Belle insoumise

Toute guillerette, la belle apparaît dans le salon en tenue de soubrette. Toute en dentelle noire, de jolis bas qui élancent ses jambes, petit tablier blanc et une coiffe dans ses longs cheveux. Un joli corset raffiné dessine sa silhouette, et son string met délicieusement ses petites fesses en valeur. L'air penaude, elle s'avance vers moi comme si elle avait fait une bêtise et cherchant à ne pas sourire, elle me tend une cravache en disant :

- Je n'ai pas été sage mon Chéri... Je mérite d'être puni...

Et tenant l'autre bout de la carvache, elle nous dirige vers la chambre en minodant pour m'attendrir. Elle se place à quatre pattes sur le lit, me tend ses jolies fesses galbées et en me regardant avec un léger sourire, me répète :

- Je n'ai pas été sage, punis moi !

La cravache en main, un peu hésitant, je demeure perplexe. Mais visiblement elle n'attend que ça. Alors je donne un petit coup sec et franc. Elle sursaute et pousse un petit gémissement, tout en me regardant en souriant. 

- Encore... J'ai vraiment été très vilaine !

Alors je renouvelle mon châtiment, puis une fois encore et alterne d'une fesse à l'autre pour être équitable. Et je les vois qui commencent à rougir, alors je les caresses, puis les embrasse tendrement. Une main de fer et des lèvres de velours pourrait définir le dominant non initié que je suis. Elle semble se prendre au jeu de la vilaine fille, et lentement retire son string, laissant apparaitre un petit diamant rouge en forme de cœur qui orne son petit trou étoilé. La vue sur sa jolie chute de reins est splendide et je ne peux m'empêcher de la caresser, placer mes mains sur ses hanches, longer ses cuisses et glisser ma langue sur sa jolie fente lisse et offerte.

Les jambes ouvertes, j'embrasse tendrement ses cuisses pendant qu'en elle mes doigts se glissent. Ils vont et viennent tout d'abord lentement, et peu à peu, plus frénétiquement. Je lèche ses cuisses tremblantes, et m'aventure jusqu'à sa jolie fente. Quelques coups de langue sur son clito délicieux et dans un long gémissement, parcourue de spasmes, elle se recroqueville et savoure son orgasme. J'ai retiré mes doigts maculés de sa mouille, que je lèche avec gourmandise tout en la regardant se tortiller de plaisir.

Elle reprend peu à peu ses esprits et me regarde en se mordillant les lèvres et caressant sa poitrine frémissante. 

- J'en veux encore ! Me demande-t-elle, tout en se plaçant sur le dos, jambes grandes ouvertes pour m'accueillir.

Je défais mon pantalon, baisse mon boxer où je commençais à sérieusement me sentir à l'étroit et son sexe sort bien dur et bien droit. D'un bon elle se relève et ses mains se posent sur mon sexe pour commencer de doux va-et-vient. Elle lèche le bout de mon gland, puis le glisse entre ses lèvres chaudes et coulisse légèrement ma verge dans sa jolie bouche. Je défaille, mes jambes se font cotonneuses, mais c'est si bon. Me sentant venir, elle s'arrête net et me dit :

- Pas tout de suite...

À nouveau elle s'allonge, sans quitter mon regard, elle écarte ses jambes comme une parenthèse autour de son intimité, qu'elle se met à caresser lentement, tapotant délicatement son clito rougeoyant. Deux doigts mutins se frayent un chemin dans sa fente humide et coulissent avec délice. Le spectacle est divin, j'adore la voir ainsi me taquiner tout en prenant son pied. Notre jeu de rôle s'est inversé, je suis à présent son obligé. De ses doigts mouillés, elle me fait signe d'approcher et enserrant ma taille de ses jambes, elle guide mon sexe jusqu'à pénétrer le sien. C'est si chaud et mouillé, je m'y sens si bien dans son vagin. Ses petites contractions du périnée ne font qu'amplifier nos ébats passionnés.

Je vais et je viens au rythme de son bassin qui ondule sous le mien. Je vois danser ses seins, son petit grain de beauté mutin, que je lèche un peu taquin. Elle est si belle lorsque nous faisons l'amour. Je voudrais que cela dure des heures, des jours...

M.C.