Effeuillage

Telle la nature automnale, qui aux portes de l'hiver procède à son effeuillage, la belle aux courbes sensuelles se dévoile. Observateur averti, je la contemple émerveillé, en train de lentement se dénuder. Un vêtement glisse par ici, un autre se soulève par-là. Et voici la délicieuse déesse qui s'effeuille avec élégance et nonchalance. Subjugué par une hanche délicieuse, une cuisse malicieuse, où se perd lentement son délicat sous-vêtement. Subtile suggestion, ultime tentation, celle où se devine l'antre sacrée de sa somptueuse féminité. Ainsi sans ambages se clôt le divin chapitre d'un bel effeuillage...
M.C.

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