Dimanche pluvieux 🌧️

Il fait tout gris et si froid dehors. Nous nous sommes réveillés tard, et avons pris le p'tit déj aux portes de midi. Chacun installé dans un coin du canapé, la belle regarde une série emmitouflée sous son plaid douillet et moi qui bouquine un roman que j'ai déjà bien entamé.

Parfois nos regards se croisent et s'échangent, accompagnés d'un sourire complice. Puis je retourne aux pages de mon livre et elle aux intrigues de son feuilleton. Petit à petit, je la sens qui se hisse vers moi et qui vient se blottir dans mes bras. Elle me regarde avec son joli minois et je devine au ton de sa voix, qu'elle commence à avoir envie de moi...

Elle se redresse, trifouille sous son plaid et tout en me regardant de son air taquin, me lance :
- Abracadabra... !
Le plaid disparaît et sa poitrine exquise apparaît ! Divin tour de magie qui me laisse pantois, tout en me faisant sourire.
- Ils sont tout chaud et n'attendent que toi ! Reprend-t-elle de plus belle.
Sans plus tarder, ni la faire d'avantage patienter, j'enveloppe ses jolis seins avec mes mains et les embrasse délicatement. Je lèche ses mamelons, suçote ses tétons et lui provoque de doux frissons.

Aventureuses, mes mains sur son corps se glissent, l'une se plonge dans son short de pyjama bleu, pour y explorer un peu plus bas du bout des doigts, là où entre ses cuisses se trouve son doux calice. L'autre caresse effleure sa nuque, son dos, ses épaules. Du bout des doigts je caresse son beau sexe, trouve son bouton de plaisir qu'avec tendresse je titille. J'entends ses premiers gémissements timides, et ça m'émoustille. D'une petite bascule acrobatique, elle se glisse sur la méridienne et son short a disparu. La voilà entièrement nue et offerte à ma gourmandise. Ses jambes s'ouvrent lentement, dévoilant avec sensualité son trésor intime, et après un instant à la contempler, ma langue s'impatiente de la goûter. Huuuum quel délice...

Ses gémissements se font plus bruyant, ses jambes sur mes épaules se crispent, ses doigts s'agrippent aux coutures du canapé, sa poitrine halète d'une respiration saccadée. Pour rien au monde elle ne voudrait que ça s'arrête, je suis à deux doigts de son orgasme. Mais elle se relève, et se met à quatre pattes sur le canapé, me tendant ses fesses qu'elle claque tout en me regardant et me disant qu'elle a très envie de me sentir en elle. 
La vie sur sa chute de reins et le bel arrondi de ses fesses exquises ne me laisse pas indifférent et à peine me suis-je redressé, qu'elle vient plaquer ses fesses contre mon sexe dressé. Elle se frotte à moi comme pour me presser, et finit par prendre mon sexe dans sa main pour le guider et lentement glisse son sexe sur le mien... Quelle délicieuse sensation... Cette douce chaleur enveloppante, cette légère contraction autour de ma verge déployée. Elle dégouline d'excitation et je glisse en elle au rythme de ses va-et-vient ! Mes mains ont trouvé le chemin de ses hanches pour s'y agripper. En levrette sur la méridienne, faisant la bascule du tape-cul, ou dans l'union du papillon, nous faisons l'amour à en perdre haleine.

Nos ébats effrénés et ardents nous ont menés l'un et l'autre vers la jouissance. Tout deux haletants et transits, nous nous sommes allongés sur la méridienne, se blottissant l'un contre l'autre. Je pouvais encore sentir son cœur battre s'y fort dans sa poitrine... Elle était dans mes bras et moi dans les siens, et nous étions bien...
Voici comment bien occuper un dimanche pluvieux. Un peu de coquineries improvisées, quoi de mieux ?

M.C.

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