Ébats improvisés

Parlant de choses et d'autres et d'autres choses, nous avons partagé un moment agréable dans le jacuzzi. Nos corps se frôlant volontairement par accident. Nous caressant innocemment, presque inconsciemment, sans trop savoir si c'était par manque, par envie, ou par habitude, nous étions dans mes bras l'un de l'autre sans vraiment nous poser de question.

Puis la fraîcheur s'est fait sentir et de l'eau nous sommes sortis. Après s'être séchés et rhabillés, la soirée s'est égrainée en bavardages divers et variés. Nous avons partagé l'apéro, puis dîné, tout en écoutant de la musique. Toute la soirée j'avais la main sur sa jambe, que je caressais presque inconsciemment. Parfois elle faisait de même en posant sa main douce et délicate sur ma cuisse. Puis nos corps se sont appelés, désirés. Elle s'est levée de sa chaise pour venir s'assoir sur moi. Nous nous sommes embrassés, langoureusement nos langues se sont mêlées et elle a commencé à faire onduler son bassin  sur le mien. Mon sexe s'est dressé d'excitation, elle l'a sorti de mon short, à relevée sa jolie robe d'été, écarté son string de ses lèvres mouillée pour venir sur mon sexe s'empaler. Me sentir en elle était divin et plus encore lorsqu'elle commença de doux va-et-vient...

Mes mains caressaient ses cuisses, l'arrondi de ses fesses, nos corps ne faisait plus qu'un alors. Elle sortie sa poitrine exquise de leur écrin, et d'envies je les ai couvert de baisers, léchés et suçotés.

Nous avons fait l'amour parfois de façon acrobatique, sur une chaise, puis un transat, avant de nous installer nus sur son canapé, où je lui ai fait fougueusement l'amour, sentant son corps chaud tout contre le mien, tout en admirant son corps de femme transit de plaisir. Après un missionnaire intense, je voulu goûter son plaisir à ses lèvres intimes, mais déjà s'était elle tournée pour m'offrir ses fesses délicieuse en levrette. Comment refuser pareille offrande? Alors délicatement je me suis glissé en elle et lui ai fait à nouveau l'amour, alternant douceur et fougue, jusqu'à ce que nos deux épuisés par nos ébats improvisés s'allongent l'un près de l'autre pour juste sentir le plaisir d'un instant d'appartenir...

M.C.