Noël d'entreprise

Il est tard, et la belle m'a envoyé un message demandant de la rejoindre à son bureau. Ce soir c'était le repas de Noël dans leur locaux. Lorsque j'arrive, tout le monde semble être sur le départ. J'entre et un collègue qui me reconnaît me dit qu'elle est à son bureau, comme souvent c'est la dernière à quitter le bureau. Plus je gravis les étages et moins je croise de monde. Tout est décoré, partout des guirlandes, des sapins, des pères Noël, habillent les open space et les bureaux. Arrivé à son étage, plus un bruit, à peine quelques lumières, l'endroit paraît désert. Je longe le couloir qui mène à son bureau et je l'y vois assise sur son fauteuil, paressant pensive. Je m'avance sans un bruit, et pose une main sur son épaule. Elle sursaute de surprise et quand elle me voit, me sourit.
- Tout s'est bien passé ? 
- Une soirée de Noël très réussie, oui ! Mais je suis contente que tu sois là, je n'avais pas d'envie de rentrer seule. Merci d'être venu me chercher.
Je sens au son de sa voix que la soirée fût mitigée. Je ne pose pas d'avantage de questions, je sais qu'elle n'aime pas que je lui tire les vers du nez. Alors je lui retire ses lunettes que je dépose sur son bureau et passe ma main sur son visage pour effleurer sa peau, avant de l'embrasser.

Elle se lève, me prend dans ses bras, nos corps s'enlacent et on s'embrasse. Elle marque un instant d'arrêt :
- Tout le monde est parti ? Me demande-t-elle.
- Je l'ignore, mais à l'étage je n'ai vu personne. Pourquoi ?
- Pour rien, embrasse-moi ! Me dit-elle en tirant sur mon pull pour me rapprocher d'elle, et entreprend de retirer mon pull et moi je longe ses hanches , caresse l'arrondi de ses fesses, et j'effleure ses cuisses. Mes mains remontent tout en parcourant sa belle silhouette, et lentement je descends la fermeture éclair au dos de sa robe de soirée. Lorsqu'elle dévoile son corps, je découvre émerveillé sa dentelle raffinée.

Elle est si belle en dentelle ! Chaque fois j'ai le sentiment de la redécouvrir et quel divin plaisir. Tout en légèreté, je la prends dans mes bras, la soulève comme si je portais un bien précieux, et je l'assois sur le bord de son bureau. Elle écarte ses jambes pour m'accueillir plus près d'elle, caresse sa poitrine, resserrant ses jolis seins l'un contre l'autre, comme en offrande à mon regard envoûté. Je glisse mes mains dans son dos, et avec doigté, dégrafe son joli soutien-gorge, et libère ainsi ses seins qui ne demandent que mon attention. Et de l'attention je n'en manque et ne tarde pas à en faire preuve. Je me place à hauteur pour déposer des baisers doux entre ses seins, puis alternant d'un côté puis de l'autre, je lèche ses mamelons, comme un effleurage provoquant ses frissons, puis du bout des lèvres, je pince tendrement ses tétons qui pointent d'excitation. Ses mains se posent autour de mon visage, elle me regarde, me sourit, et du regard, m'invite à descendre un peu. Je me mets à genoux sur le sol et ma tête est juste à la hauteur parfaite pour venir savourer son intimité. Elle place ses jambes de part et d'autre sur mes épaules, une main palpe ses seins et l'autre s'est placée sur son entrejambe, frottant lentement son sexe. Elle me regarde en se mordillant la lèvre inférieure et du bout des doigts, elle écart son sous-vêtement pour offrir à ma langue gourmande sa jolie fente ornée d'une petite toison qui habille le mont de Vénus.

Je m'applique à son plaisir, alterne léchage et succion, glissant ma langue dans sa jolie fente, ou titillant son clito rougeoyant. J'aime tant la faire jouir avec ma langue. Sentir monter son plaisir, l'entendre doucement gémir, la voir tâcher vainement de se contenir en se cramponnant au rebord de son bureau. Et je poursuis avec délice ma savoureuse torture. Elle perd pied et ne peut bientôt plus étouffer ses gémissements. C'est terriblement excitant !

À peine le temps de souffler, ceinture retirée, pantalon baissé, sexe déployé, elle m'accueille entre ses cuisses, le regard épris de passion. Toujours perchée sur le bord de son bureau, elle frotte ses lèvres intimes et humides tout contre mon sexe et en parcourent toute seule longueur. Puis lorsqu'il n'est plus possible d'attendre, elle m'enserre la taille avec ses jambes, mon bassin plaqué au sien, elle guide ma verge aux portes de son vagin et commencent alors de divin va-et-vient. Son visage niché dans mon cou, je sens son souffle, sa poitrine bondissante d'une respiration haletante vient caresser mon torse à chaque mouvement. Une main en appuie sur le bureau, l'autre sur sa chute de reins, j'accélère mes va-et-vient. Je l'entends gémir à mon oreille, puis de plus en plus fort. Son corps tremble, tout comme tremble le mien. J'embrasse son cou, ses épaules, ses seins...

Elle s'est redressée, s'est retournée et m'a lancé :
- Prends moi par la taille ! En me tendant généreusement ses fesses sublimes.
Alors agrippé à ses hanches, je l'ai prise vigoureusement sur son bureau. Par trop d'excitation, épris de cette fougue animal, je mordais délicatement son épaule, tout en caressant ses seins qui dansaient et se balançaient au rythme de mes coups de reins. Dans une exquise chevauchée endiablée, nous avons jouit elle et moi de concert, libérant ma semence sur ses jolies fesses. Ainsi prirent fin nos ébats improvisés, nous nous sommes rhabillé, et tout en souriant de complicité, nous nous en sommes allés.

M.C.

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