoûtante... Et elle s'est approchée, féline, le regard perçant et pénétrant. Elle posa d'abord ses mains sur mes épaules, puis elle a caresser mon torse et est descendu jusqu'à se saisir de mon dernier vêtement qu'elle baissa lentement, libérant ainsi appendice grandi et droit comme un "i" ! J'étais nu, un peu ahuri et entièrement à sa merci...
Elle m'attira vers elle, et tout deux allongés, je n'osais plus bouger. Je n'avais qu'une envie, la posséder, mais je me sentais tellement fragile, intimidé que seul mon appendice faisait preuve de virilité. Voyant que je n'osais la toucher, elle m'a enjambé, se plaçant au dessus de moi tout en se caressant les seins. Puis elle se mit à frotter son sexe contre le mien. Quelle délicieuse sensation qui amplifiait mon érection. Pris d'ivresse, étourdi par l'excitation, je posais avec délicatesse mes mains sur ses fesses, je lui caressais les cuisses, longeant ses hanches, pour envelopper ses seins avec soins.
Voudrais-tu goûter aux plaisirs de la vie ? Me chuchota-t-elle à l'oreille. Envoûté je ne pu répondre que oui. Et sans savoir comment, son sexe se retrouvait à portée de langue. Une vue imprenable sur l'origine du monde. Timidement je mis un coup de langue, puis un second et ceci la fit tendrement gémir. J'avais à cet instant l'impression de maîtriser la situation et je pris goût à l'ouvrage, non sans délectation. Son sexe humide et chaud, ne demandait qu'à éclore tel un délicat bouton d'or. Je la sentais onduler, son corps sur moi se cambrait, ses mains sur les draps se crispaient, prête à perdre pied. Quand par vengeance ou souci d'égalité, elle saisit mon sexe entre ses lèvres gourmets. Longeant mon instrument avec ardeur et talent. C'était alors à qui succomberait le premier. Quant à se posséder, tout deux l'étions déjà par cette fièvre passionnée qui nous faisait nous étreindre ardemment, jusqu'à tout deux connaître l'orgasme au même instant...

M.C.



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