Soirée entre amis

Soirée entre amis
La soirée est bien entamée, voilà plusieurs heures que nous faisons la fête, à danser et chanter. Nous sommes une vingtaine de personnes, des amis proches et de nouvelles têtes. L'une d'elles depuis le début de la soirée a attiré mon attention et il semble que je ne l'ai pas laissée indifférente. Nos regards se croisent, mais nous n'avons pas encore eu l'occasion de nous parler. Toujours entourée de ses copines, mais comme l'y soustraire durant un instant ?

Je la vois qui s'éclipse enfin pour se rendre à l'extérieur. Je lui emboîte le pas et la rejoins sur la terrasse. Cigarette au bord des lèvres, je la vois qui cherche son briquet. Je lui tends le mien, flamme allumée. Elle allume sa cigarette, puis me remercie en souriant. Le me toise de la tête aux pieds, puis sourit de nouveau dans décrocher un mot. Elle se mordille discrètement la lèvre inférieure, tout en jouant avec sa cigarette. Elle l'écrase, la jette dans le cendrier, me frôle et me lance un clin d'œil complice avant de retourner à l'intérieur.

Je rentre à mon tour pensant n'avoir aucune chance avec cette fort jolie demoiselle. Je prends un verre de punch et suis interpellé par un ami qui se lance dans un long monologue, mais mon esprit est ailleurs, et mon regard se porte sur la Belle, qui me surprend à l'observer. Mais cela semble l'amuser car elle me lance discrètement un clin d'œil tout en passant le bout de sa langue sur lèvres. À cet instant le monologue interminable de mon ami n'est plus qu'un bruit de fond, tout mon attention est tourné vers cette sublime créature qui semble vouloir me torturer. Elle caresse lentement ses cuisses en toute discrétion, puis ses mains sur sa poitrine s'égarent et comme si de rien n'était poursuit la conversation avec ses amies.

Son groupe d'amies se lève et se met à danser et comme de fait exprès la Belle reste assise sirotant son verre tout en me regardant. Sa langue joue avec sa paille et taquine elle passe un doigt dans son décolleté. Je me libère enfin de mon ami bavard et me dirige droit vers la demoiselle. Je prends place à ses côtés et nous entamons la conversation, discutant de tout et de rien. Son regard m'hypnotise, sa voix m'envoûte et son rire est une douce mélodie. Sa main se pose sur ma cuisse, elle se penche vers moi et me susurre discrètement à l'oreille :
- Tu me plais beaucoup toi, tu sais ? Ne voudrais-tu pas m'emmener ailleurs ?
Il ne m'en fallait pas plus, je lui ai pris la main et nous nous sommes éclipsé de la fête.

Une fois dehors, mon bras autour de sa taille, nous faisons quelques pas sous les réverbères. Nous nous sommes assis sur un banc tout en nous regardant intensément, avant de nous embrasser passionnément. Soudainement la pluie se mit à tomber et nous à courir pour trouver un abri, mais aucun de nous ne voulait retourner à la fête. Quand me vint une idée, lui prêtant ma veste pour ne pas qu'elle se mouille, nous nous dirigeons vers ma voiture. Ça n'est pas un palace, il n'y a pas beaucoup de place, mais nous serons au chaud, à l'abri de la pluie et surtout seuls.

Je mets un fond de musique, un peu de chauffage et je reprends où nous en étions restés sur le banc, je m'approche et l'embrasse. Je pose ma main sur sa cuisse, lui caresse le genou et lentement remonte sur sa hanche et du bout des doigts je caresse son dos. Elle s'en vient à califourchon sur moi, ses mains déboutonnent ma chemise, et se baladent sur mon torse. Mes mains se glissent sous son débardeur, sa peau est brûlante et douce. Je m'aventure sur ses fesses que caresse et presse délicatement. Le désir nous embrase et nous consume, en un éclair nous nous retrouvons à l'arrière de la voiture, son débardeur s'en est allé suivit de ma chemise. Avec doigté j'ai dégrafé son soutien-gorge libérant ses jolis seins nacrés, pendant qu'elle déboutonnait mon pantalon. Allégée de son short, elle se retrouvait en collant. Elle est venue sur moi se frotter et m'embrasser. Je sentais l'excitation monter, j'avais très envie d'elle. Emporté par la fougue je l'ai soulevée, elle s'est mise à quatre pattes sur la banquette arrière, j'ai caressé ses fesses, saisis son collant que j'ai craqué. J'ai écarté son string et je l'ai caressée. Elle était déjà abondamment mouillée, et lâchait de petits soupirs étouffés. J'ai glissé un doigt, puis deux dans son intimité sacrée, et mon pouce sur son clitoris s'agitait.

Accrochée au rebord de la fenêtre, gémissante elle m'a lancé :
- Vas-y, prends moi...
Gratifiant son séant d'une petite fessée, j'ai saisis ses hanches et délicatement l'ai pénétrée. Petit à petit mes assauts s'intensifiaient, mes coups de reins claquaient contre son fessier galbé. Je caressais sa peau douce et chaude, ses seins se balançaient au rythme de mes va-et-vient, l'instant était divin. Elle gémissait de plus en plus fort jusqu'à pousser un cri d'extase lorsque je lui offris l'orgasme. Elle tremblait et se cambrait alors que je continuais à venir en elle. Puis je me suis agrippé à ses hanches, me suis retiré et j'ai joui sur ses jolies fesses blanches...

Après avoir repris nos esprits, tout deux satisfait de cette bonne levrette, nous nous sommes rhabillés et avons comme si te rien été rejoints la fête.

M.C.

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