En Toute Sensualité

De la dentelle au nœud divin ! Seuil éphémère du Paradis féminin. Lisière sacrée de tous les mystères. Léger morceau d'étoffe au laçage délicat, qui attend patiemment la hardiesse d'un amant, pour délier les passions d'un subtile doigté. Comme le X d'une carte aux trésors, le petit nœud rose indique l'emplacement d'où les plaisirs vont éclore... M.C.

Chaque jour un peu plus je vois se transformer les courbes de sa féminité. Toute en délicieuses rondeurs, son corps se métamorphose sans ternir jamais sa sensualité. Épanouie dans son enveloppe charnelle, elle se sens femme, elle se sens belle. M.C.

À la coupe de ma féminité, viens savourer les fruits de mon intimité. Viens étancher la soif de ta passion dévorante. Entre tes mains je veux devenir ta gourmandise, ta friandise. Je veux sentir ta langue gourmande savourer le précieux nectar de mon fruit défendu. M.C.

Seule dans ma salle de bain, je profite de cet instant divin. Je prends le temps de ressentir, d'observer mon corps frémir. La sensation de la chaleur de l'eau qui coule et glisse sur ma peau. Je savoure cet instant privilégié, où je me retrouve et redécouvre ma féminité. Comme suspendu dans l'espace et le temps, enivrée par les parfums de mon bain, je reste là, immergée et je me détends... M.C.

Ce qu'il est agréable de sentir sur ma peau tiède la douce chaleur des premières lueurs du jour. Ma dentelle fine qui dessine délicieusement les courbes de ma féminité. Sentir la subtile caresse, le délicat textile qui esquisse le galbe de mes fesses. Me réveiller et sentir s'éveiller ma sensualité, quelle douceur de vivre... M.C.

Dans sa douce lingerie immatriculée, la belle inconnue s'offre aux premières lueurs d'un soleil printanier. La transparence de sa délicate dentelle agit tel un attrape rêve, focalisant l'attention d'un amant transi sur les courbes sensuelles de la belle en éveil. M.C.

J'aime ce petit moment suspendu dans l'espace et le temps. Cet instant qui n'appartient qu'à moi, où dans l'intimité je savoure ma tasse de thé. Comme lors d'une cérémonie, je m'agenouille avec humilité, serrant précieusement entre mes mains le nectar sacré. J'en respire avec délectation tous les arômes qui par vagues d'effluves entêtantes me font voyager. Portant la tasse à mes lèvres gourmets, je sens alors cette gorgée de thé me parcourir le corps, comme si de l'intérieur se dessinait ma féminité et s'exaltait ma sensualité. M.C.

Toute nue sous mon pull, dans mon salon je déambule. J'aime sentir la douceur de la laine sur ma peau tiède. La sensation de caresse qui fait frissonner ma chair. Me sentir belle au naturel, sans perdre de ma féminité sensuelle. À l'abri des regards indiscrets, mon intimité avec pudeur protégée. Belle et espiègle, n'attendant que le bon moment pour faire preuve d'un peu d'audace, je suis toute nue sous mon pull, ne tenant plus en place. M.C.

Une belle inconnue à sa fenêtre, se pavane de tout son être. La douce ingénue légèrement vêtue, parade en bas et dentelles, élégante et sensuelle. Toute en formes délicieuses, en courbes vertigineuses, Madame s'offre au monde comme un divin présent dans une situation fabuleuse. Entre ombre et lumière, réconciliant le noir et le blanc, le Belle s'incarne dans une beauté éphémère. M.C.

Dans ce sous bois aux couleurs d'automne, j'ai rencontré une belle princesse à la peau nacrée. Simplement vêtue de délicates dentelles colorées, la belle déambulait parmi la faune dans les sentiers de la forêt. D'un pas léger, elle allait de fleurs en fleurs en chantonnant, comme si cet instant était suspendu dans l'espace et le temps. Soudain la princesse comme par enchantement disparue, et malgré de nombreuses balades dans ces bois, jamais je ne l'ai revue. M.C.

Ce que j'aime ces petits moments qui paraissent anodins. Quand je la vois déambuler dans le jardin, sa panière de linge à la main. Le doux soleil printanier qui lui caresse la peau. La légère brise qui s'engouffre dans ses dessous de dentelles fines. Seigneur que ma femme est exquise. Je la vois au loin suspendre sa lingerie. Et pris sur le fait d'espièglerie, elle me renvoie un sourire sexy et prend la pose comme pour me donner plus envie. À cet instant, je voudrais la saisir dans mes bras et l'embrasser tout en tombant dans la panière de draps... M.C.

Ce fol instant où entre mes cuisses je sens ton souffle excitant. Mon entrejambe à la merci de tes baisers, je tente vainement de ne pas succomber. Tes caresses que sans paresse tu me prodigues avec tendresse, me paralysent et m'électrisent. À deux doigts de sentir ta langue gourmande, je lâche prise, à ta gourmandise, mon corps en offrande. M.C.

Dans ce corps qui n'est pas si sage, je me sens belle, je me sens femme. Ma poitrine soutenue par de délicieuses bretelles, se sent offerte dans son écrin de dentelles. Toute la simplicité de ma tendre féminité s'exprime par la finesse de ma lingerie, mais je suis femme et n'oublie pas d'avoir de l'esprit... Alors je finirai par ces mots ci : "Je n'ai pas un esprit mal tourné, j'ai simplement une imagination Sexy" ! M.C.

Déposées telle une offrande au culte de la féminité, je dépose ces roses sur l'autel de la sensualité. Symboles de mon indicible amour pour la femme, témoins aux milles parfums de ma tendre flamme. Je dépose sur son corps haletant et tiède, la preuve haute en couleurs de toute ma ferveur. En ce jour et pour toujours, je te déclare tout mon amour... M.C.

Vêtue de ma simple et douce féminité, je protège avec pudeur ma tendre intimité. La dentelle blanche glisse délicatement sur mes hanches et voile mes courbes avec élégance. Alors je me laisse approcher, deviner, sans jamais être vraiment apprivoisée... M.C.

Ne pas se fier à mon doux visage, ni à mon joli corsage, je suis femme, mais pas si sage. Alors parfois, lorsque la malice me pousse au vice, et que je succombe au maléfice, je vais au coin... Vous savez ? Celui où de ma fenêtre j'espionne mes voisins en quête de badinage. Alors espiègle, dans mon plus simple appareil, je guette par la fenêtre espérant vous y voir peut-être... M.C.

Une soirée qui s'annonce a priori sans frivolité, commence par un petit apéro bien mérité. Un Ti'punch pour ensemble trinquer et pour bruit de fond une émission de télé. Nous parlons de nos journées respectives, et se rapprochant pour nous blottir, la soirée semble soudainement changer de perspectives. Ta tête sur mon épaule, tes mains dans les miennes, et nous prenons le temps d'apprécier tout simplement ce moment de complicité. La faim se fait ressentir et tandis que je m'occupe des fourneaux, tu t'es engouffrée dans la salle de bain, où j'entends couler l'eau de la douche. Tout en préparant mon plat, le prend mon esprit sur le fait ! Celui-ci divague et s'égare en t'imaginant sous la douche, la mousse glissant sur ta peau, chassée par le filet d'eau.  Comme l'eau les minutes s'écoulent, et alors que je remue le plat, les yeux dans le vague, tu t'es glissée derrière moi, me prenant par les hanches et cherchant à m'em

De mes lèvres pulpeuses j'esquisse un sourire. Invitation audacieuse à découvrir mes courbes exquises. Un peu de couleur pour souligner ma volupté et tout en douceur vous envoûter. Femme divine, je vous embrasse de mes lèvres tendres et mutines. M.C.

Comme envoûtée par l'élan charnelle de ma féminité, je succombe frêle à la sensualité. Je me sens si belle dans ma dentelle, si femme que j'en émeu mon âme. Vêtue de noir pour l'élégance, et de rouge pour l'extravagance, je sens en moi les vibrations ardentes d'une passion dévorante. Tout en moi est exalté par la douce volupté de mon corps mis en beauté. M.C.

Sur ma peau au teint hâlé, je souligne chacune de mes courbes délicieuses d'un ruban rouge. Passant délicatement sur ma poitrine, un joli nœud remontant légèrement mes seins. Le ruban longe mon ventre, masque mon nombril et se faufile entre mes jambes, recouvrant avec élégance mon intimité. Le morceau d'étoffe dessine le galbe de mes fesses et finit sa course au milieu du dos, en un joli nœud en forme de papillon. Je me sens belle et sensuelle, prête à m'offrir à qui saura se laisser séduire par la femme exquise qui se cache derrière ce brin de malice... M.C.

Par un doux matin de printemps, je me lève encore fiévreuse de ma nuit délicieuse. Mon amant s'en est allé, me laissant seule avec mes pensées. Sortant de la tiédeur de mes draps froissés, je sens l'air frais de la nature qui s'éveille m'appeler. Une légère brise s'engouffre dans la chambre, faisant voler le voilage de mes fenêtres. Le sol est jonché de mes vêtements, témoins discrets des passions de la nuit dernière. Sur la chaise, ma nuisette alanguie prend la pose, et m'approchant de mes fenêtres, je peux sentir le parfum des roses. D'un délicat revers de la main, j'écarte mes voilages et fais quelques pas dehors. Je suis nue, la peau encore chaude et je sens la fraîcheur du printemps glisser sur mon corps. La brise fait onduler mes cheveux, frissonner ma chair et m'enivre mes sens. Je me sens toute en féminité, belle et sensuelle, comme les roses qui de leur couleur éclatante embellissent mon balcon... M.C.

Chaque jour, je revêts mon habit de femme, je porte avec élégance les lignes vertigineuses, les courbes savoureuses qui font de moi l'être délicieuse qui d'un regard attise les convoitises. Chaque jour, je revêts mon habit de femme, je me pare de pudeur, qui protège mon intimité d'un léger voile de douceur. Chaque jour, je revêts mon habit de femme, je dévoile chaque matin le parfum de mon âme, partage généreusement les effluves sensuelles de ma féminité aux fragrances fleuries d'une rose d'été. Chaque jour, je revêt mon habit de femme, je me montre dans toute ma simplicité, je fais montre de sensibilité et bouquet à la main, je rends grâce au divin de m'avoir un jour accordé pareille beauté. M.C.

Pfffiou ... J'en perds mon latin, quelle douce évasion que de lire ce bouquin. Je sens la passion m'envahir, tout ces mots si sensuels me font frémir. Chaque page fait monter un peu plus le désir, chaque chapitre provoque en moi une vague de plaisir. Je me laisse envoûter par la poésie féerique de ce conte érotique. Peu à peu la tentation grandie et la dentelle légère paraît superflue. Alors j'ondule sur mon lit et me cambre délicieusement, faisant glisser mon sous-vêtement comme une invitation lancée au bel amant de mon roman. M.C.

Dans mon enveloppe de féminité, parfois il m'arrive de me sentir un peu étriquée. Comme prisonnière dans ma propre chair, enfermée dans ce cocon éphémère. Je voudrais laisser s'exprimer ma sensibilité, laisser voir ma sensualité, enfin voler les ailes déployées ! Je ne veux plus être la femme objet de convoitises, ni plus être une simple gourmandise. Je veux sortir de mon écrin charnelle, et succomber à la passion d'une vie éternelle... M.C.

Quel doux plaisir que d'ainsi succomber à la gourmandise. Plonger ma cuillère dans le pot de confiture, c'est un peu comme s'abandonner aux bras de la luxure. Sentir le parfum fruité envoûter mes papilles, me délecter des saveurs sucrées de ce pot à la myrtille. Chaque bouchée est comme une explosion des sens, un doux plaisir qui éveil mon essence. De toute ma féminité je frémis, de toute ma sensualité je m'épanouis. M.C.

Alanguie sur mon lit, l'âme plongée dans mon univers de féminité, je m'évade dans les "Sortilèges de la Passion". Page après page mon corps s'embrase et ondule. Je me sens toute chose, belle et fiévreuse. Je voudrais m'offrir, un peu plus chaque fois que je finis un chapitre. Je voudrais être séduite, envoûtée par le bel amant de ce roman. Je suis éprise, faisant ce rêve pénétrant d'être belle et désirée dans les bras tendres de mon amant... M.C.

Par un après-midi pluvieux, où nous n'avions rien à faire de mieux que nous étreindre tous les deux. Nous voulions nous découvrir, nous offrir sans nous appartenir. Alors nous avons pris une douche bien chaude, moi qui m'extasie et elle qui minaude. Chacun dans son coin à observer l'autre, comme deux adversaires qui se jaugent l'un et l'autre. Pendant que l'eau ruisselle sur nos corps dénudés, nos âmes s'émerveillent de n'avoir pas succombé. Tout deux fiévreux de s'offrir au plaisir de la chair, mais résolus à essayer une nouvelle façon de se plaire. Alors on s'observe, se désire du regard, cherchant tout d'abord à faire succomber l'autre. Puis enfin prenons plaisir à ressentir l'effet de l'eau qui nous coule sur la peau. Cette sensation douce et chaude de ruissellement qui nous parcourt de haut en bas. Ce sentiment étrange que ce fluide est à la fois extérieur et intérieur. Puis vient le bruit ! Celui des gouttes qui viennent s&

Voici la femme dans toute son essence. Alliant sa douce féminité à sa profonde spiritualité. En pleine conscience de sa volupté, sans renier sa sensualité sacrée.  Invoquant de son Hara sa puissance vibratoire comme un mantra. La femme de toute son âme, à sa beauté naturelle déclare sa flamme. Telle une fleur en éclosion dans son écrin d'âme. M.C.

Huuuum quelle douce sensation que du regard contempler la perfection. Comment ne pas se laisse dévorer par l'irrépressible tentation de succomber à la passion ? Sensuelle et naturelle, cette exquise poitrine s'offre dans la dentelle de son délicat écrin rouge. M.C.