En Toute Sensualité

Quand dans le miroir je croise mon reflet et qu'avec bienveillance je vois la femme que je suis. Cette femme aux courbes sensuelles, au regard perçant et à l'âme d'enfant. Percevoir mon intimité avec pudeur, voir la nudité de mon cœur. Je me regarde ce reflet et je souris en voyant cette jeune femme belle et épanouie... M.C.

Ce que j'aime lorsqu'elle se fait obéir, son regard perçant  qui me fait immédiatement frémir. La voir de cuire et de dentelles vêtue, éveil en moi mille et un désir défendu. Certains pourraient prendre peur et s'enfuir, mais moi je la contemple à m'en faire rougir... M.C.

Lumière tamisée, atmosphère cosy, la Belle lit dans le living. Comme à son habitude, elle s'est mise dans sa plus belle tenue. Livre en main, elle se laisser transporter au fil des pages qui défilent. Absorbée par son histoire, elle semble frémir et vivre chaque émotion. Je vois sa féminité prendre vie chapitre après chapitre... M.C.

Ce qu'elle est belle la jouvencelle. Dans sa jolie tenue d’Ève, la Belle au sourire radieux étincelle. Son exquise féminité s'éveille, et la Belle joue de sa sensualité naturelle. Sourire aux lèvres, ses courbes enluminées par la douce lumière du jour la Belle irradie d'une tendre joie de vivre pour le plus grand plaisir des yeux. M.C.

Deux pôles qui malgré leurs différences se retrouvent autour d'un but commun ! Chacun dans sa vérité se laisse petit à petit dévoiler par la perception bienveillante de son sensuel opposé. La beauté et la nudité ne sont plus les seules attractions qui unissent deux êtres, mais quelque chose de plus grand, plus pénétrant rend cette rencontre du corps et de l'âme plus... Sacrée! M.C.

Dans sa bulle de féminité, la Belle sur sont lit allongée s'évade dans ses pensées. Alanguie à demi-nue, elle se languit d'être désirée, convoitée car de sa divine silhouette émane une tendre sensualité. Puis son corps s'anime, redonne de la couleur à son âme, illumine son sourire et dans l'intimité de ses pensées l'espoir d'être aimée renaît.. M.C.

Sous ma langue gourmande, je te sens succomber, je vois ta chair frémir chaque fois que mes lèvres provoquent ton désir. Sens-tu ton plaisir croître à mesure que cheminent mes doux baisers sur ta peau d'albâtre ? Alors dans ce passionné corps à corps, un peu plus fort je peux sentir ton cœur battre... M.C.

Il ne reste que quelques minutes avant de terminer ma journée au bureau. Ça me paraît interminable, comme si l'horloge tournait au ralenti. Toute la journée on m'a demandé pourquoi je m'étais si bien habillée. À croire que le reste du temps je dois être habillée comme un sac... Bon, il faut dire que j'ai très envie de lui plaire, envie qu'il n'ait d'yeux que pour moi. Je porte un joli chemisier blanc, une petite jupe noire un peu échancrée, juste ce qu'il faut pour être sexy, et ma paire de talons préférée. Je me suis faite un joli chignon et pour l'occasion je me suis un peu maquillée, je sais qu'il aime mon rouge à lèvres couleur cerise... Enfin l'horloge indique l'heure de ma libération. Je me sens comme une adolescente, toute excitée avec des papillons dans le ventre et le désir qui me démange depuis le déjeuner. Je n'ai de cesse de penser à ses mains puissantes sur mes hanches, et la fougue de ses baisers sur mes lèvres.

En toute intimité, dans ce petit boudoir feutré, la Belle toute de rouge drapée, dissimule avec pudeur les somptueuses courbes de sa tendre féminité. Pensive, elle patiente lascive dans son fauteuil cabriolet. Comment ne pas succomber à la tentation de contempler telle beauté, se délecter de ce bel instant de sensualité...? M.C.

Lors qu'à travers les volets percent les premières lueurs du jour et que sur sa féminité se posent délicats les doux rayons du soleil. À l'ombre de sa dentelle s'esquisse avec pudeur ses courbes intimes. Sous le puissant astre divin s'illumine sa féminité sacrée. Puis en un éclair, disparaissent les ombres éphémères de la sensualité. М.С.

La nuit vient de tomber et dans la salle de bain la Belle s'est faufilée. Entourée par l'obscurité, une simple lampe met en lumière sa douce féminité. Alors dans la pénombre dansent avec volupté ses lignes et ses courbes à mesure que la Belle se dénude. De loin, spectateur indiscret, je contemple ce ballet de vêtements qui un à un dévoile un peu plus de sa somptueuse intimité.  M.C.

Alors qu'à travers la fenêtre percent les premiers lueurs du jour, les rayons du soleil se posent sur sa peau hâlée, esquissant sa silhouette sensuelle et mettant en lumière sa délicate intimité. Au petit jour, quand tout est encore calme, s'anime avec délice son élégante féminité. M.C.

Alors que je viens de débaucher, je vois en entrant chez moi, la Belle assise sur la canapé. Elle porte une petite robe noire, un verre de vin couché au sol et le pied sur une bouteille de vin qui semble ne demander qu'à être débouchée. Croisant ses jolies jambes élancées d'un côté puis de l'autre comme une danseuse dans un ballet, elle me fait sentir que je suis attendu, et qu'elle aimerait bien pouvoir trinquer. Je dépose mes affaires, défait les premiers boutons de ma chemise et je m'avance chercher mon baiser. Ses bras autour de mon cou, ses lèvres sucrées sur les miennes, quelle savoureuse gourmandise. Je me saisi de la bouteille, sors mon couteau de ma poche pour retirer la collerette, puis le tire-bouchon pour aérer ce vin... La Belle a dû attendre longtemps ce soir et elle est un peu d'humeur à jouer les pestes capricieuses  pour se venger... Elle retourne s'asseoir, croise ses jambes infinies, dépose ses bras dénudés sur le dossier du sofa et

Lorsque je joue avec le soleil, caressée par ses doux rayons et que je vois mes courbes se mettre à danser, alors je savoure l'ombre de ma féminité. Je contemple cette ombre qui s'anime et du bout des doigts dessiner ma silhouette sensuelle. M.C.

Toute de rouge assortie, la Belle dans les boutiques était sortie. Flânant ici et là, cherchant son bonheur parmi la dentelle et la soie, après quelques essayages, mit son bel amant aux abois. Lorsqu'il la vit si élégamment vêtue, il ne pu s'empêcher de contempler la Belle ingénue. De la tête aux pieds de rouge ornée, lingerie fine, bracelet et jolis escarpins, la Belle se pavanait ses paquets à la main. M.C.

Comment résister à la délicieuse tentation de savoure avec délectation l'une de ces friandises sucrées ? Comme une envie de succomber à la chaire rougeoyante d'un fruit défendu, sentir couler sur mes lèvres gourmandes ce doux nectar fruité. Puis comme dans un écrin, recueillir sur ma langue cette exquise perle d'intimité... M.C.

Embarquement immédiat, comme une envie de grand large, d'horizons infini, et de sentir les embruns. Le vent doux des alizés soufflerait dans tes cheveux, le soleil caresserait ta peau hâlée. Hissant la grand-voile avec élégance et grâce, nous mettrions le Cap sur la sensualité. Tu serais le phare de nos désirs, latitude et longitude me mèneraient à ta délicieuse féminité. Pour nous la croisière s'amuse... M.C.

Ne laisser voir que ce qui est éphémère et désirable. Derrière la féminité de mes courbes, la sensualité de mes lignes, se cache ma sensibilité de femme, la beauté de mon âme. Ne vous arrêtez pas seulement sur la douce nudité qui vous est donnée de contempler, mais voyez la tendre pudeur de mon cœur et venez sonder mon esprit durant l'échange sincère d'un regard   attendrit... M.C.

Ne pas seulement être l'incarnation d'un fantasme, ne plus être le simple objet d'un désir éphémère, ni la sombre illustration d'une figure pornographique. Je veux ÊTRE symbole de la féminité, émouvoir pour ma sensibilité, être une ode à la beauté, que mes courbes et mes lignes soient vu avec sensualité et volupté sans faire montre d'aucune vulgarité. Je veux ÊTRE femme dans mon corps et dans mon âme. M.C.

Le jour vient de se lever et sous les draps la Belle encore ensommeillée s'étire, et ondule. Le voile de ses draps laisse deviner ses courbes délicieuses. Son corps encore tiède frémit sous les caresses du draps qui glisse. Ses yeux peinent à s'ouvrir, la Belle lâche un soupir, et contre son oreiller sa tête vient se blottir. M.C.

Ce matin la belle Rose s'éveille et déjà sur sa peau le soleil radieux comme une caresse se glisse. Sur ses délicieuses courbes arrondies une jolies dentelle rouge prend vie. Au creux de ses reins, un délicat nœud rouge tel un papillon sur une rose se tient. M.C.

Voilà qu'au détour d'une ruelle, je croise le chemin d'une jeune demoiselle. Intrigué par sa tenue, je me suis approché de la belle ingénue. La dernière seulement vêtue d'un parapluie déambulait dans les rues, jusqu'à trouver le point le plus d'où elle admirait la vue. Son regard se perdant dans les confins de l'horizon, je restais là sans voix à la contempler avec admiration. J'étais intrigué par cette beauté féminine qui m'était donner de regarder, mais ne pouvais me résoudre à briser le doux silence de ce spectacle exquis. Derrière l'arrondi de son parapluie je ne pouvais voir son visage, mais le divin semblait avoir dessiner ses courbes délicieuses, et ses lignes vertigineuses. Sur sa peau nacrée, la pluie lentement perlait, la faisant légèrement frissonner. Mais elle demerait imperturbable, observant le monde, je sentais alors l'errance de mon âme vagabonde. M.C.

Nous sommes dimanche matin et comme j'étais réveillé tôt, je suis sorti chercher de quoi petit déjeuner. À mon retour une délicieuse odeur de café flottait dans l'air. La Belle s'était levée. Elle sortait de la douche, les cheveux entortillés dans une serviette et son joli corps enveloppé dans son peignoir blanc. Elle passe devant moi, me lance un clin d'œil en caressant négligemment mon visage du bout des doigts et continue sa course dans la cuisine tout en me remerciant d'avoir ramené de quoi déjeuner. Ses doigts délicats se saisissent de quelques oranges pour en faire un jus. Les toasts sautent du grille pain et je me saisi de la cafetière. Nous nous retrouvons dans le salon avec de quoi déjeuner à profusion. Je m'installe au fond du canapé, ma tasse de café pour me chauffer les mains, tout en l'observant. Ses lèvres qui enveloppent sa tartine,  ses dents qui mordent dans le pain et la confiture qui se dépose sur ses lèvres gourmandes, avant qu'e

Quand entre ses mains sa guitare prend vie, rien que pour moi la Belle joue une douce mélodie. Quelle délicieuse féminité lorsqu'elle ne s'habille que de jolies notes, et que ses doigts glissent sur son instrument. Tout devient alors sensualité lorsque vibrent les cordes au rythme de sa sensibilité... M.C.

La Belle s'habille pour son amant, délicieusement elle enfile son body blanc. Toute en transparence, elle fait montre d'une somptueuse élégance. Mais très vite elle se montre taquine, et de leurs écrins de dentelles, ses jolis seins se font la belle. Alors mutine, de ses mains câlines, elle se cache la poitrine... M.C.

C'est au cœur d'un tourbillon de féminité que se dévoile furtivement un soupçon d'intimité. Dans cette valse effrénée et colorée, prend vie dentelle exquise. Portée par des jolies jambes élancées, la Belle danse la farandole de ses envies folles. Toute en sensualité s'anime charme, élégance et volupté... M.C.

Toute de dentelles ornée, Rose dans sa tenue de féminité, déambule avec sensualité. Dévoilant avec pudeur sa tendre intimité, Rose se laisse ainsi du regard contempler. Secrète, la Belle sait que telles des gourmandises, ses délicieuses courbes attisent les convoitises... M.C.

Nous avons pris en terrasse un café, sous le soleil d'un bel après-midi d'été nous avons durant des heures discuté de choses et d'autres. Nos regards étincelaient d'un désir grandissant, nos mains discrètement se sont frôlées et nos entremêlés. Entre nous une attraction était en train de s'opérer et nous mourions d'envie succomber. À ton appartement nous sommes arrivés sans jamais s'être touché, pas même dans l'ascenseur malgré l'exiguïté. Devant ta porte nous nous sommes un instant arrêté, nous nous sommes regardés et cognés la tête car spontanément nous voulions faire le premier pas pour nous embrasser. Tu t'es abandonné dans mes bras en riant, insérant ta clé dans la serrure pour que nous puissions entrer. Une fois à l'intérieur, nous nous sommes assis sur ton canapé. Tout deux un peu gênés et à la fois très excités, nous avons échangé des œillades passionnées. Du bout des doigts ma chemise tu as déboutonné, pendant qu'avec délic

Princesse câline, un peu mutine, voir carrément taquine. Vêtue de sa simple nudité, seulement parée de lingerie coquine et d'un escarpin doré. La Belle fascine, tout en jouant avec pudeur de sa somptueuse féminité. Un brin provoque, mais belle sans équivoque, Princesse n'a de cesse d'émouvoir avec sensualité et tendresse. M.C.

Ce qu'elle est belle au naturel, quand d'humeur féline elle se fait douce et câline. Que dans son plus simple appareil, sa féminité tendrement s'éveille. Ce qu'elle est belle lorsque ses courbes s'animent, et que sa sensualité se pare d'une délicate pudeur intime. Être Belle, c'est être femme au naturel... M.C.

Aux premières lueurs du jour, lorsque ma féminité s'éveille et que j'ondule entre mes draps encore chauds, je sens cette douce chaleur m'envahir. Le soleil qui pénètre par la fenêtre joue à cache-cache avec ma dentelle. Mon bas ventre papillonne, et ma sensualité rayonne. Au cœur de l'intime, mon désir bouillonne... M.C.

Ce que j'aimerais voir dans son regard la douceur de ses sentiments, qui illuminerait son visage souriant. Me laisser envoûter par le charme de son rire, et sa voix mélodieuse me faire frémir. Je voudrais sentir sa main posée sur la mienne, et nos doigts qui tendrement s'entremêlent. Puis tels deux aimants, nos deux êtres embrasés s'apprivoiseraient de caresses passionnées. Suspendus dans l'espace et le temps, ne faisant plus qu'un comme d'inséparables amants. M.C.

Enveloppée dans ses draps encore tièdes, la Belle doucement s'éveille. Son corps peu à peu prend vie et sa féminité l'embellie. Ses courbes et ses lignes s'étirent et ondulent. Et sur son visage s'esquisse un radieux sourire, témoin d'une douce nuit de désir. M.C.