Visite d'appartement

Aujourd'hui j'ai rendez vous avec un agent immobilier pour visiter un appartement haussmannien dans les beaux quartiers. Pas que je sois réellement intéressée, mais j'aime les beaux appartement et ça donne parfois des idées d'aménagement et puis j'aime bien m'amuser à séduire les agents.

Il est 13h30, j'arrive près de l'adresse indiquée sur mes papiers. Je n'ai rendez-vous que dans 30min, alors je traverse la rue pour le rendre dans un café. Le serveur qui vient apporter ma commande me regarde sans trop de subtilité, alors je lui lance :

- J'espère jeune homme que ce que vous regardez ainsi vous plaît !

Gêné et un peu honteux de son indiscrétion, il dépose mon café, détourne le regard et tourne les talons en s'excusant. Assise en terrasse j'observe les passants tout en appréciant les doux rayons du soleil.

14h00 ! Je vois un bel homme s'avancer vers l'appartement que je dois visiter. Il a une belle allure dans son costume bien taillé.

Je me lève, paie mon café et lance un clin d'œil au jeune serveur intimidé. Je traverse la rue pour rejoindre ce bel agent.

- Bonjour Madame ! Est-ce avec vous sur j'ai rendez-vous ?

- Enchantée ! Oui en effet c'est bien avec moi ! Ai-je répondu en souriant.

- Bienvenue ! Si vous voulez bien me suivre !

Il pousse une lourde porte qui s'ouvre sur un hall immense. Sur les murs se mêlent colonnes de marbres et jeu de miroirs, un carrelage en damier recouvre le sol, et au fond après quelques marches, les ascenseurs avec un escalier en colimaçon autour avec un garde corps en fer forgé. L'ascenseur prend place dans un grand tube transparent, l'agent en ouvre les portes, m'invite à entrer et alors que les portes se referment, il appuie sur le bouton du dernier étage. À cette instant, enfermé dans cet ascenseur exigu avec ce bel agent, je me sens comme en apesanteur en direction du septième ciel. L'homme me fait l'historique du bâtiment, tout en me regardant discrètement de temps en temps. Arrivés à destination, toujours très galant, il m'ouvre la porte et me laisse passer. Nous nous dirigeons vers l'entrée de l'appartement et entrons dans un long couloir qui, m'explique t'il dessert toutes les pièces. À droite se trouve le séjour immense et lumineux, avec une belle cheminée, des moulures raffinées et au sol un parquet massif sublime. Plusieurs grandes fenêtres illuminent la pièce et chacune donne sur un balcon dans vue sur un joli jardin privé verdoyant.

Pendant que j'admire l'appartement, je sens le regard de l'agent se poser sur moi. Il tâche de rester discret, mais les miroirs trahissent les intentions. Je sens que je ne le laisse pas indifférent et je commence à jouer avec lui en déboutonnant mon blazer, laissant apparaître mon joli décolleté. Professionnel, il m'a proposé de poursuivre la visite, m'invitant à me diriger vers la cuisine. Je faisais danser mes fesses rebondies tout en marchant devant lui, puis ai franchi l'arche qui séparait le séjour de la cuisine. La pièce était très lumineuse elle aussi, l'espace était sobre et chic. Nous avons pour suivit la visite, de la salle de bain aux chambres, puis à un magnifique bureau et nous sommes retournés à la cuisine où il avait déposé sa tablette est ses dossiers. Tout en veillant à ne pas froisser mon tailleur, je me suis assise sur le coin de l'îlot en croisant les jambes. Il a continué à me parler de l'appartement, me vantant ses qualités, son emplacement, mais tout ce que je voulais c'était qu'il me prenne sauvagement.

Il a desserré sa cravate, mes œillades commençait à faire effet. Tout en rougissant, il me dit vouloir me montrer  encore autre chose. J'espérais qu'il arrache sa chemise dévoilant ainsi sa musculature que je pensais deviner, mais au lieu de ça, il m'entraîna sur le balcon, tout au fond se tenait un escalier en fer qui menait à un toit terrasse où la végétation luxuriante faisait ombrage. Les oiseaux chantaient, il n'y avait aucun vis-à-vis, c'était calme et paisible.

L'homme marchait dans mes pas et lorsque je me suis subitement retournée, nous nous faisions face, à quelques centimètres l'un de l'autre. Je sentais son parfum enivrant, et il se laissait lentement envoûter par le mien. Je sentais qu'il luttait, voulant à la fois rester professionnel tout en voulant succomber à mes avances. J'ai passé ma langue sur mes lèvres, et il ne ou d'avantage résister et m'a langoureusement embrassée. Son baiser était divin, plein de fougue et de passion. Ses mains se sont posées sur mes hanches, l'une s'est égarée sur mes fesses et ça n'était pas pour me déplaire depuis le temps que j'attendais.

Nous avons profité de l'intimité de ce toit terrasse pour commencer à nous déshabiller. Je retirais sa chemise dévoilant son torse musclé, tel que je l'avais imaginé. Il me libérait de mon chemisier dans lequel ma poitrine commençait à étouffer. Il plongea son visage dans mes seins, puis se mis à tendrement pincer mes tétons entre ses lèvres charnues. Mes doigts se glissaient dans sa chevelure et je sentais ma respiration s'accélérer. Sous son pantalon grossissait son excitation, je me suis agenouillée, faisant descendre son pantalon à ses pieds. J'ai agrippé mes doigts à l'élastique de son caleçon tout en me mordillant les lèvres et le regardant avec mon air mutine. J'ai lentement fait glisser son vêtement le long de ses jambes musclées, libérant son sexe impressionnant, restant un instant songeuse face à si bel instrument. Enfin je le pris en bouche, il était si dur... Je l'ai léché sur toute sa longueur, l'ai sucée goulûment, alors qu'il défaisait mon chignon pour m'attraper les cheveux. Huuuum...

Il m'a relevée et presque sans ménagement à relevé ma jupe sur mes fesses. Sa main sur mon fruit intime s'est glissée, se frottant et me caressant. Il a retiré mon string en dentelle qu'il porta à son nez pour inspirer mes effluves de féminité. Il me fit me pencher sur le dos du canapé, s'est penché à son tour pour me lécher le minou, jusqu'à mon petit trou. Il m'a léchée, suçotée, son jeu de langue était divin, on sentait qu'il n'en était pas à son coup d'essai. Il prit son temps pour savourer mon clitoris qui fut mis au supplice.

Je commençais à ne plus pouvoir retenir mes gémissements, et je me suis mise à mouiller abondement, ce qui le fit se délecter de plus belle. Il profitait que je perde pied pour glisser un doigt dans mon intimité, puis un second, tout deux s'agitant en moi, Dieu que c'était bon...

Soudainement, je sentis son sexe impressionnant se frotter à mes fesses. Agrippé à mes hanches, il m'a pénétrée vigoureusement. Ses assauts puissants me remplissaient pleinement, me faisant crier d'extase. Il était aussi doué avec son instrument qu'il l'avait été avec sa langue. Je me sentais défaillir, j'étais tremblante, haletante et frémissante. Une fois de plus il m'a surprise et glissant son doigt enduit de mouille dans mon petit trou, ce qui me fit à nouveau pousser un petit cri. Ses va-et-vient dans mon vagin étaient divin, et je sentais monter l'orgasme. Il n'y a pas à dire le bellâtre savait y faire. Il me fit jouir la première, avant de me faire mettre à genoux devant lui pour le faire jouir à son tour, recevant sa semence chaude dans ma bouche. Je l'ai sucé jusqu'à la dernière goutte, puis tout deux transit par nos ébats, nous sommes restés un instant avachis dans le sofa.

Après avoir recouvré nos esprits, nous nous sommes rhabillés, je me suis un instant éclipsée dans la salle de bain pour me recoiffer un peu et me réapprêter. Tout deux souriant, je prie congé de lui après l'avoir embrassé une dernière fois et j'ai glissé mon string dans la pochette de sa veste pour qu'il conserve un petit souvenir de moi. Je pris le chemin de la sortie, heureuse et comblée de ce bel après-midi passionné.

M.C.