Faire les courses

Cet après-midi la belle est joueuse, déjà dans la voiture elle me provoque, cherche à éveiller mon désir. Sa main qui remonte le long de ma cuisse et s'arrête sur mon entrejambe alors que je conduis. Puis elle remonte lentement sa jupe fleurie qui laisse apparaître ses jambes lisses. Elle sourit et me sussure des mots coquins à l'oreille.

Arrivés sur le parking elle m'embrasse et sort de la voiture. Je prends le caddie et nous entrons dans la galerie. Nous commençons les courses, et la belle est toujours d'humeur très joueuse. Elle me frôle, me met la main aux fesses, se baisse devant moi de façon très suggestive, voir explicite. On déambule dans les allées, remplissant le caddie de choses et d'autres. Et je dois dire qu'à force de me chauffer, la belle a réussi à m'exciter. J'ai de plus en plus envie d'elle, là entre les rayons, mais bien trop de monde pour être discret, ce qui semble d'avantage l'exciter.

Je la vois qui réajuste sa jupe, après avoir retiré sa culotte, la faisant balancer au bout de son index tendu dans ma direction en souriant.

- Ma p'tite chatte est toute mouillée, regardes...

Elle me tend sa culotte et en effet celleci est un peu humide, et moi très excité. Un peu plus loin, au rayons glaces, elle plaque ses seins contre la vitre du congélateur, quand elle se retourne elle pointe... Elle sort ses seins délicieux de son débardeur et les caresses en se mordillant la lèvre inférieure. Puis entendant des bruits de pas elle replace ses seins dans leur écrin.

Nous approchons du rayon textile et déniche quelques vêtements d'été. Elle s'engouffre dans une cabine d'essayage. 

Elle passe sa tête par le rideau et me demande d'approcher, elle veut mon avis sur la tenue à choisir. Je laisse le caddie sur le côté et je passe une tête dans la cabine, mais la belle est nue et tire sur mon t-shirt pour me faire entrer. Elle m'embrasse langoureusement, me plaque contre la parois de la cabine, elle s'agenouille et défait mon pantalon pour en sortir mon sexe et commence à me branler en ne me quittant pas du regard. Mon sexe durcit et elle le prend en bouche pour me sucer avec gourmandise jusqu'à ce que je vacille. Me sentant fébrile, elle se relève, m'embrasse, et je glisse ma main entre ses cuisses pour la caresser.

Je la soulève, et debout sur le petit banc de la cabine, elle m'offre sa jolie fente lisse que je lèche avec délice. Je suçote son beau clitoris et glisse un doigt dans son vagin chaud et étroit. Elle tremble, puis tente te retenir ses gémissements, mais je la doigte un peu plus encore et son clitoris est sous ma langue gourmande.

Elle se crispe et se cambre et tout en étouffant ses gémissements, elle glisse :

- J'ai envie de toi, fais-moi vite l'amour...

Elle descend de sur le banc, je la plaque contre la cabine, elle cambre sa jolie chute de reins, m'offrant ses jolies fesses. Pantalon aux chevilles, je m'agippe à ses hanches et commence de doux va-et-vient. Je caresse ses jolis seins, et accentu mes coups de reins... on tangue, on s'entremêle, on vacille, on s'aime à l'horizontale et on jouit en gémissant en silence. On se rhabille en riant, je regarde derrière le rideau discrètement pour voir si la voie est libre, puis nous sortons comme si de rien était, échevelés et débraillés. On rit complice et poursuivons nos courses le sourire aux lèvres et les yeux étincelants.

M.C.