Porte-jarretelles


Souvent tes mains sur mes cuisses s'égarent et tes doigts aventureux se lamentent et s'impatientent. Lorsque le désir se fait pressant, tu peines à rester calme, le cœur bondissant ! Mes collants font obstacle au plaisir. Ils défendent le délicat fruit qu'il te tarde d'enfin saisir. Tu rêves de ces fois, où ta main passait entre la dentelle et mes bas simplement maintenus par ce léger rempart de tissus qui cachait ma vertu, et laissait à tes doigts gourmets le loisir de rêver à de tendres appâts.

M.C.



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