Rencontre passionnée

Nous avons pris en terrasse un café, sous le soleil d'un bel après-midi d'été nous avons durant des heures discuté de choses et d'autres. Nos regards étincelaient d'un désir grandissant, nos mains discrètement se sont frôlées et nos entremêlés. Entre nous une attraction était en train de s'opérer et nous mourions d'envie succomber.

À ton appartement nous sommes arrivés sans jamais s'être touché, pas même dans l'ascenseur malgré l'exiguïté. Devant ta porte nous nous sommes un instant arrêté, nous nous sommes regardés et cognés la tête car spontanément nous voulions faire le premier pas pour nous embrasser. Tu t'es abandonné dans mes bras en riant, insérant ta clé dans la serrure pour que nous puissions entrer.

Une fois à l'intérieur, nous nous sommes assis sur ton canapé. Tout deux un peu gênés et à la fois très excités, nous avons échangé des œillades passionnées. Du bout des doigts ma chemise tu as déboutonné, pendant qu'avec délicatesse je passais mes mains sous ton chemisier. Ne lèvres se sont goûtées un instant, jusqu'à ce que tu entrouvre ton chemisier comme un présent.

D'une main délicate, tu sortis tes seins de leurs écrins de dentelles, tout en jouant à les soupeser délicieusement. Puis j'ai succombé à la tentation de suçoter tes jolis tétons durcis et frissonnants d'excitation. Tu as allongé tes jambes sur les miennes, prenant ma main pour la poser sur ta cuisse. Timidement, elle se mit à glisser sur toi, jusqu'à s'aventurer au seuil de ton intimité.

Pendant que nous échangions de longs baisers ardents, ma main se faisait plus audacieuse, ce qui n'était pas pour te déplaire. Pour mieux ressentir les tendres caresses, tu fis glisser ton pantalon à terre, dévoilant ainsi ta jolie dentelle. Ma main prit place sur le Mont de Vénus, mes doigts se sont glissés sur le tissu de ton sous-vêtement, te faisant ainsi échapper un profond soupire.

Ma langue s'était invitée au festin de ton intimité et alternant de doux baisers sur l'intérieur de tes cuisses et de tendres caresses sur tes lèvres gonflées, tu te délectais de mes assauts répétés. Ton corps se cambrait, tes doigts se crispaient, ta respiration haletait et ta poitrine bondissait. Un pur moment d'extase où nous avions tout deux à offrir un délicieux instant de plaisir.

Vint ton tour de finir de m'effeuiller, avec langueur de mes vêtements tu t'es débarrassée pour n'avoir plus que ma peau nue à caresser. Tes lèvres gourmandes se posaient sur ma nuque, mon torse transit, puis tu cheminais lentement vers mon bas ventre. À chacun de tes baisers je sentais en moi le désir s'embraser.

Tes mains sur mon instrument brandit, tu le pris en bouche comme une douce friandise, ce qui ne manqua pas de me faire frémir. Je me sentais lentement défaillir, pendant qu'entre tes lèvres je sentais mon intimité durcir et tressaillir. C'est dans un profond gémissement de plaisir que tu parvins à me faire jouir.

Reprenant peu à peu ma respiration, tu voulus inverser la situation. À toi de connaître les assauts de la passion. Te retirant ton dernier sous-vêtement, je me suis saisis de tes hanches. Tes jambes relevées je pouvais contempler la somptueuse intimité. Je glissais délicatement mon sexe sur le tiens avant de m'aventurer à te pénétrer.

Nos deux corps moites ondulaient à l'unisson, entremêlés, sensuellement nous dansions aux portes du grand frisson. Tout deux transits d'excitation, nous avons fait l'amour tout la nuit et tout le jour avec fougue et passion.

M.C.