Balade en forêt

L'après-midi est belle, le soleil en parvenu à percer l'épais manteau nuageux et nous réchauffe de ses rayons. Il fait si doux que la belle a ressorti son minishort, comme pour se convaincre du retour imminent des beaux jours. Ainsi, dans une forêt de bois vert, nous marchons main dans la main en flânant dans cette nature qui renaît. Le sol est jonché de feuilles et de mousses sur lesquelles perlent des gouttes de rosée. Ce bain de nature verdoyante nous éveil les sens, tout semble comme décuplé. Les bruits, les odeurs, la perception des formes, des couleurs, tout prend une dimension exaltante.

Au cœur de la forêt nous trouvons un petit étang éclairé par un puit de lumière. Toute une vie féerique semble se tenir là. Nous trouvons un large tronc d'arbre tombé là pour nous assoir et profiter du spectacle de l'instant. La pose sa tête sur mon épaule et je l'enveloppe de mon bras. Après un moment, elle tourne la tête et m'embrasse dans le cou, en remontant vers mon oreille qu'elle pince de ses lèvres tendres. Je sens un frisson me parcourir et avec un puissante vague de désir. Nous nous faisons face à présent, à califourchon sur le tronc, nos baisers s'embrasent avec passion et commence un doux et délicat ballet de caresses. Elle vient de placer entre mes jambes en me tournant le dos, je niche mon visage dans son cou pour l'embrasser et rapidement, mes mains ont trouvé le chemin de ses seins. Par dessus ses vêtements au début et très vite je me suis aventuré à explorer sa peau nue et chaude. Mes mains enveloppaient des seins comme d'un écrin de douceur et je sentais monter son désir et le mien. Ses bras attrappaient ma tête et ma nuque pour m'embrasser, ou peut-être simplement pour s'étirer de désir et gonfler ainsi sa poitrine exquise. La fougue me poussa à me montrer plus taquin, voir plus audacieux. Et mes mains se sont frayé un chemin de ses seins à ses hanches, et de ses hanches à ses cuisses, longeant ses jambes élancées, caressant ses chevilles, ses mollets galbés. Puis remontant lentement sur ses hanches et son ventre où je restais un instant, et n'écoutant que mon désir, j'ai glissé une main dans son short en quête d'intimité. D'abord j'ai trouvé son sous-vêtement qui recouvrait sa vulve, ma main délicatement posée, je sentais sa douce chaleur et l'humidité percer à travers le tissus de sa culotte.

Toujours en fouillant un peu, je me suis invité sous sa culotte et ma main s'est frottée au mont de Vénus, pris appuie sur son clitoris où j'ai commencé à faire de micro-mouvements qui ne tardaient pas à lui faire perdre pieds. Mes doigts se sont glissés entre ses lèvres et se sont aventurés à l'intérieur de son vagin chaud et humide. Elle gémissait à mon oreille, soupirant de plaisir chaque fois qu'en elle s'agitaient mes doigts. Son corps ondulait, ses mains empoignaient mes cuisses pour y enfoncer ses ongles à chaque spasmes de plaisir. Et moi je me délecte de contribuer ainsi à son plaisir. La voir si belle, si épanouie, me comble et me ravit.

Et je dois dire que cela m'excite particulièrement de la voir ainsi s'abandonner à ma douce torture. Je poursuis mes caresses et plus mes doigts s'agitent en elle, plus elle s'abandonne, gémissant, frissonnant. Tout son être est en émoi, et se cambrant de plus en plus, à en décoller du tronc d'arbre sur lequel nous sommes assis, elle se mit à jouir, et à répandre son nectar de féminité sur mes doigts et mes mains maculées. Parcourue de spasmes de plaisir, la belle se recroquevillait comme pour se recentrer sur ses sensations intenses, et savourer l'extase de son orgasme. La laissant reprendre son souffle, je l'ai juste enveloppée de mes bras, m'enivrant du parfum de sa peau et accueillant sa douce chaleur corporelle. Elle était si belle.

M.C.