Dépannage

L'après-midi est des plus chaude pour cette période de la saison. J'ai passé la journée dans le jardin à débroussailler et bêcher. Torse nu, la transpiration perle sur ma peau chaude et tannée par le soleil. Au loin j'entends une voiture caller et une femme  s'emporter après sa voiture. Je plante ma bêche dans le sol et m'avance dans sa direction voir si je peux me rendre utile.

J'aperçois une femme chaussures ouvertes, jupe courte en jeans et chemisier fleuri, penchée sur le moteur de sa voiture en soupirant. Entre colère et désespoir, elle a claqué le capot de sa voiture, s'asseyant dessus en ayant une montée de larmes. Je suis sorti de chez-moi, me suis avancé et pour ne pas la surprendre je lui ai lancé :
- Puis-je vous aider ? 
Elle s'est redressée, a regardé dans ma direction et me dit :
- Ça me rendrait tellement service !
- Si vous voulez bien ouvrir le capot, je vais jeter un œil...
- Oui bien-sûr ! Merci beaucoup !
Elle a ouvert le capot de sa voiture, j'ai jeté un œil, bidouillé deux, trois trucs, puis lui ai demandé d'essayer de démarrer. La voiture repartie au quart de tour. 
Dans un élan d'euphorie, elle me sauta au cou et le dit :
- C'est super ! Que pourrai-je faire pour vous remercier ?
- Rien, c'est bien normal ! Si ça vous dit, venez donc prendre quelque chose de frais à boire, j'habite juste à côté !
- Volontiers !
Elle s'est remise au volant de sa voiture et est venue se garer devant la maison. Je l'ai invitée à entrer et suis allé enfiler un t-shirt et prendre une paire de bières fraîches. Je lui en tends une, nous trinquons et elle s'est mise à parler comme pour contrer la gène qu'elle pouvait ressentir.

Je dois avouer la trouver très jolie et sa compagnie m'est agréable et je sens qu'elle n'a pas plus envie que moi de partir. Je lui propose d'aller marcher dans le jardin, puis de nous assoir à l'ombre d'un arbre où nous avons continué de discuter. J'ai profité d'une seconde de silence pour lui proposer de relever ses cheveux de sa nuque. Surprise elle accepta en tournant légèrement la tête sur le côté. Je me suis délicatement saisis de sa belle chevelure brune, ai laissé un léger souffle échappé de mes lèvres sur sa nuque. Elle fut parcourue d'un frisson et tout en fermant les yeux un court instant, elle prit une profonde respiration. J'ai profité de ce moment pour effleurer sa nuque d'un baiser délicat. Elle inspira plus profondément, traversée d'un nouveau frisson.
- Puis-je t'offrir une autre bière ?
- Avec plaisir, merci !
Je lui propose de patienter à l'ombre le temps d'aller chercher les bières, nous échangeons un sourire et je pars en direction de la cuisine, le cœur bondissant. J'ouvre le frigo, y prends deux bières et lorsque je le referme, je la vois qui se tient là, juste derrière moi. Nos deux corps se sont rapprochés comme deux aimants jusqu'à l'embrasser. Elle eut un instant d'hésitation avant de m'embrasser de toutes ses lèvres si douces et sucrées.
J'ai posé les bières sur le plan de travail et dans un élan de fougue, j'ai soulevé la Belle qui entoura ma taille de ses jolies jambes, plaçant ses bras autour de mon cou et ne quittant pas mes lèvres, à peine pour respirer. D'un geste j'ai retiré ce qui pouvait traîner sur l'îlot de la cuisine où je l'ai assise, commençant à déboutonner sa chemise. Dessous elle portait une brassière de sport qui épousait sa somptueuse poitrine. D'un geste elle l'a enlevé, libérant ainsi ses jolies seins blancs, puis s'est mise à les ballotter entre ses mains tout en me souriant. La moiteur ambiante perlait entre ses seins, qui se gonflaient généreusement à chaque inspiration et son visage irradiait de beauté.
J'ai parcouru sa poitrine frémissante de myriade de baisers, jusqu'à m'attarder sur ses tétons dressés que j'ai délicieusement léché. Haletante, elle soupirait de désir et je sentais en moi monter l'excitation. Mes mains qui caressaient ses cuisses, se sont peu à peu aventurée sous sa jupe, l'une esquissant le galbe de ses fesses, l'autre s'invitant à plus d'audace en caressant son entrejambe. Sa culotte déjà mouillée témoignait de son excitation grandissante. Ma main contre son intimité s'est longuement frottée, puis lentement mes doigts ont écartés sa culotte pour se glisser dans sa fente sacrée, mon pouce titillant son clitoris gonflé.

Soudain elle s'est redressée, s'est mise debout, fouilla dans mon short et en sortie ma queue bien raide. Elle remonta sa jupe, baissa sa culotte, puis frotta son sexe sur le mien. Ma verge se frayait un chemin entre ses lèvres humides, elle fait jouer mon gland sur son clitoris tout en gémissant sans retenue. Elle allait et venait sur mon membre dressé, c'était terriblement excitant et divin. Elle prenait son pied, vacillante et excitée jusqu'à me faire jouir, répandant ma semence sur son mont de Vénus et coulant entre ses cuisses. Elle remit sa culotte s'est agenouillée devant moi, léchant mon sexe telle une friandise pour en recueillir les dernières gouttes de jouissance. Puis elle s'est relevée, m'a embrassé et m'a sourit, me remerciant pour la bière et le dépannage. Me laissant à moitié nu et transit, elle disparue dans sa voiture. Elle a baissé sa vitre pour me lancer un baiser et s'en allé. 
Je repris mes esprits tout en me rhabillant, je ne sais pourquoi je fouillais mes poches et j'en retirais un bout de papier chiffonné sur lequel était marqué le nom et le numéro de la Belle inconnue, me proposant de la rappeler prochainement...

M.C.

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