Ardentes retrouvailles

La belle est venue frapper à ma porte pour partager un instant et boire le thé. Mais c'était sans compter cette attirance irrépressible qui nous lie sans pouvoir l'expliquer. Après avoir bu notre tasse de thé, nos corps se sont inexorablement rapprochés. Une main sur son épaule, la sienne sur ma main posée sur sa cuisse. Nos regards s'évitent autant qu'ils s'attirent, et ça nous fait sourire. Cette attraction incontrôlable, transcende la raison, éveille le désir et la passion qui nous anime et à laquelle nous tentons de résister, mais à quoi bon ? J'ai tellement et si souvent envie d'elle...

Elle me regarde avec tendresse, ses mains entourent mon visage, elle scrute le mien de ses yeux doux et scintillant. Je la contemple en retour, empreint de désir et d'amour. Je la trouve si belle. Nos lèvres se touchent, se goûtent, nos baisers s'embrasent, nos langues s'enlacent. Le désir s'éveil et nos corps s'entremêlent dans un tendre ballet de caresses, comme si l'on se découvrait pour la première fois, avec lenteur et pudeur, dans des étreintes passionnées et sensuelles. J'ai envie d'elle...

À l'étroit sur le divan, la belle me prend par la main et tout en me lançant son regard mutin, me dit :
- Emmènes moi dans ta chambre !
Nous sommes assis sur le bord du lit, elle me tourne le dos, je caresse ses épaules dénudées, y déposer des baisers. Elle tourne la tête vers moi, me regarde fixement, intensément et m'embrasse. D'une main je dénoue le ruban retenant sa robe lassé autre de son cou. Elle plaque ses mains sur sa poitrine sentant le haut de sa robe glisser, je souris, elle aussi. Mes mains longent ses bras fins, vont chercher ses mains. Nos doigts s'entrecroisent et elle me serre contre elle comme pour s'envelopper. Mon visage niché dans son cou, je la respire à m'enivrer de son odeur. Mes lèvres déposes des baisers et tendrement je pince le lobe de son oreille. Elle lâche un long soupir, je la sens frémir. Ses mains prennent les miennes et elle les presse sur sa poitrine. Ses seins sont chauds, les toucher m'avait tant manqué. Sentir sa féminité sous mes mains, comme précieux présent délicat. Elle se redresse, se tourne vers moi, sa robe s'affaisse et la laisse à demi-nue, ne portant plus à présent qu'un string charmant. À nouveau mon regard la contemple, observant ses lignes et ses courbes délicieuses, harmonieuses. Subjugué, ému par sa beauté naturelle, je marque un temps d'arrêt, avant qu'à son tour elle ne m'allège de mon t-shirt. Ses baisers tendres me parcourent, du creux de mon cou, jusqu'à mon torse. Elle s'amuse un instant à lécher mes tétons, tout deux fièrement dressé d'excitation. Je me sens fébrile, intimidé et si fougueux à la fois. J'ai envie d'elle...

Allongée sur le dos, je penche sur elle, mes yeux plongés dans son regard si doux, nos lèvres se goûtent à nouveau, se mordillent et se pincent. Puis je chemine son corps de baisers, lèche sa poitrine exquise, suçote ses jolis tétons et descends lentement sur son ventre où j'effleure de ma langue son nombril, avant de poursuivre mes baisers sur son bas ventre, sur ses hanches, tout en caressant ses jambes. Ma langue gourmande lèche l'intérieur de sa cuisse et s'aventure jusqu'à la frontière de tissu qui recouvre son intimité sacrée. Mes lèvres se déposent délicatement sur le morceau d'étoffe et y laisse un baiser tendrement appuyé. L'humidité de son désir parvient à mes lèvres qui s'en délectent. Elle fait onduler son bassin, ses doigts fins saisissent son sous-vêtement et le retire lentement. Elle m'ouvre ses cuisses et dévoile son beau sexe en offrande. Mes bras enveloppent ses cuisses, et mes lèvres une nouvelle fois se déposent sur ses lèvres intimes. J'effleure de ma langue sa jolie fleur, je la goûte, puis la lèche avec gourmandise. Son corps ondule, ses doigts se crispent sur les draps, elle étouffe ses soupirs, retient ses gémissements, mais sans discontinuer, je lape et suçote sa fente délicieusement humide. Les premiers spasmes, son ventre se creuse, sa poitrine se gonfle, sa respiration s'accélère. Elle est si belle...
À quatre pattes sur le lit, elle se cambre et m'offre ses jolies fesses que j'embrasse. La main se plaque sur son sexe et se frotte tout d'abord lentement, puis en accélérant peu à peu le mouvement. Ma langue s'invite à nouveau sur sa jolie fente et je glisse un doigt dans son vagin chaud et ouvert. Je vais être je viens, la doigtant avec plaisir, et sentant le sien venir. Elle gémit et son bassin ondule, ses seins dansent et se balancent, son plaisir est Intense.
Contractée, crispée d'un orgasme provoqué, elle se recroqueville un instant, le corps tremblant et frémissant. Je m'allonge près d'elle, sans la toucher d'avantage, juste je la regarde, je la contemple, si belle dans son plus simple appareil. J'ai envie d'elle...

Elle me retire mon pantalon, et mon caleçon. Féline, elle s'avance sur moi, m'embrasse, laisse ses seins d'abord m'effleurer le torse, puis s'y frotter. Puis ses seins glissent sur mon ventre, mon bas ventre, jusqu'à rentrer en contact avec mon sexe dressé, qui se place entre ses seins. Sa main délicate et chaude se saisit de ma verge, qu'elle fait lentement glisser entre ses doigts resserrés. Je ferme les yeux et laisse ses mains expertes s'affairer à mon plaisir pour en savourer toute l'intensité. Excitation décuplée dès lors que ses lèvres me prennent dans sa bouche. C'est si bon... À mon tour je sens poindre les gémissements, mon corps se tortille et tremble, et ma respiration anarchique s'accélère. Elle lèche mes bourses, et longe ma verge de sa langue délicieuse et chaude. Je me sens comme quitter mon corps de plaisir. C'est si bon...

Je me sens venir, prêt à exulter, et elle s'avance au-dessus de moi et sans pouvoir retenir quoi que se soit, je jouis sur sa poitrine tout en lâchant des soupirs de plaisir. Elle me regarde en souriant, je souris, et nous nous mettons à rire, ce rire qui nous rend si complice. Elle s'avance sur moi à califourchon, et guidant mon sexe vers le sien, nous ne faisons plus qu'un. Elle commence à se mouvoir au-dessus de moi, imposant le rythme de ses va-et-vient. L'instant est divin...
Mes mains caressent ses fesses, ses hanches, puis elles retrouvent les siennes et nos doigts s'entremêlent. Nous faisons l'amour avec langueur et passion, jusqu'à jouir à l'unisson. Elle s'allonge tout contre moi, et nous restons là, heureux de nos ardentes retrouvailles.

M.C.

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