Nid d'amour vagabond

Nous avions besoin d'évasion et nous sommes octroyé quelques jours pour voyager où le vent nous porterait. Quelques vêtements dans une valise, paddle sur le toit du van et quelques kilomètres plus tard, nous roulons près du littoral atlantique. Fenêtres ouvertes, cheveux au vent, nous papotons et rions en écoutant de la musique. La belle accoudée à la fenêtre contemple le paysage qui défile. L'air fait danser ses cheveux et le soleil illumine son visage, elle est superbe.
Quelques kilomètres en dessous de la dune du Pyla, nous trouvons à garer le van près de la plage de la Lagune. Un bel endroit à l'ombre des pins et au loin l'océan et ses vagues qui grondent. Le ciel est parsemé de discrets nuages et le soleil entame sa dernière course. Le temps d'enfiler nos maillots et hop, nous filons nous mettre un peu dans l'eau. Nous laissons traces de nos pas dans le sable chaud et main dans la main marchons vers les vagues. 
Après la baignade, nous regagnons le van et confortablement installés, on contemple l'horizon qui semble se confondre entre mer et ciel, la vue est splendide. Le soleil lentement disparaît, laissant derrière lui un ciel rose orangé. L'obscurité s'installe, et tout deux allongés sur le sol, nous avons le nez dans les étoiles. On s'embrasse et on s'enlace. La soirée touche à sa fin et la lune nous veillera jusqu'à demain. 

Aux premières lueurs du jour, je me réveille avec le cri des mouettes et le fracas des vagues que j'entends au loin. La belle dort à poing fermé, je vais tâcher de ne pas la réveiller. Discrètement je m'éclipse, lui laissant un petit mot sur l'oreiller :

"Partis marcher, je reviens avec le petit déjeuner. Jtm"

Au retour de ma balade matinale, je vois le van portes ouvertes et la belle étendue nue sur la couchette à observer la plage. Je m'annonce en bruissant le sachet de croissance encore chauds et la belle me regarde souriante et affamée. Le petit déj attendra, la voir si rayonnante éveil mon désir et je m'étends près d'elle pour la prendre dans mes bras. Elle entreprend de retirer mes vêtements, d'abord mon t-shirt pour venir déposer de doux baisers sur mon torse et venir lécher et mordiller mes tétons. Féline elle vient au-dessus de moi, elle m'embrasse, embrasse mon cou, puis sa langue vient s'attarder un instant sur mon lobe d'oreille. Elle sait que ça m'excite et m'électrise. Agrippée à mon short, elle le descend progressivement sur mes hanches et dévoile peu à peu mon sexe grandissant. L'air taquin, elle le prend en main entre ses doigts fins et tout en me regardant, elle le prend en bouche, jouant avec sa langue sur mon gland. Retenant ses cheveux d'une main, elle me branle et me suce avec gourmandise. Sa langue longe goulûment ma verge bien dur, et elle lèche et suçote mes bourses comme s'il s'agissait de friandises. La torture est divine et se poursuit de plus belle lorsqu'elle fait glisser ma verge fière entre ses jolis seins. Excitée elle tapote ses tétons avec le bout de mon gland et dessine des cercles sur ses mamelons.
Huuuum, j'ai envie d'elle !

Agrippée de part et d'autre du van, elle se place au-dessus de moi les jambes grandes ouvertes et s'empale lentement sur mon sexe dressé. Ses va-et-vient s'accélèrent peu à peu jusqu'à ce qu'elle lâche de tendres gémissements. Les mains plaquées sur mon torse elle s'agite accroupie sur moi et ses jolis seins dansent et s'entrechoquent mollement dans ce ballet ardent. Le souffle coupé de spasmes intenses, la belle me passe le relais en m'invitant à prendre ses jolies fesses en levrette. La vue est magnifique, au premier plan, la belle et sa chute de reins exquise, et à l'horizon l'océan qui danse sous la brise. Une claque sur son petit cul et je m'agrippe à ses hanches pour une chevauchée intense et sauvage.
Voici la belle à présent sur le dos, les cuisses qui enserrent ma taille pour donner le rythme de mes va-et-vient. Les mains crispées de plaisir, elle empoigne le drap, mort dans le coussin pour étouffer ses cris. Dieu qu'elle est belle lorsqu'elle jouit. Je sens bientôt jaillir ma sève et me retire avant de me reprendre sur sa toison. Tout deux exténués de nos divins ébats improvisés, je prépare le café et le p'tit déj est servi, assis et blottis nous reprenons nos esprits.

M.C.

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