Coquineries en cuisine

La Belle aux cheveux longs, pétri et pâtisse, toute en farine et en fruits. Elle chantonne un air enjoué, et danse entre le four et l'évier. Qu'est-ce qu'elle est belle...

Dans son petit short un peu moulant et son joli débardeur blanc, elle déambule dans la cuisine en chantonnant. Je l'observe quelques instants, puis elle me voit la contempler en souriant.

Je m'approche et succombe à l'irrésistible envie de la serrer dans mes bras, elle sourit à son tour et joueuse, du bout de son doigt taquin me met de la farine sur le nez en riant.

Je l'attrape par la taille, et lui rend son sourire. Un instant suspendu dans l'espace et le temps, où elle et moi sommes complice. Son regard plongé dans le mien, elle s'amuse avec son air mutin.

Elle reprend à pâtisser, mais je me sens comme envouté, sous l'emprise d'une passion dévorante. Mes mains se posent délicatement sur ses hanches, mes lèvres s'approchent de son cou, et j'y dépose un tendre baiser. Sa peau frissonne, ses yeux se ferment, son joli nez se plisse et mes mains lentement se glissent sur ses seins qui frémissent.

Le désir s'éveille, nos corps s'embrasent et très vite s'enlacent. Nos vêtements s'évaporent, ne laissant que nos corps nus et endiablé d'un désir fougueux et passionné. Assise sur le plan de travail, enserrant ma taille de ses jambes exquises, elle me donne le rythme de nos ébats effrénés. Sa poitrine danse à chacun de mes va-et-vient. Je n'ai de cesse de caresser sa peau douce et soyeuse, comme pour apprendre chacune de ses courbes par cœur...

En se relevant, du bout du doigt je dessine un cœur sur ses jolies fesses toutes blanches de farine. J'ai encore éperdument envie d'elle et elle de moi. Taquine, elle se saisie d'une paire de framboises qui traînait là, et les place sur chacun de ses tétons tout droit dressé d'excitation. Sans me faire prier, et non sans gourmandise, j'attrape du bout des lèvres les fruits délicats et léchant goumet ses tétons dressés.

- Gourmand, va... Et si tu venais plutôt savourer mon fruit défendu !?...

À nouveau elle grimpe sur le plan de travail, s'installe, et ouvrant généreusement ses cuisses, elle m'offre son joli sexe. Ses lèvres intimes déjà humides de désir, et son rougeoyant bouton de rose n'attend que ma langue gourmande pour connaître le plaisir et l'extase.

Après avoir butiner sa délicieuse fleur intime, et en avoir récolter son nectar de féminité, elle s'est agenouillée sur l'une des chaises de cuisine, s'est agrippée à son dossier en bois, puis à commencer à faire danser ses fesses sublimes.

- Viens, fais-moi l'amour !

Comment refuser pareille invitation ? 

Ainsi se poursuit nos coquineries en cuisine. Faisant l'amour sans livre de recettes, ne nous fiant qu'au plaisir et à notre merveilleuse complicité...

M.C.