Les Désirs de Diane

Les désirs de Diane (Première Partie)

Voilà quelques jours que j'ai emménagé dans une petite maison au cœur d'un lotissement calme et chic. D'un côté, une famille pleine de vie, mais somme toute discrète et puis sans trop de visibilité car séparé par une haie immense et dense. De l'autre côté, une jolie maison d'architecte, avec un jardin impeccable et une piscine. Il semble qu'une femme seule y vive, tout du moins je n'ai vu qu'elle prendre le soleil au bord de sa piscine.

Bref, tout semble idyllique et calme. Je prends quelques jours pour m'installer et me familiariser avec mon nouvel espace. Un après-midi, la sonnette retentit. Une grande femme blonde, la proche cinquantaine, chemisier blanc, jupe rouge et hauts talons assortis, se tient devant ma porte, un plat à la main.
- Enchantée, je m'appelle Diane ! Je suis votre voisine d'à côté. Je vous ai vu emménager et je me suis dit qu'un petit dessert de bienvenue vous ferez plaisir ! Alors le voici ! (Me dit-elle en souriant, le regard pétillant).
J'eus à peine le temps de la remercier, qu'elle enchaîna en disant :
- Vous avez peut-être vu, mais j'ai une piscine et avec ces chaleurs qui s'annoncent, si vous souhaitez venir en profiter, vous serez bienvenu ! (Elle sourit de nouveau et tout en tournant les talons, elle me lance ne pas vouloir m'ennuyer d'avantage, me souhaite de nouveau la bienvenue et disparaît).
Curieuse femme, mais gentille attention, je n'avais rien avalé de la journée. Ce dessert tombe à point nommé.

Plusieurs fois les jours suivants j'ai croisé ma voisine qui ne manquait jamais de me saluer en souriant. Elle avait raison, il a rapidement fait assez chaud et régulièrement elle sortait dans un maillot deux pièces et allait se baigner, puis s'allongeait dégoulinante sur son transat pour sécher au soleil. Je piquerais volontiers une tête dans sa piscine, mais j'ai à faire, alors je bricole à en transpirer à grosses gouttes. Éreinté le soir, je file à la douche et file dormir jusqu'au lendemain.

Ce jour-là, petite pause. Besoin de ne rien faire. Fin de matinée, j'entends le facteur passer. Le temps de sortir, le voilà déjà réparti. J'ouvre ma boîte aux lettres et j'en sors une enveloppe et un colis. Ce dernier n'est pas à mon nom, mais semble-t-il à celui de la voisine. Je décide de le mettre de côté, je lui donnerai quand je la verrai sortir dans son jardin dans l'après-midi.

J'entendis un fond de musique retentir. La voisine était en train de s'installer sur son transat. Un peu de musique, quelques magazines, une bouteille d'eau. Elle portait un élégant deux pièces coloré, un chapeau de paille et une grande paire de lunettes de Soleil. Elle s'est enduite de crème, puis s'est saisie d'un magazine, s'allongeant à l'ombre de ses arbres.

Je me sentais gêné d'aller la déranger, mais je ne pouvais pas garder son colis. Je le pris sous le bras, et me suis avancer jusque devant le jardin de ma voisine. Et lorsqu'elle me vit, elle me fit signe d'entrer et de m'avancer.
- Bonjour, je suis navré de vous déranger en plein après-midi, mais j'ai reçu par erreur ce colis qui je pense vous est destiné.
- Vous ne m'ennuyez pas, je vous remercie ! Maintenant que vous êtes là, ne voulez-vous pas rester un instant et me tenir compagnie ?
Un peu confus, j'allais pour décliner poliment, mais elle poursuivit en disant :
- Ne restez pas debout, prenez un transat et détendez vous, vous n'avez pas arrêté depuis votre arrivé parmi nous !
Je me suis assis sur un transat et nous avons discuté un long moment, faisant ainsi connaissance. C'est comme ça que j'ai appris qu'elle avait divorcé il y a plusieurs années maintenant, qu'elle avait longtemps travaillé dans le secteur médical, mais qu'après son divorce, elle avait tout plaqué pour venir s'installer ici et profiter de la vie et de l'argent qu'elle avait mis de côté ! Elle vivait seule, mais ne se cachait pas d'avoir quelques aventures lorsqu'elle en avait envie ! Ses journées semblaient bien remplies entre ses amies qu'elles allaient voir dans un club assez Select, ses cours de Yoga et de pilâtes. C'était une femme qui prenait grand soin d'elle, mais qui n'avait pas honte d'avoir son âge. Elle assumait pleinement d'approcher la cinquantaine et ne se sentait pas moins femme, ni moins désirable, c'était même tout le contraire. On voyait qu'elle cherchait à plaire et à séduire. Cela semblait être un jeu pour elle. Elle s'entortillait les cheveux comme une adolescente, lançait de longs regards profonds et intenses. Et avec beaucoup de subtilité et de satisfaction, posais des questions qui pouvait en parfois désarçonner. Je sentais qu'elle jouait avec moi, mais ça n'était pas désagréable, même si je me sentais parfois rougir. Nous avions passé plusieurs heures à bavarder, le jour commençait à tomber, je me suis donc levé et la remerciant pour ce moment d'échange agréable, je prie congé.
Alors que je franchissais son portail, elle me lança :
- Demain venez plutôt, nous prendrons un verre ensemble ! Et me fit un clin d'œil avant de disparaître derrière son magazine.

Le lendemain, alors que je m'éveille, ma première pensée se tourne vers ma voisine. Diane a troublé ma nuit. Je crois qu'elle ne me laisse pas indifférent et pourtant tout nous sépare. Mais sans comprendre pourquoi je me sens attiré, presque envoûté et il me tarde de la revoir.
Midi sonne, je me saisis d'une bouteille de vin et me dirige chez ma voisine. Je sonne à l'interphone, elle me fait entrer en m'invitant à m'installer près de la piscine, qu'elle allait arriver. Près de la piscine une petite table en fer forgé est dressée pour deux, ornée d'un bouquet de fleurs du jardin fraîchement cueillies. Je pose la bouteille de vin et m'assois en attendant mon hôte. Je me sens fébrile, et euphorique, le cœur léger et l'esprit embrumé par mes pensées.
Au loin j'entends des bruits de pas. C'est elle qui me rejoint. Pieds nus, portant une robe légère et fleurie, cheveux défait sous son chapeau de paille, elle porte un plateau comportant quelques verrines, des canapés et un duo de verres, qu'elle dépose sur la table. Avec un grand sourire, elle s'approche de moi pour me faire la bise. Nous n'en sommes plus aux poignets de main dit-elle.
Elle prend la bouteille entre ses mains et s'exclame : "Du blanc, rien de mieux, c'est parfait !".
Elle m'invite à m'asseoir, et d'une main experte, débouche la bouteille et nous sert. Puis nous entamons la conversation, ponctuée de ses délicieuses verrines et divins canapés. Sa façon de me regarder est tellement hypnotique, je me sens comme envoûté par son charme naturel. Sa voix suave et douce semble murmurer à mes oreilles. Décontractée sur sa chaise, ses jambes tel un ballet se croisent et se décroisent avec beaucoup de sensualité. Mon cœur s'embrase lorsqu'elle porte lentement son verre à ses lèvres pour se délecter de ce vin blanc doux et sucré. 

Il fait de plus en plus chaud sous ce soleil de plomb. Diane se lève, fait quelques pas en direction de la piscine, et plonge le bout de son pied. L'espace d'un instant, le temps s'est suspendu simplement pour la laisser savourer la sensation de fraîcheur. Puis elle contourne le bassin, et descend les quelques marches avant de s'immerger toute habillée. Lorsqu'elle se redresse, l'eau ruisselle sur ses cheveux et sa robe de colle aux courbes délicieuses de sa silhouette. Elle me regarde fixement en souriant et finit par m'inviter à la rejoindre. Je réponds que je n'ai pas de maillot et elle me coupe la parole pour ajouter qu'elle non plus n'en porte pas. Et à cet instant, elle quitte sa robe, qu'elle lance sur le bord de la piscine et se retrouve à demi-nue dans l'eau.
Je me lève l'air gêné, je déboutonne ma chemise, puis pudique, je retire mon short, me laissant ainsi en boxer. Je me sens idiot et à la fois il fait si chaud que la fraîcheur de l'eau est la bienvenue. Je descends les quelques marches et après quelques brasses, je vais m'adosse à la piscine, face à Diane. Elle me regarde longuement, puis elle s'approche de moi, elle retire son chapeau et ses lunettes, dévoilant de jolis yeux couleur noisette. Elle posa une main sur mon visage et sans dire un mot en fit les contours. Elle se rapproche d'avantage et dépose ses lèvres sur les miennes. Instantanément, nous nous sommes embrassé avec une tendre passion dévorante. Ses mains sur mon corps se sont glissées, parcourant mon dos, mon torse et s'aventurant près de mon intimité. Elle sourit en sentant mon excroissance grossir sous sa main. Elle fit un pas en arrière, a dégrafé son soutien-gorge libérant ainsi sa poitrine frissonnante. Elle se mit à nager, alors que tout excité, je n'osais plus bouger. Elle sortit de l'eau, se saisit d'une serviette avec laquelle elle tamponnait son corps nu et ruisselant. Elle remit ses lunettes et son chapeau, et se rendit sur un transat.
- Et si tu venais me rejoindre ? Tu serais adorable si tu voulais bien me mettre un peu de crème... Je vais brûler avec ce soleil...

J'étais en train de me consumer et ça n'était pas à cause du soleil. Mes ardeurs refroidies, je suis sorti de l'eau à mon tour et me suis approché d'elle. Je me suis assis au bord de se transat, elle me tendit le tube de crème, s'allongeant sur le ventre et j'ai commencé à couvrir son dos. Puis mes gestes se sont fait caresses et elle sembla apprécier aux soupirs qu'elle relâchait. De sa nuque jusqu'aux pieds je n'oubliais aucune parcelle de son corps luisant. Elle s'est retournée, et m'a demandé de bien vouloir continuer. Je repris le tube, et me suis appliqué à passer de la crème sur tout son corps, sans m'attarder sur les zones intimes, bien que je mourrais d'envie d'être plus entreprenant. Elle m'a gentiment remercié, puis s'est proposée de m'enduire de crème. J'ai tout d'abord dit que ça irait, mais elle insista, m'invitant à m'allonger et me laisser aller. Je pris une profonde inspiration, fermé les yeux et j'ai senti ses mains se poser sur moi. Le haut de mon torse, mes épaules et mon cou. Puis elle reprit sa course, longeant mes flancs, passant sur mon ventre et mes jambes, jusqu'à mes pieds. Je dois bien l'avouer cet instant était des plus agréable. Puis j'ai senti ses lèvres se poser sur mon torse, elle embrassa mes tétons qui se sont durcit d'un corps, et je sentis que ce n'était pas les seules parties de mon corps qui se mirent à durcir. À nouveau gêné, je n'osais plus bouger, à peine respirer et moins encore la regarder. Je fermais les yeux comme si ça allait me faire disparaître, mais j'étais entre ses mains et dans l'art de la torture elle semblait experte. Entre baisers et caresses, elle cheminait jusqu'à mon bas ventre, glissant ses mains sur la bosse qui sous mon boxer s'était formée. Ses mains remontaient le long de mes cuisses, me faisant frémir et éprouvant mon désir. Elle se saisit avec délicatesse de mon boxer, qu'elle souleva lentement, libérant ainsi mon sexe grandit. Elle le prit en main, faisant de doux va-et-vient, puis le prit en bouche comme une friandise, ce qui me fit tressaillir, lâcher un gémissement, et un profond soupir. Jouant de mon instrument comme une virtuose, elle me fit perdre pieds jusqu'en perdre la raison... Je ne cessais d'onduler sur ce transat alors que sa langue savourait mon gland écarlate.

Alors que je me sentais prêt à exulter, tout s'est soudainement arrêté. Elle m'a longuement regardé, puis elle s'est levée, retirant ses derniers effets qu'elle fit tomber négligemment au sol. Elle se trouvait entièrement nue devant moi. Les rayons du soleil dessinaient sa superbe silhouette, son corps luisant se mis à danser et ses mains parcouraient lentement ses seins. Je me suis approché d'elle, sur ses hanches mes mains se sont posées. Un instant j'ai contemplé sa somptueuse féminité, puis mes lèvres se sont déposées sur sa peau chaude, et lentement j'ai déposé des baisers ici et là, parcourant avec gourmandise ce joli corps dénudé. Mes mains ont enveloppe ses fesses bien rondes, j'ai approché mon visage de son intimité, j'ai sorti ma langue qui s'est glissée sur son sexe déjà humide. À cette instant, elle me fit me rallonger sur le transat qu'elle a enjambé, puis est venue se placer haut dessus de moi, commençant à faire des va-et-vient avec son bassin, son sexe se frottait à mes lèvres, ma langue titillait frénétiquement son clitoris rougeoyant et ce jusqu'à ce que ses jambes ne la portent plus et que ses gémissements retentissent.
Toute excitée et tremblante, elle s'est allongée sur moi pour reprendre son souffle. Nos mains continuaient à parcourir le corps de l'autre dans un doux ballet empreint de sensualité.
Quand elle eut repris ses esprits, elle se leva, me prit par la main et m'emmena à l'intérieur. Tels deux adolescents qui jouaient à se découvrir, nounou caressions avec fougue et passion. Elle ouvrit les portes de sa chambre, prit mon sexe dans ses mains et tout en me regardant fixement me dit :
- Je veux te sentir en moi, fais moi l'amour...
Le sourire aux lèvres elle s'est allongée sur le lit, glissant ses jambes l'une contre l'autre, caressant sa poitrine, tout le temps se mordillant les lèvres. Elle entrouvrit ses cuisses, glissant quelques doigts sur sa fente humide, puis s'est soudainement retrouvée à quatre pattes, me suppliant de venir la prendre. J'ai saisi tendrement ses hanches, puis l'ai pénétrée avec douceur de toute ma longueur. Ses seins s'entrechoquaient à chacun de mes assauts. Je la sentais exulter de plaisir lâchant gémissements et soupirs. Quand elle me dit d'une voix haletante et fébrile :
- Glisses toi entre mes fesses...
J'allais pour présenter ma verge au seuil de ses jolies fesses, quand elle a ajouté d'un ton plus impératif :
- Mais d'abord, je veux que tu me lèches !
Je me suis reculé, elle s'est cambrée, m'offrant ainsi son petit trou étoilé. C'était la première fois que je m'aventurais avec ma langue dans pareille contrée, j'ai posé mes mains sur ses fesses, me suis penché, j'ai sorti ma langue que j'ai d'abord passée sur ses lèvres humides, puis je l'ai léchée jusqu'à remonter entre ses fesses. Le bout de ma langue titillait son orifice étroit et au son de ses gémissements, elle semblait aimer ça. J'alternais entre son clitoris et son anus, cherchant à satisfaire ses moindres désirs. J'étais le Valet de son plaisir. Elle dégoulinait d'excitation, se crispant à chaque spasme de plaisir. Son état d'excitation était tel que simplement la frôler, ou faire un souffle d'air sur son intimité la rendait fébrile, lui occasionnant d'intenses tremblements.

Elle s'est allongée tout en continuant de trembler, reprenant ainsi son souffle. Je me suis allongé près d'elle l'enveloppant de mes bras.
Après quelques instants, sa respiration s'était apaisée et son corps avait cessé de trembler. Son bassin se mit à onduler, venant se plaquer contre le mien.
- Je n'en ai pas finit avec toi ! J'attends encore que tu te glisses entre mes fesses... Me dit-elle d'une voix suave et pleine de désir.
Elle a prit ma main, s'est caressée la poitrine, descendant sur son ventre, ses hanches et alors que je voulu prendre l'initiative de m'attarder entre ses cuisses, elle saisit ma main de nouveau glissant sur ses fesses, pris mon index et le porta à sa bouche pour le sucer goulûment, puis l'approcha de ses fesses avant de se caresser lentement avec, cherchant à l'introduire en douceur dans son petit trou serré. Je n'avais jamais fait cela et je me sentais un peu gêné. Elle lâchait de petits soupirs, puis une phalange s'était introduite. Continuant à me guider, elle me fit introduire mon doigt un peu plus, tout en faisant de lents mouvements de va-et-vient. Cela semblait vraiment lui procurer un certain plaisir, alors d'une main je caressais sa poitrine, chahutant ses tétons dressés d'excitation et de l'autre je continuais à titiller son petit trou étoilé. Puis elle s'est redressé, s'est mise à quatre pattes, me présentant de nouveau ses fesses et elle m'a dit :
- S'il te plaît, je veux te sentir en moi, je veux sentir ta queue durcir en moi. Elle déposa un peu de salive sur ses doigts, caresse le sillon de ses fesses et à mon tour je me suis redressé, je me suis placé derrière elle et j'ai approché mon gland contre son orifice étroit. Doucement, je cherchais à pénétrer son temple sacré, d'abord mon gland et passé, lui faisant pousser un gémissement et se crisper, mais elle me dit :
- Ne t'arrêtes pas... Tout en laissant échapper un second gémissement et en serrant les draps entre ses doigts.
Je me suis lentement retiré, puis lentement je l'ai pénétrée de nouveau, glissant tendrement un peu plus profondément, puis d'avantage, jusqu'à y être de toute ma longueur. Elle me demanda de stopper, de ne plus bouger. Je me suis donc exécuté, mon sexe entièrement glissé entre ses fesses. Elle se mit doucement à bouger son bassin, je pouvais sentir son étreinte sur mon sexe. Elle continua d'onduler, doucement, puis un peu plus vite, jusqu'à glisser sur toute la longueur de ma verge bien dur. Je dois dire que cette sensation jusqu'alors inconnue, n'était pas sans me procurer un certain plaisir et la voir et l'entendre prendre son pied, m'excitait d'avantage. J'ai placé mes mains sur ses hanches, je mis suis délicatement agrippé et à pris dans l'élan d'excitation, j'ai commencé à aller et venir en elle, de plus en plus vite, et de plus en plus profondément. Elle ne tarda pas à gémir de plaisir, me demandant : "Encore... Encore..."
Avec une main, elle se caressait, glissait ses doigts dans sa fente humide et avec l'autre placée sur ma hanche, elle me donnait le rythme de mes coups de reins.
Je me sentais venir, mais ne voulais pas jouir avant elle, je m’efforçais de me contenir, mais mon souffle me trahissait.
Elle accélérera le mouvement, et je ne pu me retenir d'avantage. À peine ai-je eu le temps de me retirer que je me répandis sur ses fesses et elle exulta dans un orgasme quasi synchronisé. À nouveau son corps tremblait, sa respiration était saccadée et moi j'étais tout aussi tremblant et haletant.
Nous nous sommes allongés dans les bras l'un de l'autre, nous nous sommes embrassé avec une tendre passion et avant de poser sa tête sur mon torse, elle me dit :
- Merci beaucoup... Je n'avais jamais pris tant de plaisir... 
Puis elle me serra fort contre elle, nos deux corps en ébullition, nous nous sommes endormis...

M.C.




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