Pause méridienne

Au loin je perçois un fond de musique, qui semble provenir du salon. Lorsque j'y arrive, je vois la belle étendue là, de tout son long sur la méridienne. Le regard tourné vers la fenêtre, elle semble savourer l'instant, paisible et calme. La douce lumière qui perce le voile des rideaux, illumine son visage au repos. À demi-nue dans son peignoir fin, elle se détend, et se prélasse. Ses jambes glissent l'une contre l'autre, se frôlent et s'enchevêtrent. Profitant de ses mouvements lents et délicats, sont peignoir s'ouvre pour laisser à paraître courbes sensuelles et délicieuse dentelle. Son parfum subtil embaume l'air et envoûte mes sens. Comme charmé par sa beauté allanguie, auprès d'elle je me suis assis, et de la caresser, délicatement j'ai entrepris. Du bout des doigts j'ai dessiner son corps, et effleuré son cœur. Mes lèvres tendres et gourmandes se sont aventurée sur sa peau douce et sucrée, dont lentement je me suis délecté. Peu à peu nos corps se sont dénudés, d'abord entrelacés, puis entremêlés, jusqu'à se fondre de désir, pour s'offrir à de divins plaisirs.

M.C.

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