Les désirs de Diane (Seconde Partie)

Plusieurs jours ont passé, sans que je ne la revois. Quand je repense à cette nuit-là, je ressens encore l'excitation, l'euphorie du désir, je peux sentir encore la chaleur de sa peau sous mes doigts, la douceur de ses lèvres sur les miennes, la passion de nos ébats. Je n'avais jusqu'alors jamais ressenti cela. Et j'espérais intérieurement que je pourrais bientôt être à nouveau près d'elle et découvrir de nouveaux plaisirs...

Je songeais à comment lui rendre l'invitation quand quelqu'un sonna à la porte. Le temps de me rendre à la porte, il n'y avait plus personne, juste une enveloppe avec mon nom dessus. Intrigué, j'ai pris l'enveloppe, ai jeté un dernier coup d'œil, puis j'ai refermé la porte. Je me suis servi d'un vieux coupe papier pour ouvrir proprement et sortis de l'enveloppe une lettre manuscrite, avec une belle écriture un peu ancienne, très élégante.

"Très Cher Voisin,
Je tenais à vous remercier de tout cœur pour le formidable moment que vous m'avez fait vivre il y a peu. Sachez que j'en suis encore toute émoustillée, flattée et troublée. 
Mes nuits me paraissent longues et fades depuis que je ne vous ai plus à mes côtés et s'il me faut l'avouer, les plaisirs que nous avons eu ensemble me manquent profondément...
Aussi oserais-je vous demander s'il vous agrée bien-sûr, de venir me retrouver demain soir dans ma demeure pour qu'ensemble nous puissions assouvir nos désirs inavouables.
Je vous attendrais pour 20h00, venez dans vos plus beaux habits, je nous voudrais tout deux bien assortis.

Au plaisir de vous retrouver...
Recevez toute mon affection !

Diane"

Wahoo... je dois bien l'avouer je ne m'attendais pas à cela. Cette lettre m'a tout chamboulé, je suis tout excité à l'idée de pouvoir la revoir et qu'en plus elle ait envie de renouveler l'expérience d'être amants...
Ça va être long de patienter jusqu'à demain, que vais-je bien pouvoir porter ?

Le soleil se lève et j'ai passé la nuit à m'imaginer cette soirée avec Diane. J'ai le cerveau en ébullition. Sitôt levé, j'ouvre ma penderie en quête de quelque chose d'élégant à porte ce soir, mais rien ne me convenait. J'ai pris mon p'tit déj, une douche, j'ai sauté dans des fringues et suis sortie en ville faire un brin de shopping. Direction un magasin classe où je n'avais jamais mis les pieds, mais j'avais envie d'être vraiment élégant et lui plaire. Alors après quelques essayages et les précieux conseils d'une vendeuse, je me suis offert un smoking gris anthracite, une belle chemise blanche, une cravate bleu ciel et un mouchoir de poche assortis. Je me suis aussi pris une paire de chaussures pour resté à thème. J'avais l'impression de voir un autre homme dans le miroir et ça me faisait bizarre car j'avais un peu l'impression de me travestir. Mais lorsque la vendeuse m'a dit que celle pour qui je faisais tant d'efforts avait bien de la chance, je repris le sourire et je me suis regardé avec plus de confiance et d'assurance.

La journée défile si lentement, les heures me paraissent des jours. Je me sens tout étrange de ressentir cela pour une femme que je connais à peine. Notre différence d'âge ne reste jamais loin de mon esprit et je me demande si c'est vraiment bien ce que je fais. Puis je retrouve la lettre que Diane a prit le temps de m'écrire. Je lis ses mots, et m'enivre de son parfum dont elle a volontairement aspergé la lettre. Et tout s'efface, seul reste l'envie de la retrouver, de l'entendre rire...

Douché, habillé, parfumé, je suis fin prêt ! Je me saisis du bouquet de fleurs que j'avais acheté un peu plutôt dans la journée. Je prends une profonde inspiration et je me rends chez Diane. Je sonne à l'interphone, elle m'invite à entrer et comme elle n'est pas tout à fait prête, me propose de patienter dans le séjour à gauche de l'entrée.
Je pousse la porte, entre dans le hall immense, puis me dirige dans le séjour. Tout est très beau, très raffiné et semble-t-il coûteux. Je ne me sens pas tout à fait à ma place, même si j'aime beaucoup et que c'est arrangé avec goût.

Enfin je l'entends descendre l'escalier, je me lève du fauteuil où je m'étais installé pour patienter. Je défroisse un peu ma veste et Diane franchir le pas de la porte du séjour.
Elle est radieuse ! L'instant semble comme suspendu tandis qu'elle me regarde avec douceur. Je suis subjugué de voir une femme aussi belle, là devant moi. C'est presque irréel...
Diane porte une longue robe noire, qui dessine avec élégance ses jolies courbes. Seul un trou en forme de goutte d'eau laisse deviner le galbe de son décolleté. Le dos de sa robe est fait de dentelles et dessine sur sa peau un motif fleuri des plus exquis. Ses yeux joliment maquillés scintillent, elle porte un élégant rouge à lèvres et esquisse un délicieux sourire. Ses cheveux sont coiffés en un joli chignon, dégageant ainsi son joli visage.

Je m'avance vers elle pour la saluer, tout en me demandant si je dois l'embrasser ou lui faire une bise, mais elle s'avance à son tour, ses mains entourent mon visage et avec langueur elle m'embrasse.
- Pardon... Je ne voudrais pas te paraître trop entreprenante, mais j'ai espéré ce baiser toute la journée.
Sans dire un mot, je souris et à mon tour je l'embrasse avec passion. Nos lèvres se séparent, et Diane fait un pas en arrière, elle me regarde de haut en bas et me couvre d'éloge pour mon élégance, flattée que je me sois fait si beau pour elle. À mon tour je la complimente sur sa superbe tenue et lui avoue que durant un instant je m'étais demandé si tout cela était réel.

Diane m'a invité à m'asseoir sur son divan où elle s'assit près de moi les jambes croisées. Elle prit une bouteille de champagne posée sur la table basse et me l'a tendit me demandant de nous servir. Je retiens le bouchon, laissant discrètement s'échapper la pression, elle me tendit les coupes que j'ai généreusement remplies. J'ai replacé la bouteille dans son seau à champagne, puis tout en nous regardant intensément, nous avons trinqué à notre heureuse rencontre.

Nous avons discuté de tout et de rien, nous avons dîné ce que Diane a passé à préparer une partie de la journée et c'était réellement divin ! La soirée était des plus délicieuse, après le dessert, elle s'est levée, et m'a proposé de la suivre au petit salon, je me suis assis et elle s'est assise sur mes genoux. Elle a caressé mon visage du bout des doigts, comme pour en dessiner les contours, puis nous nous sommes embrassé, sa langue s'est glissée dans ma bouche et nos langues ont dansé un ballet langoureux. Une main à dénoué ma cravate, retiré les premiers boutons de ma chemise et s'est glissée sous ma chemise pour caresser mon torse.
J'ai glissé une main sur sa cuisse, longeant jusqu'à ses fesses et remontant tendrement le long de son dos. Je dessinais du doigt les motifs de la dentelle de sa robe, mes doigts se sont aventurés sur sa nuque, et à cet instant elle a détaché ses longs cheveux qui sont tombés sur ses épaules dénudées. J'ai glissé mes doigts dans sa belle chevelure, entouré son visage, longuement plongé mon regard dans le sien et je ne pu me retenir de l'embrasser avec fougue. L'instant était passionné, le désir commençait à nous envahir, nos caresses appelaient à plus d'intimité.

Diane s'est levée, fit quelques pas et saisit sa robe du bout des doigts à partir de la taille. Lentement et tout en ondulant elle a remonté sa robe qui longeait ses longues jambes, dévoilant de jolis bas élégants. Elle a remonté sa robe jusqu'à laisser deviner l'arrondi de ses fesses exquises. Elle a continué à danser, tournant sur elle-même avec grâce, dans l'un de ses mouvements je cru voir quelque chose briller, mais subjugué par ce spectacle de sensualité, je n'y prêtais pas immédiatement attention.
Elle s'est approchée de moi, la robe toujours relevée, puis à récidivé sa danse, à nouveau sous mes yeux écarquillés, s'est penchée et j'ai vu alors ce joli brillant qui ornait ses fesses en toute discrétion. Ceci me fit sourire et elle se mit à rire. Ce que j'aime le son de son rire...
- As-tu aimé ce que tu as vu ? (Me demanda-t-elle en s'agenouillant devant moi).
- Comment ne pas aimer ? Tu es superbe, élégante et gracieuse. Et très coquette...
Elle rit de nouveau.
- Et tu n'es pas au bout de tes surprises... (Ajouta-t-elle en posant ses mains sur mes cuisses).
- Veux tu que nous allions nous découvrir ?
- Avec plaisir ! Où tu iras, j'irais..
- Alors s'il te plaît, portes moi jusqu'à la chambre. Telle une Princesse, je l'ai prise dans mes bras, elle prit le seau à champagne, puis j'ai gravis les marches menant à l'étage. Elle ouvrit la porte du bout du pied, et après être entrés, je l'ai délicatement posée sur le lit. Nous nous sommes embrassé et alors que j'allais pour m'allonger près d'elle, elle s'est relevée, m'a poussé pour m'allonger, elle a contourné le lit,  a fouillé dans un petit meuble et en a sorti une cordelette tressée.
Elle est revenue devant moi et m'a dit :
- Consentirais-tu à te laisser attacher ? (J'avoue qu'à cet instant je n'étais pas tout à fait sûr... Je n'avais jamais fait cela et ça me rendait nerveux...).
- Pourquoi pas... Et je lui tendis mes poignets !
- Allonges toi mon bel amant...
Une fois en place elle attacha mes mains à la tête de lit. Ma respiration s'accélérait, je sentais en moi monter une certaine nervosité mêlée à beaucoup d'excitation.

Diane a allumé plusieurs bougies, certaines étaient parfumées et diffusaient une agréable odeur de vanille. Elle a mit un fond de musique aux doux rythme de jazz, puis elle est revenue face à moi, à nouveau son corps se mit à danser, ses courbes à onduler avec grâce et volupté. Tout son être bougeait au rythme de la musique avec beaucoup de charme et de sensualité. Je m'émerveillais de sa beauté, de sa grâce, jamais je n'avais vu femme si sublime.

Elle a commencé à lentement retirer sa robe, faisant ainsi apparaître sa délicieuse peau bronzée, ornée d'une lingerie sexy et raffinée. Elle a continué de danser, s'est agenouillée sur le bord du lit tout en ondulant avec beaucoup de sensualité. Elle a retirer mes chaussures, et mes chaussettes, puis féline elle s'est avancée sur moi jusqu'à se trouver haut dessus de mon bassin. Lentement, elle a retiré ma ceinture, défait le bouton de mon pantalon, à descendu la fermeture éclair de celui-ci tout en se pinçant les lèvres d'envie. Moi je sentais mon cœur bondir de ma poitrine, j'avais terriblement chaud, et ne pas pouvoir utiliser mes mains était tout à fait frustrant. 
Elle finit de déboutonner ma chemise, l'ouvrant en grand, faisant apparaître mon torse. Elle s'est penchée sur moi pour m'embrasser, puis m'a demandé :
- Es-tu prêt à être torturé ? Me permets-tu de te posséder...?
À cet instant je pense que ce n'est pas ma raison qui s'est exprimée, mais un "Oui... Je suis tout à toi !" Est sorti d'entre les lèvres.
Elle a sourit, m'a embrassé, puis ses lèvres se sont baladée sur mon torse, mon ventre, mon bas ventre, faisant monter en moi l'excitation, mais pas seulement. Sous mon pantalon mon sexe se sentait à un peu l'étroit et elle l'avait bien senti voir quelque peu provoqué puisqu'elle faisait de douces ondulations avec son bassin.
Elle a saisit mon pantalon et me l'a retiré. Ses mains se sont glissées le long de mes jambes, ont enveloppées mes hanches, puis se sont invitées près de mon intimité pour me caresser. Elle a retiré mon dernier vêtement, libérant ainsi mon appendice droit comme un "i". Je me suis sentis si vulnérable et tellement excité. Je voulais pouvoir me libérer de mes liens, mais je ne voulais pas tout gâcher, ni la décevoir. J'ai pris une profonde inspiration et c'est le moment qu'elle a choisit pour prendre mon sexe en bouche. Elle s'est mise à me sucer comme s'il s'agissait d'une friandise, avec une extrême gourmandise. Sa langue me faisait des choses exquises, j'en perdais tout contrôle, ma respiration était de plus en plus forte, j'essayais de ne pas bouger, mais c'était presque impossible de rester impassible. Elle manipulait mon sexe avec beaucoup d'adresse, tout en me regardant me tortiller et succomber au plaisir.
Diane s'est redressée, a plongé sa main dans le seau à champagne et en a retiré quelques glaçons, avec lesquels elle a jouer autour de mes tétons qui se sont durcit sous l'effet du froid, puis elle les a fait glisser sur mon torse et mon ventre, que je tentais de contracter pour résister à la morsure du froid, puis elle m'a regardé, a sourit, s'est pincée les lèvres, puis elle a fait fondre le reste des glaçons sur mon intimité tout excité. La sensation était indescriptible, entre la surprise et l'extase...

- À mon tour d'avoir du plaisir... Acceptes-tu de me satisfaire ?
J'ai simplement hoché la tête et souris. Elle s'est redressée, s'est caressée la poitrine, a dégrafé son soutien-gorge, libérant ses jolis seins blancs, puis les a frotté contre mon sexe et est lentement remonté sur mon torse, frottant ses tétons aux miens et elle est remontée, plaçant mon visage entre ses seins. Je les ai embrassé, j'ai léché ses mamelons, et délicatement suçoté ses petits tétons dressés. Mon petit jeu de langue commençait à la faire frémir, sa peau était parcourue de frissons. Son excitation commençait à grimper et son bassin se remit à onduler tout contre le mien.
Elle s'est mise debout sur le lit en se tortillant de désir, dominant son obligé, resté ligoté. Elle m'a fait un clin d'œil, et avec beaucoup de grâce, retira ses bas qui glissaient sur ses jambes comme une seconde peau. Elle les Jetta négligemment au sol, avant que ses doigts ne se mettent à roder près de son intimité, jouant avec le dernier vestige de dentelle qui l'habillait. Puis elle s'en libéra, la laissant entièrement nue sous mes yeux. Quelle femme délicieuse ! Tout en elle n'était que beauté, charme et sensualité. Une fois de plus je voulu me dresser, la prendre dans mes bras,  et plein de fougue je lui ferais l'amour... Mais la réalité était que j'étais attaché à son lit et que la Belle ne comptait pas en rester là. Continuant de danser au rythme lent de la musique, Diane commença à se caresser, une main courant sur sa poitrine, l'autre explorant son entrejambe. Elle s'est retournée toujours en dansant, s'est penchée lentement vers l'avant et laissa apparaît un joli diamant qui brillait de mille éclats dans l'écrin de ses fesses exquises. Moi j'étais subjugué, interloqué et  extrêmement excité, ma verge vers le ciel dressée pouvait en témoigner. Diane s'y frotta un instant, mais simplement pour me taquiner, car elle avait autre chose en tête. Elle me regarda fixement et me dit :
- Voudrais-tu me faire jouir avec ta langue ?
Comment pouvais-je décemment refuser ? Elle est venue au-dessus de moi, et s'est accroupie. Je pouvais alors sentir la douce chaleur de son entrejambe s'approcher de mon visage. Une main s'est agrippée aux barreaux du lit, l'autre s'est placée sous ma tête et elle m'a lancé :
- Régales toi... Je suis à toi !
Les lèvres de son intimité déjà humides de désirs se sont frottées à ma bouche, j'ai sorti ma langue et tel un fruit sucré, je me suis savoureusement délecter de son intimité. Je la sentais se crisper de plaisir, et plus je suçotais son clitoris, plus son fruit dégoulinait d'excitation. Ma langue se permettait même de s'aventurer plus avant en pénétrant son sanctuaire. Son plaisir allait croissant, sa respiration était saccadée, ses doigts crispés, empoignaient mes cheveux, son bassin n'avait de cesse d'osciller d'avant en arrière, jusqu'à ce qu'un ultime coup de langue la fasse exulter. Prise un orgasme incontrôlé, tout son être se mit à trembler et se crisper. Elle s'est affalée sur le côté, tremblante et gémissante, alors que je demeurais attaché.
Toujours recroquevillée, elle me dit d'une voix chancelante :
- Huuuum que c'est bon... Cette façon que tu as de jouer avec ta langue... C'est... Tout simplement divin... J'en veux encore ! 
Elle m'a retiré mes liens, tout à me rappelant que j'avais promis de la satisfaire. Je me suis frotté les poignets marqués par mes liens, j'ai retiré la chemise, tout en dévorant Diane du regard. Elle s'est mise sur le côté, levant une jambe pour me laisser découvrir son fruit défendu rougeoyant qu'elle caressa délicatement. Elle posa un doigt sur son diamant et se mit à jouer avec en tournoyant. Puis avec deux doigts, lentement elle le retira, laissant son petit trou étoilé se resserrer.
J'ai commencé à caresser ses jolies fesses, pendant que je déposais de tendres baisers entre ses seins. Mes mains parcouraient son dos pour sentir sa peau douce et chaude. Nos lèvres se sont goûtées langoureusement, et mes mains se sont à nouveau égarées sur ses fesses. Intrépide et audacieux, un doigt s'est approché de son petit trou, cherchant à s'y introduire pour son plus doux plaisir. Elle fit une légère moue, saisit la main et donna elle-même le rythme de mes va-et-vient. Mon autre main restée libre, s'est aventure à se frotter contre sa fente sacrée. Ma paume enveloppait ses lèvres et son clitoris, et faisant de doux mouvement circulaire, je prolongeais nos préliminaires. Son corps se cambrait, ses doigts se crispaient, et sa bouche me dévorait de baisers torrides et passionnés.

Diane s'est soudainement redressée, m'a plaqué sur le dos, m'a enjambé, puis sans plus attendre, prit mon sexe encore au garde-à-vous en main et s'est empalée dessus. Elle se mit à me chevaucher avec fougue, remuant son bassin à un rythme effréné. Elle s'est accroupie et se mit à monter et descendre ma verge sur toute sa longueur. Ses lèvres humides coulaient de son nectar de plaisir. C'était si intense, si endiablé, la fièvre de nos ébats exacerbait tous nos sens. Je sentais la moiteur de sa peau sous mes doigts qui caressaient ses cuisses, l'arrondi de ses fesses qui poursuivaient son ballet jusqu'à ce qu'elle soit à nouveau prise d'un orgasme fulgurant. Elle s'est retiré de mon sexe devenu plus que sensible, s'est allongée à côté de moi belle et tremblante, cherchant à récupérer son souffle.
- Quelle endurance... Je n'ai encore pas réussi à te faire jouir ! (Dit-elle haletante et surprise). Mais ne crois pas que j'en ai finit avec toi bel amant... (Puis elle s'est recroquevillée, me demandant de l'envelopper de mes bras le temps d'un instant).
Son souffle retrouvé, son corps apaisé, elle s'est mise sur le dos, a écarté les cuisses, et s'est mise à se doigter. Elle a léché ses doigts et avec son index, m'a fait signe d'approcher.
- Je veux te sentir en moi ! Je veux que tu jouisses en moi ! Je veux te sentir m'offrir ta semence...
Je me suis approché au plus près, elle releva les jambes qui se sont placées contre mon torse, m'ouvrant ainsi en grand les portes de son paradis. Avec délicatesse je me suis introduit, et avec fougue j'ai commencé à aller et venir en elle. Mon bassin dansait, ondulait, la pénétrant avec plus de fougue, telle une vague venant de fracasser sur des rochers. Mes assauts se faisaient de plus en plus percutant. Ses seins s'entrechoquaient à chacun de mes coups de reins. Nos respiration était saccadées, c'était à qui succomberait le premier. Qui de nous deux allait perdre pied...? Elle sentait son orgasme arriver, j'étais au bord d'exulter. Nos bassins ondulaient en symbiose, et dans un ultime va-et-vient, nous avons jouis de concert, elle lâchant un puissant gémissement d'extase, et moi libérant mon précieux nectar en elle.

Nous nous sommes tout deux effondrés. Essoufflés et comblés, nous nous sommes embrassés, puis enlacés, savourant cet instant divin...

M.C.

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