Escapade en voiture

La semaine a été longue, pour ne pas dire interminable, et j'ai envie prendre l'air, envie d'ailleurs. Il est 13h, mais plus envie de rien, un message à la belle pour savoir ce qu'elle fait, et elle me répond qu'elle aussi tourne en rond. Ni une, ni deux, je lui propose de se tenir prête, je quitte le bureau et passe la chercher pour une escapade improvisé. Je passe par la maison, jette quelques vêtements dans une petite valise, un nécessaire de toilette et hop, je passe prendre la belle à son bureau d'où elle s'éclipse au cœur de l'après-midi.
Comme deux adolescents qui sèchent les cours pour profiter du week-end en avance, nous prenons la route direction l'inconnu, mais loin, loin de ce quotidien oppressant et de tout ce superflu. Les kilomètres défilent et le paysage aussi. Nous faisons une pause dans un coin de campagne pour prendre le temps de peaufiner notre destination, puis la belle prend le volant pour me relayer. Assis côté passager, le regard vers l'horizon, je contemple ici et là le paysage. Jusqu'à porter mon regard sur la belle et me laisser captiver. Je n'avais même pas prêté attention à la façon dont elle était habillée. Et je dois dire qu'à présent que mes yeux se posent sur elle, je suis émerveillé par son look "working girl". Un joli foulard fin noué autour de son cou, un chemisier blanc entrouvert, laissant suggérer la naissance de sa poitrine qui pointe légèrement, une jupe noire à pois blanc qui s'arrête à peine au-dessus du genou, ses collants couleur chair qui lui font une seconde peau, et à ses pieds une jolie paire de talons ouverts. Je reste là, je la regarde, je la trouve belle et je sens le désir qui s'éveil. Envie de la taquiner, envie de la troubler, envie qu'elle s'arrête sur le bas-côté pour des coquineries improvisées.

Je commence par poser ma main sur sa cuisse comme si de rien était. Puis mes doigts glissent sur son genou, et d'un geste réflex elle frémit et lève le pied de l'accélérateur. Elle me regarde, surprise et intriguée, puis elle se mordille les lèvres et je devine qu'elle attend que j'aille plus avant. Je ne me fais pas prier, et caresse sa cuisse, et remonte lentement sa jambe jusqu'à passer sous sa jupe. Elle frémit d'avantage et commence à se sentir à l'étroit dans son corsage. Je prends mon temps et entreprends de déboutonner son chemisier. Je découvre sa poitrine frémissante enveloppée dans un soutien-gorge coloré. Je glisse une main pour la palper, sentir le galbe de son sein au creux de ma main. Puis je continue de déboutonner son chemisier, je m'attarde un peu sur son ventre duquel elle complexe, mais que je trouve si mignon pourtant. Ma main chaude se fait tendre et caresse sur ce ventre qu'elle cherche à rentrer. Je suis arrêté par la ceinture de sécurité, et celle de sa jupe qui entrave ma progression vers son fruit défendu. Mais un autre accès est possible, et ma main aventureuse s'y précipite, remonte le long de sa jambe, se fraye un chemin entre ses cuisses et aux portes de l'intimité, s'arrête, surprise, la belle sourit, et lance :
- J'espérais bien nous faire gagner du temps à un moment ou à un autre...
Elle est sans culotte ! Je sens sous mes doigts sa chaleur, sa moiteur intime qui ne demande qu'à être explorée avec doigté. Elle tâche de demeurer concentrée sur la route, alors que j'effleure sa jolie fente humide, que je titille son clitoris tout excité, et qu'après un peu d'effleurage, un doigt, puis deux s'invitent en elle et lentement, vont et viennent de façon tendre et sensuelle. Elle se crispe sur le volant, met son clignotant et finit par stopper la voiture sur le bas-côté de la route. Elle détache sa ceinture pour plus d'aisance, ouvre ses jambes au plus qu'il lui est possible et se cambre de plaisir à recevoir mes doigts en elle, jusqu'à répandre sur mes doigts mutins son précieux nectar divin.

Après un instant à reprendre son souffle, elle se contorsionne, déboutonne mon pantalon, se saisit de mon sexe qui l'attendait bien dur sous mon boxer, et en relevant sa jupe, vient s'empaler sur moi pour une chevauchée acrobatique dans l'habitacle exigu de la voiture. Elle va et vient tout du long de ma verge, la glissant en elle, tout en variant le rythme. Ses jolis seins dansent sous mes yeux, mes mains enveloppent ses fesses, elle m'embrasse langoureusement. L'instant est empreint de fougue et de passion, et nos ébats s'embrasent en un corps à corps ardant.

(...)

M.C.

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