Après-midi surprise

Nous sommes au cœur de l'après-midi et si dehors le soleil brille, le froid est glacial. Par chance nous sommes au chaud, auprès d'un bon feu de cheminée. Nous avons sorti quelques jeux de société histoire de tuer un peu le temps, et après plusieurs parties et quelques taquineries, le désir s'échauffe et l'heure est à la badinerie.

Je t'aide à ranger les boîtes de jeux, et "innocemment", mes mains sur ton corps s'invitent. Je caresse tes hanches et enveloppe tes jolis seins. Mes lèvres parcourent délicatement ta nuque, je lèche subtilement ton lobe d'oreille. Tu fermes les yeux, inspires profondément, tentant vainement de résister à la tentation, mais je reprends mes délicats baisers sur ta nuque, et caresse ta poitrine qui frissonne. Puis tu parviens à t'échapper de mes baisers, tu reprends tes esprits un instant, avant de me lancer :

- Donne-moi une minute, prépares nous un thé ! Je reviens... Et tout en me lançant un clin d'œil taquin, tu t'éclipses de la pièce. 

Je me rends dans la cuisine pour préparer un thé, deux tasses pour nous servir et tout en me demandant ce que tu peux bien faire, je ferme les yeux un instant et me remémore la douceur de ta peau sur mes lèvres. Une pincée de minutes se sont écoulées, je suis toujours assis sur le canapé, évadé dans mes pensées et c'est alors que tu reparais. Je sens ta présence et l'odeur de ta peau. J'ouvre les yeux et te vois en délicieuse petite tenue. Tu portes une lingerie sublime, faite d'exquise transparence, de jolis rubans et de dentelles raffinées. Tes courbes sont élégamment dessinées, tu resplendis de féminité et tu poses avec charme en sensualité. Je suis ébloui, et conquis...

Tu te rapproches lentement, presque à porté de main, et tu minaudes et te dandines, agitant élégamment tes jolis seins sous mon regard envoûté, puis tes jolies fesses que je m'autorise à toucher, et à caresser. À nouveau tu me fais face et viens te placer à califourchon sur moi pour m'embrasser. Tu soulèves mon t-shirt et embrasses mon torse. Tu te déhanches lentement, offres ta poitrine à mes baisers. Le thé a refroidit, mais nos corps se sont embrasés. De doux jeux interdits, et nos sens exaltés...

M.C.