À la belle étoile

Nous avons prévu de rejoindre des amis pour un weekend camping. Pique-nique, tente et duvet dans le coffre, nous prenons la route pour les rejoindre à la campagne. Sur le chemin je me sens soudainement tout émoustillé et tout en conduisant, je pose ma main sur sa cuisse. Elle porte une petite robe d'été fleurie, ses cheveux défait ondulent sur ses épaules dénudées. Sa main se pose sur la mienne et nos doigts s'entremêlent. Je lui caresse le genou, car je sais chaque fois la faire frissonner, puis je remonte l'intérieur de sa cuisse, jusqu'à la lisière de sa féminité sacrée. Du bout des doigts j'effleure son intimité, alors qu'elle ferme les yeux tout en se mordillant la lèvre inférieure. Sa culotte devient humide, elle ressert ses cuisses, prenant ma main en otage.
- Il faut assurer maintenant très Cher... Fais-moi jouir !
Mes doigts se sont faufilé sous sa culotte, se glissant dans sa fente humide et se mirent à s'agiter lentement au début, puis de plus en plus vite. Un doigt s'est aventuré en elle, puis un deuxième qui lui fit lâcher un gémissement. J'ai poursuivi les va-et-vient avec mes doigts jusqu'à ce qu'elle se crispe, et essaie de contenir son orgasme, mais il était trop tard, tout en haletant elle se mit à jouir intensément.

Nous arrivions au terme de notre voyage, elle m'a demandé de me garer un instant pour qu'elle puisse se rafraîchir et se changer avant d'arriver. Tout en fouillant dans le coffre pour y sortir une nouvelle robe, elle marmonnait :
- C'est ta faute ça ! Faut toujours que tu te dissipe et chaque fois c'est moi qui succombe... Tu ne paies rien pour attendre ! (Me dit-elle en souriant).

Nous avons repris la route et après quelques minutes nous étions arrivés, retrouvant nos amis dans un grand pré en lisière de forêt. Nous avons trouvé un emplacement où monter la tente, nous y avons déposé nos affaires tout en nous taquinant... Puis nous avons rejoint nos amis pour un grand barbecue, bavardages et des jeux de sociétés. La journée et la soirée sont passés si vite. Il se faisait tard et nous nous sommes éclipsé pour retrouver l'intimité de notre tente qui ne fût pas si facile à trouver, d'autres tentes avaient poussé depuis notre arrivée. Quand enfin nous l'avons trouvée, il ne nous fallut pas longtemps pour nous retirer nos vêtements. Elle n'avait de cesse de me faire "chute" tout en plaçant son index sur ses lèvres. La quasi pleine lune nous offrait un peu de lumière, je pouvais voir se dessiner son corps de déesse. La lumière de la lumière sur sa poitrine s'est reflétée tout en la sublimant. Elle s'est assise au fond de la tente et s'est mise à se caresser la poitrine. Ses mains se sont glissées le long de ses flancs pour s'arrêter sur ses hanches et son ventre. Elle poursuivit son chemin en longeant ses jambes, et me tendant ses pieds.
- Masses moi s'il te plaît...
J'ai pris ses pieds entre mes mains et j'ai commencé à les masser. Elle s'est allongée sur le ventre, puis j'ai caressé ses mollets, remontant le long de ses cuisses, glissant sur ses fesses. Je me suis mis à califourchon sur elle tout en veillant à ne pas l'écraser, et je lui ai massé le dos, les épaules, la nuque, puis la tête. Je la sentais se détendre petit à petit.
- Masses moi plus bas...
Je suis donc redescendu de sa nuque à son dos et descendant encore pour palper ses petites fesses bien rondes. Avec mes pouces je lui faisais des petits rouleaux au haut des fesses. Je me suis un instant attardé sur ses cuisses avant de m'aventurer près de son intimité, cherchant sa fente intime pour la doigter tendrement. Je sentais monter mon excitation, mon sexe était en érection et se frottait lentement aux fesses de ma dulcinée.

Soudainement la Belle me fit m'allonger sur le dos, m'a enjambé et tout en saisissant mon sexe entre ses mains, elle a placé son intimité au-dessus de mon visage et s'est frotté à ma bouche, m'invitant à lui faire un cuni, pendant qu'elle me suçait goulûment. Je me délectais de son clitoris, tout en caressant ses seins qui se balançaient, pendant qu'elle dégustait ma queue bien bandée avec gourmandise. Nous tentions de retenir nos gémissements tout en cherchant à faire perdre pieds à l'autre. Sous l'emprise de l'excitation, mon index s'est invité dans son petit trou étoilé, tout en continuant à savourer sa fente humide.
Elle changea de position pour venir m'embrasser et discrètement à l'oreille m'a glissé :
- Mets la moi...
Elle s'est allongée dos à moi, commençant à frotter ses fesses contre moi. Elle a levé sa jambe pour me faire de la place, s'est saisit de mon sexe pour le guider en elle. Je tâchais de rester discret dans mes va-et-vient pour ne pas réveiller nos voisins. Mais plus je m'activais en elle et moins elle parvenait à retenir ses gémissements. J'ai place ma main sur sa bouche tout en lui prodiguant une petite fessée. Puis mon sexe entre ses fesses s'est lentement frayé un chemin. Je tâchais d'être doux et discret, mais elle laissa échapper un cri d'excitation en me disant "encore"...

Après avoir tout deux atteint l'orgasme, nous nous sommes blottis l'un contre l'autre, et nous nous sommes endormis tendrement.
Quelques heures s'étaient écoulées, le jour commençait à se lever et certains amis matinaux commençaient discrètement à remettre de la vie dans le camp. Nous avons joué les prolongations en restant dans les bras l'un de l'autre jusqu'à ce qu'une odeur de café chaud nous sorte du sommeil. Un brin de toilette rudimentaire et main dans la main nous avons rejoint notre groupe d'amis en espérant qu'aucun d'eux nous ait entendu cette nuit...

M.C.

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