Le meilleur reste à jouir...

La belle se réveille d'humeur taquine, sourire aux lèvres, elle parcours mon torse de ses doigts fins, dessine mon visage, mes lèvres avant de m'embrasser. J'ouvre un œil, puis deux et la découvre à califourchon sur moi. Elle agite sa poitrine frémissante en souriant et commence à se mouvoir sur mon bassin. Il ne fallut pas longtemps pour que tout en moi s'éveil et s'élève. Visiblement satisfaite de ma réaction, en descendant féline, rôder auprès de mon sexe fièrement dressé. Elle l'effleur du bout des lèvres, le lèche telle une friandise, avant de le prendre en bouche de toute sa gourmandise. Elle me regarde perdre pieds, et continue à délicieusement me torturer, puis alors que l'excitation est à son comble, à deux doigts d'exulter, elle me regarde droit dans les yeux et me lance :

- Le meilleur est encore à venir...

L'air satisfaite, elle se lève, me lance un regard taquin et sort de la chambre.

Le temps de recouvrer mes esprits, je reste quelques minutes encore au lit et finis par me lever aussi. Je prends une bonne douche, me glisse dans un short et quitte la chambre en quête de la belle tentatrice, que je retrouve derrière l'îlot de la cuisine en train de préparer le petit déjeuner. Ça sent mon les toasts grillés et les pancakes à la banane, mon thé est servi, son café à coulé et le soleil inonde la cuisine de ses rayons. Je l'embrasse pour dire bonjour et c'est là que je remarque sa tenue.

- C'est nouveau ça ?

- Ah oui !? Tu as remarqué ? J'ai trouvé ça mignon l'autre jour et je me suis dit que tu aimerais...

Un joli peignoir façon kimono japonais aux motifs floraux qui dessine joliment ses courbes. Et faisant un pas de recule pour bien la regarder, elle dénoue la ceinture ruban qu'elle porte autour de sa taille et délicatement ouvre son peignoir dévoilant son exquise nudité.

- Tu aimes ? Me lance-t-elle en souriant !

Je m'approche pour l'embrasser et entreprenant de déposer mes mains sur ses hanches, mais elle m'esquive et enchaîne en disant :

- Navré très Cher, mais le petit déjeuner va refroidir ! Mais le meilleur reste à venir...

Il n'y a pas que le déjeuner qui va refroidir... Et je me fais la remarque que c'est la deuxième fois qu'elle prononce ces mots.

J'avale ma tasse de thé, me régale de ses pancakes moelleux à souhait et je regarde par la fenêtre le soleil poursuivre sa course.

Elle prend sa tasse à café entre ses mains, le petit doigt levé pour l'air distingué, et croise ses jambes nues avec élégance. Toutefois sa féminité se dévoile, sa poitrine libre et offerte à mon regard sort du peignoir. Elle repose sa tasse, s'assoit au fond de sa chaise et son pied vient longer ma jambe. Je crois que la belle veut jouer. Elle pivote sur sa chaise, entrouvre ses jambes et glisse une main entre ses cuisses. Ses doigts se frottent à son calice, glisse dans sa fente lisse et lentement s'immiscent dans sa jolie fleur de lys...

Elle se caresse d'une main, de l'autre parcours ses seins dont les tétons pointent d'excitation. Elle se mordille les lèvres et son pied à nouveau glisse le long de ma jambe. Elle me regarde intensément et me dit d'une voix suave et passionnée :

- Le meilleur reste à venir...

Je suis sous le charme, j'adore la voir ainsi et visiblement je ne suis pas au bout de mes surprises. Elle continue un instant à faire monter son plaisir et grimper mon désir. Je me lève, m'agenouille devant elle, mes mains recevant la coupe de son bassin, je m'avance tout en la regardant et dépose mes lèvres sur son beau sexe chaud et humide. Je suis comblé, j'aime tant la savourer, savourer sa féminité sacrée, me délecter de son nectar intime. Elle se crispe de plaisir, gémit et ondule à chaque passage de ma langue gourmande sur son bouton de rose ardent. Je la lèche, la suçote et la voilà bientôt aux portes du plaisir ultime, haletante, les yeux fermés, lèvres pincées, doigts crispés sur mes épaules, elle soupir, halète... Et je cesse ! Mes mains s'égarent sur ses fesses, je me redresse et lui lance :

- Le meilleur reste à venir mon amour...

- Ha non ça c'est mon jeu ! Dit-elle l'air faussement vexée, mais réellement frustrée ! Elle se relève, me bouscule légèrement et plonge sa main dans mon short pour y saisir mon sexe qu'elle astique énergiquement tout en me disant :

- Tu veux jouer ? On va jouer M. Coquin !

Elle tient ma verge dans sa main et m'entraîne après elle dans le séjour ! Elle me pousse sur le canapé et tout en me faisant face et soutenant mon regard, elle fait glisser son kimono fleuri le long de son corps qui se dénude. Elle se met à danser d'un pied sur l'autre, à caresser sa poitrine exquise, puis elle me regarde à nouveau droit dans les yeux et me dit :

- Profites de la vue mon Cher...

Elle me tourne le dos, continue à danser avec grâce et sensualité, puis se penche soudainement vers l'avant m'offrant ses fesses exquises d'où j'aperçois briller un diamant.

En effet, le meilleur reste à venir... Mes mains enveloppent ses jolies fesses, où je dépose quelques baisers, avant qu'elle ne se redresse pour s'agenouille à mes pieds. Elle enlève mon short, me fait m'allonger sur le canapé, vient se placer à califourchon sur mon visage pour que je puisse de nouveau la savourer pendant qu'elle s'occuperait de mon sexe dressé.

L'excitation monte en flèche, la passion nous consume, sur le canapé nous faisons l'amour, c'est beau, délicieux et intense. Nos baisers ardents, nos caresses tendres et taquines, et nos corps embrasés qui s'entremêlent, se chevauchent, ondulent. Découvrant de nouvelles positions, de nouveaux horizons, faisant l'amour avec déraison, nous succombons à la passion.

La belle avait raison, "le meilleur reste à venir". Dans une ultime chevauchée, alors que d'un mouvement gracieux elle fait onduler ses cheveux, que ses seins délicieux dansent sous mes yeux, que nos mains se joignent et nos doigts s'entrecroisent, le plaisir est à son comble. Dans un dernier va et vient sur mon bassin, nous rendons les armes, nos corps tremblent, se crispent et frissonnent. Nous venons de jouir à l'unisson, haletants nous reprenons notre respiration. Elle s'allonge sur moi, son oreille collée à ma poitrine écoutant mon cœur battant elle me lance :

- Le meilleur est cet instant, où je l'entends battre pour moi... Merci mon bel amant, de toujours être là pour moi...

M.C.