Coquineries au bord de l'eau

Par un bel après-midi de printemps, où le soleil est doux, deux amants marchent bras dessus bras dessous. Sur les bords d'un fleuve, ils s'arrêtent ici et là, pour profiter du paysage et de ses joies (chants des oiseaux, clapotis de l'eau, une légère brise pour oublier qu'il fait chaud...).

À mesure que la balade avance, les premières œillades commencent. Des regards qui ne trompent pas, des sourires qui mettent en émoi, des caresses du bouts des doigts. À quelques pas de là, un bel endroit où entrevoir des ébats. Tout deux pressés par leur désir, en un clin d'œil leurs vêtements retirent. Nus comme au jardin d'Éden, ils se caressent, se frôlent, se pressent. Ce qu'il est doux de parcourir le corps de l'autre. Se sentir frémir de plaisir, avec cette irrépressible envie de jouir. Leurs corps s'entremêlent, tout deux s'adonnent à des jeux sensuels, pensant l'instant éternel.

M.C.

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