La Belle en peignoir


Nous sommes dimanche matin et comme j'étais réveillé tôt, je suis sorti chercher de quoi petit déjeuner. À mon retour une délicieuse odeur de café flottait dans l'air. La Belle s'était levée. Elle sortait de la douche, les cheveux entortillés dans une serviette et son joli corps enveloppé dans son peignoir blanc. Elle passe devant moi, me lance un clin d'œil en caressant négligemment mon visage du bout des doigts et continue sa course dans la cuisine tout en me remerciant d'avoir ramené de quoi déjeuner. Ses doigts délicats se saisissent de quelques oranges pour en faire un jus. Les toasts sautent du grille pain et je me saisi de la cafetière.
Nous nous retrouvons dans le salon avec de quoi déjeuner à profusion. Je m'installe au fond du canapé, ma tasse de café pour me chauffer les mains, tout en l'observant. Ses lèvres qui enveloppent sa tartine,  ses dents qui mordent dans le pain et la confiture qui se dépose sur ses lèvres gourmandes, avant qu'elle n'y passe lentement sa langue plus gourmande encore. Enfin rassasiée, elle prend ses aises dans le canapé, étend ses jambes élancées sur mes cuisses et joue avec son pied à me faire trembler lorsque je cherche à terminer mon café. La Belle semble-t-il est d'humeur joueuse et taquine...
Nous avons mis un peu de musique, c'est notre petit rituel du dimanche enroulés sous un plaid. Mais pas de plaid ce matin, tout en me taquinant, son peignoir s'est défait, et je peux voir apparaître sa poitrine nue. Comme à son habitude, la Belle s'est glisser dans son peignoir sans rien en dessous... Huuuum
J'étais en train de lui dire combien je la trouvais belle quand posa le bout de son pied sur ma bouche, m'empêchant ainsi de parler. Tout en me lançant un regard de braise, elle écartait le haut de son peignoir qui dissimulait sa poitrine. Son pied glissait contre mon torse, pendant qu'elle défaisait lentement la ceinture de son peignoir, tout en se mordillant la lèvre inférieure. Son pied continuait de descendre jusqu'à se placer sur mon entrejambes, où elle s'est mise à faire de petits mouvements circulaires...

Je ne tardais pas à réagir. Sous mon pantalon une bosse se mit à grossir. J'avais du mal à déglutir et ma respiration était saccadée. Tout en me regardant perdre pied, elle caressait sa poitrine avec doigté. La tension et l'excitation était en train de croître, j'avais envie d'elle et elle de moi, tout deux étions en émoi. Elle s'est allégée de son peignoir, la laissant entièrement nue. Féline, elle s'avance sur moi, m'embrasse à pleine bouche tout en posant ses mains sur ma ceinture qu'elle défait sans peine, ainsi que le bouton de mon pantalon. Je commençait à m'y sentir à l'étroit. Fière d'avoir provoqué cela, elle s'en saisit et commença de doux va et vient, longeant mon instrument de ses jolis doigts fins. Elle le frotta tout contre son sexe humide et chaud. Puis elle s'est basculée en arrière, ses mains sur mes genoux et fit glisser ses lèvres mouillées sur mon sexe tout excité. Tout deux en état de transe, nos corps ondulaient, nos respirations étaient saccadées, nous commencions à perdre pieds.
Alors elle s'est redressée, sur la table saisit le miel liquide et en fit couler sur ses tétons frissonnants. Je ne pu résister à la tentation de m'en délecter, tout en massant l'arrondi de ses jolies fesses galbées. Ayant terminé de savourer sa poitrine sucrée, nous fîmes un tête à queue et avec ardeur, je me suis employé à lécher son intimité, pendant que ses lèvres longeaient mon appendice bandé. Tout deux au bord de l'extase, elle s'est mise à me chevaucher à un rythme effréné jusqu'à jouir en elle, puis elle a continué jusqu'à s'offrir un orgasme palpitant lui faisant crisper son bas ventre. Prise de spasmes, elle cherchait à reprendre sa respiration, mais chaque fois que je bougeais, même subrepticement, et elle était prise de tremblement qui faisait durer son plaisir. C'était si bon de la sentir ainsi.
Après un instant, je l'ai renversée, allongée sur le canapé, elle me présentait ses jolies fesses et me regardait en souriant. J'ai saisi ses hanches, puis me suis introduit en elle, remplissant ainsi son fruit interdit. Tout en douceur, mais avec ardeur, je lui fis pousser un tendre gémissement à chacun des assauts de mes bassins. Ses seins s'entrechoquaient l'un contre l'autre à chaque coup de reins. L'instant était intense et divin...

M.C.



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