Juste un p'tit creux

Après une grasse matinée passée à batifoler, la belle se lève et se dirige vers la salle de bain. L'eau chaude coule sur sa peau nue et se met à embuer la pièce. Ses mains parcourent lentement son corps, esquissant chaque courbe, chaque ligne de sa sublime féminité, et l'eau ruisselle en une cascade sensuelle. Elle prend le temps d'éponger son corps ruisselant, enroule une serviette autour de ses cheveux, puis tout en chantonnant, elle fait danser ses courbes en marchant jusqu'à la cuisine. Je me suis levé et l'ai suivie juste pour savoir cette vision exquise de son délicieux corps qui s'anime. Ce qu'elle est belle dans son plus simple appareil. Le nez dans le frigo, elle est en quête d'un en-cas pour satisfaire son p'tit creux. Elle sort de quoi grignoter et je la regarde se restaurer. La voir se lécher les doigts après s'être délectée de son repas me rend tout chose. Sa poitrine se gonfle à chacune de ses respirations et je ne peux qu'observer le ballet divin de ses seins qui se balancent lentement. Je contemple ses lèvres gourmandes délicatement posées sur sa tasse de thé, ses yeux qui se ferment lorsqu'elle se délecte de sa gorgée. L'instant est éphémère, mais elle ne sera jamais aussi ravissante qu'à cet instant, comme suspendue dans l'espace et le temps.

Rassasiée, elle minaude nue dans le séjour, où la lumière du jour dessine sa splendide silhouette. Elle fait la serviette de ses cheveux qui tournoient et s'étalent négligemment sur ses épaules. Assise telle une amazone, elle fait mine de feuilleter un magazine, tout en me regardant espiègle et taquine. Elle lèche le bout de son doigt de façon très suggestive, puis tourne une page sans jamais me quitter de son regard perçant et envoûtant. Ses jambes se frottent l'une contre l'autre et elle se cache le visage derrière son magazine, ne laissant à voir que ses yeux étincelants de désir. Comment ne pas succomber à ses charmes ? Je vais pour la rejoindre quand elle se lève et s'avance vers moi. La démarche élégante et sûre, elle marche presque féline. Ses mains se posent sur mon torse, elle me griffe juste ce qu'il y a d'excitant, puis elle m'embrasse langoureusement. Son corps tout contre le mien se glisse et se frotte, ses dansent tout contre mon torse. Ses jambes enserrent ma taille, mes mains sous ses fesses la soutiennent et nos corps peu à peu s'embrasent. Un coin de plan de travail fera l'affaire, assise sur le bord elle m'ouvre grand ses jambes et m'offre son fruit défendu. Je m'empresse gourmand de le savourer à pleine bouche. Mes lèvres pour l'embrasser, la mordiller, ma langue pour la lécher, la titiller. Elle est si belle ainsi offerte et le plaisir la sublime. Plus je donne de cœur à l'ouvrage et plus ses gémissements se font entendre et j'aime tant l'entendre. C'est si bon de contempler l'expression du plaisir, et je compte bien assouvir ses moindres désirs.

Étendu en soixante-neuf sous la belle, je me délecte de sa jolie fente humide et chaude, pendant qu'entre ses mains délicates ma queue grandie. Elle me suce avec entrain et gourmandise et ne suis pas en reste de son beau sexe qui dégouline de plaisir. On se savoure l'un l'autre jusqu'à recevoir nos doux nectars. Ma sève coule entre ses doigts fins et elle me lèche goulûment jusqu'à la dernière goutte, pendant que je m'abreuve de son doux nectar de féminité. Que c'est bon d'ainsi s'abandonner à l'autre, au plaisir, à cette extase intense qui envoûte les sens.

M.C.