Journée complicité

Ce matin je me lève, la Belle est encore endormie. Je remonte la couette sur ses épaules, lui dépose un baiser et discrètement sors de la chambre. Je vais profiter de ce temps pour un peu de travail.
Soudain j'entends que ça s'anime dans la chambre. Je profite qu'elle se soit engouffrée dans la salle de bain pour terminer rapidement un dossier. Quand elle sort de la chambre je la vois l'air encore ensommeillé, portant l'un de mes t-shirts et un bas de jogging à moi.
- Tu comptes aller courir Chérie ?
- Non ! Mais je n'ai rien à me mettre...
Je me regarde, la regarde et elle réalise en pouffant de rire que je suis en caleçon.

Charmeuse comme elle sait l'être, elle relève tout doucement mon t-shirt qui glisse avec délice sur son ventre, dévoilant sa peau nacrée, son nombril, puis la naissance de sa poitrine. Elle joue un peu avec mon t-shirt et mutine elle me montre ses jolis seins qu'elle prend délicatement entre ses mains.
Elle me regarde intensément, noue mon t-shirt au-dessus de sa poitrine plantureuse, libérant ses mains aventureuses qui avec malice se glissent sur l'élastique de mon jogging. Elle dévoile subtilement ses jolies hanches, elle se dandine et danse, découvrant subrepticement ses jolies fesses blanches. Puis elle vient s'assoir sur le bord du bureau croisant les jambes et masquant ses seins derrière ses mains. Tout en me regardant avec son air taquin, elle agite ses seins entre ses mains en se mordillant les lèvres.

Prenant appuie sur une fesse, puis l'autre, elle fait descendre son jogging le long de ses cuisses. Elle me tend une jambe, puis l'autre pour que je retire son vêtement. Avec délicatesse je me saisis d'une jambe, et y dépose de tendres baisers. Sa peau se met à frémir et je vois ses jambes peu à peu s'entrouvrir. Elle ne porte pas de culotte, sa jolie fleur de plaisir est toute prête à rougir. Je continue mon chemin de baisers, mes mains glissent sur sa peau tiède et s'invitent sur l'arrondi de ses fesses. Mes lèvres embrassent ses hanches, son ventre, remontent au-dessus du nombril et se faufilent entre sa poitrine. Ma langue sur ses tétons s'arrête, un soupir, des frissons, elle est prête...

Alors que j'allais me lever pour me rapprocher, elle me stoppa posant son pied sur mon torse. Mutine, elle m'a regardé tout en retirant son t-shirt. Ses cheveux s'étalant sur ses épaules dénudées. Son pied lentement est descendu, se posant délicatement sur mon entrejambe. Elle s'est un instant amusée à éveiller ma masculinité qui ne tarda pas à se manifester. Très vite une bosse sous mon boxer s'était formée. Intriguée par ce qu'elle venait de provoquer, la belle est descendue de mon bureau, et s'agenouillant nue devant moi, elle posa ses mains sur la bosse grandissante. Elle libéra lentement mon sexe dur et fier, le prit entre ses mains douces et chaudes, le goûta du bout des lèvres avant de le prendre délicieusement en bouche. Ne ménageant pas ses efforts, elle savourait sa friandise avec une fiévreuse gourmandise.

Après quelques instants de plaisir et au bord de l'extase. Elle s'est arrêtée, s'est relevée, m'a tourné le dos, puis s'est assise sur moi, plongeant ainsi mon sexe dans le sien. Débutant à cet instant de merveilleux va-et-vient, au rythme des ondulations de son bassin. J'avais les mains posées sur ses seins frétillants d'excitation. Sa fleur était chaude, étroite et humide, mais j'y étais bien, l'instant était divin !
Elle allait de plus en plus vite, se faisant tendrement gémir. Et plus je l'entendais, plus je prenais de plaisir. Je voulais faire durer nos coquineries et il me fallait faire une pause pour que mon sexe se repose. Alors je me suis levé, puis je l'ai penchée sur mon bureau, un pied à terre, un genou sur la table, elle était grande ouverte, intimité offerte. Je l'ai caressée, puis léchée, suçotée, me délectant de son nectar d'intimité qui généreusement coulait entre ses lèvres humides. Mes doigts se sont introduits en elle, ma langue s'invitant à titiller sa jolie fente douce et lisse. Ce qu'elle était belle abandonnée et offerte. Mes doigts s'agitaient frénétiquement, la faisant jouir abondement.

Mon instrument moins fébrile, de nouveau dur et viril, s'est invité aux portes de son intimité, cherchant à pénétrer son temple sacré. Tout d'abord à tâtons, puis emporté par la passion, je me suis introduits dans son petit cul sexy et mignon. Chaque vigoureux coup de reins faisait claquer mon bassin tout contre ses fesses, faisant danser ses jolis seins au rythme de mes va-et-vient. Elle gémissait, puis criait, me suppliant de continuer pendant qu'elle se cambrait et se caressait...

M.C.

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