En Toute Sensualité

À bicyclette sur les chemins de campagne, je me balade avec la Belle. Ce que j'aime la contempler lorsqu'elle se laisse aller à flâner dans les prés. Voir sa silhouette dans sa robe à fleurs qui s'anime et danse sur son vélo à panier. Voir sa féminité s'épanouir dans cette douce nature au parfum d'été. La voir cueillir et humer les jolies fleurs des prés. Délicieuse sensualité qui prend vie dans cet univers éphémère. M.C.

Quand au bout du jardin je la vois gracieusement étendre le linge au petit matin. Sa lingerie suspendue sur le fil, dansant sous l'effet du vent, pendant qu'elle déambule et minaude avec féminité et sensualité. Quel ravissement lorsqu'elle sublime les petits gestes du quotidien. M.C.

Parfois joliment dénudée, ou d'une duveteuse toison ornée. Des lèvres gourmandes qui n'attendent que d'être délicatement savourées. Un subtil appendice joueur et complice, nommé Clitoris. Cœur discret de sensibilité, stimulé avec doigté, éclosion d'une douce fleur sucrée. Antre passionnée d'une sensualité exacerbée, qui s'ouvre à qui sait respecter la féminité, honorer la fente sacrée. M.C.

Ce soir je mets les p'tits plats dans les grands. C'est la première fois que je te reçois chez-moi, pas de faux pas ! Je ne sais pas quoi me mettre, le repas est prêt, j'ai pris ma douche, l'appart brille, j'ai mis un peu de musique... Tout est prêt ! Les minutes qui précèdent ton arrivée semblent une éternité. J'ai dû me lever quinze fois pour voir si tu n'arrivais pas. Mais alors que j'ai le nez par delà la baie vitrée, ça sonne à ma porte ! Mon sang ne fait qu'un tour, mon cœur s'emballe et le temps d'arriver à ma porte d'entrée, je me sens tout essoufflé. J'ouvre la porte et c'est là que tu apparais. Je sens sur mon visage s'esquisser un sourire niais que je ne peux contrôler. On se fait la bise et je t'invite à entrer, te proposant de t’alléger de ton manteau. Je te vois rougir toi aussi et ça me rassure quelque peu. Après avoir fait une rapide visite de mon appartement, je t'invite à prendre place sur mo

Après que notre désir dans le salon se soit éveillé, que nos lèvres gourmandes se soient savourées et que nos mains se soient lancées dans un ballet passionné, la Belle d'un pas élancé s'en est allé. Marchant lentement dans le couloir, cherchant me regard dans les miroirs, elle semait ici et là chaussures et vêtements devenus encombrants. Au sol, comme un jeu de piste s'amoncelaient vêtements et lingeries, indiquant négligemment la chambre, où s'annonçait quelques coquineries... M.C.

Comment rester plus d'un instant concentré lorsqu'à quelques pas de moi travaille une splendide Beauté ? La tête posée sur sa main, l'esprit plongé dans ses pensées. De la Belle émane un doux parfum de sensualité. Comme pour m'hypnotiser d'avantage, d'une main elle relève négligemment sa robe, dévoilant ainsi ses jolies jambes élancées et d'avantage de sa féminité... M.C.

Ses courbes et ses lignes somptueuses, sa féminité et sa sensualité radieuse. Quel savoureux délice que de poser sur elle un regard tendre et complice. Avec un brin d'envie et de malice, elle sait mettre son amant au supplice et telle une prédatrice, elle ne se laisse pas si facilement apprivoiser. Chanceux celui qui pourra simplement l'effleurer... M.C.

Perchées sur de hauts talons argentés, de jolies jambes fuselées finissent leurs courses sous une robe fleurie. Négligemment dévoilés se dessine l'arrondi de jolies fesses. Femme debout, pleine d'assurance et d'élégance, la Belle prend la pose et sans peur elle ose... M.C.

Ce que j'aime arpenter les prés sous le soleil d'été. Laisser s'exprimer pleinement ma féminité à travers les champs de blé. Les voir onduler sous l'effet du vent, comme lorsque j'use de ma sensualité. Rien n'est plus doux qu'être libre et libérée des tabous de la nudité. Belle au naturel, sans malice, ni artifice. M.C.

Rien n'est plus élégant qu'une petit robe noire pour habiller un joli corps sculptural. Princesse modèle, la Belle prend la pose. Sa robe ondule et s'envole, dévoilant ses jambes élancées. Une beauté naturelle exquise qui donne le tournis... M.C.

Dans sa jolie tenue légère, la Belle se montre avec élégance. Ses jolies jambes élancées, de bas sublimées. Une délicate dentelle pour bustier met en valeur sa poitrine galbée. Alanguie sur son fauteuil en cuir, la Belle me lance un appel au désir. Alors je me laisse tenter et je me prends à la contempler. M.C.

Sentir en soi ce petit je ne sais quoi, qui me met en émoi. Cette sensation intérieure de ma féminité grandissante. Ce regard qui se pose sur moi chaque fois que mes yeux se portent sur un miroir. Ce petit tour sur moi-même comme pour évaluer ma sensualité, et dire à ce corps que je l'aime tel qu'il est ! M.C.

Comme un besoin de me ressourcer, de retrouver l'essence de ma féminité. Alors dans mon jardin je déambule à demi-nu. Je sens la fraîche rosée du matin à chacun de mes pas, la fraîcheur de l'air me caresse la peau à m'en donner des frissons. Telle une rose qui s'ouvre de tout ses pétales, je m'étire et j'inspire à pleins poumons. Pour savourer cet instant divin, je prends appui sur le tronc d'un arbre qui ruisselle de rosée et je contemple le paysage en toute intimité. M.C.

Une partie des plus exhalante commence. Tout deux n'avons qu'une envie, remporter la partie. C'est à Madame de servir, et la chance jusqu'ici est pour mon plaisir. Il me reste quelques vêtements, alors que sa féminité fait part de sa sublime nudité, dévoilant certains attributs de son intimité. Elle a le jeu en main, entre ses doigts habiles les cartes dansent et se mêlent. Un dernier coup de bluff, elle relance, joue son va-tout. C'est gagné, j'ai l'ultime combinaison et c'est son dernier vêtement qui sous mes yeux gourmets, glisse le long de ses jambes élancées. Mais je suis beau joueur, et la Belle pourra se refaire, après qu'elle et moi ayons fait la paire... M.C.

Tantôt pour rafraîchir, tantôt pour attiser les braises de la convoitise, l'éventail brasse de l'air, comme un battement de cil, avec charme et légèreté. Objet de coquetterie, il sait se faire tout petit, ou tel un paon se montrer chatoyant tout en masquant délicieusement les sourires et les désirs... M.C.

Dans ma tenue d'Ève et d'Adam, je vois lentement s'égrainer les sables du temps. Sur une plage abandonnée, je savoure ardemment ma sensualité, avant que ne fane ma féminité. C'est nue que j'ose espérer l'immortalité, que jamais ne flétrisse mon élégance, et que perdure mon insouciance. Aux creux de mes mains s'écoulent les sables du temps, et je mon esprit s'évade aux quatre vents... M.C.

Et oui parfois il faut savoir se soumettre aux corvées, jouer du fer, plier et ranger. Mais comme vous le voyez, même pour repasser je fais preuve de féminité. Et lorsque je plie ma lingerie, je reste une femme belle et sexy. Alors cessez de rêvasser et venez plutôt m'aider... M.C.

Par cette chaleur caniculaire, seul le bain s'avère salutaire. Alors je fais couler mon bain, où je m'immerge tôt ce matin. Un pied, puis l'autre, puis tout mon corps nu dans l'eau. Quelle douce sensation que celle de l'eau sur mon corps chaud. Mon être frissonne, et ma féminité se laisse aller à profiter de cet instant privilégié... M.C.

Un soir comme cela nous arrivait parfois, nous nous sommes retrouvés autour d'un billard. Nous pouvions passer des heures à nous affronter, tout en savourant quelques cocktails alcoolisés. C'était un petit rituel, qu'elle et moi avions instauré. Nous prenions plaisir à nous retrouver et à refaire le monde dans ce bar qui sentait le cigare. Considérés comme des habitués, souvent nous avions accès à une table privatisée dans une pièce un peu reculée, meublée de vieux fauteuils en cuir, de petits lustres rouges et dorés à la lumière tamisée. Un fond de musique un jazzy pour donner à ces lieux une atmosphère chaleureuse. Voilà plusieurs parties rudement menées, nous sommes à égalité, il faut nous départager, mais nos verres sont vides et une pause s'impose. Après qu'elle m'ait faussement supplié, je consens à me rendre au bar commander deux cocktails bien frappés. Le serveur très gentil me demande si tout se passe bien, me tend les verres et me fait signe que

Arrivée dans ma chambre d'hôtel au charme contemporain, je me mets à mon aise, retire mes escarpins, me déshabille avant d'investir la salle de bain. Après ce moment délicieux, où l'eau chaude ruisselait sur ma peau frissonnante, je me suis enveloppée d'un drap de bain. Le soleil rayonnait dans toute la chambre, et alors que je faisais nue les cents pas, je me suis recroquevillée sur une chaise près de la fenêtre pour savourer la douce chaleur du soleil qui sur ma peau se faisait caresse... M.C .

Délicieusement glissée dans son écrin de dentelle immaculée, la Belle prend la pose. Ses lignes et ses courbes semblent comme être sculptées par une exquise lingerie de dentelles et de rubans, dessinant sa taille et soulignant avec élégance sa jolie poitrine. M.C.

Ce qu'elle est belle la douce Princesse, dans son bustier de dentelle ébène. Comme un instant de tendre paresse, à demie-nue, l'élégance d'une Reine. D'un léger doigté elle dévoile sa nudité, comme une invitation à des jeux polissons. C'est tout en subtilité, qu'elle se laisse deviner. De toute sa féminité, qu'elle se fait désirer... M.C.

Ce que j'aime la voir gravir cet escalier, imaginant qu'à chaque pas qu'elle fait, la Belle se rapproche de la félicité. S'allégeant à chaque marche d'un vêtement devenu sans intérêt, le Princesse nous invite à plus de sensualité. Dévoilant un peu plus sa féminité chaque fois qu'elle franchit un palier, elle nous séduit par sa beauté, nous invitant à plus de complicité, jusqu'à franchir le seuil de son intimité. M.C.

Alors qu'elle rentre de sa journée de labeur, la Belle s'octroie un petit moment de douceur. Elle a enlevé ses escarpins, s'est faufilée dans la salle de bain pour y préparer un instant divin. L'eau chaude coule lentement, pendant que dans la chambre elle enlève ses vêtements. Quelques huiles de détente et se sont ses sous-vêtements qui s'impatientent. D'une main habile son soutien-gorge s'efface, et la dentelle qui enveloppe ses jolies fesses se reflète dans la glace. Le miroir est embué, le bain mousse à souhait. Pour prendre la température, la belle y glisse un pied, puis l'autre, avant de délicatement s'immerger. Il ne reste qu'à savourer cet instant privilégié. M.C.

J'aime me pavaner au milieu des champs de blé. Sentir sur ma peau hâlée la douce chaleur du soleil d'été. Le parfum des blés fraîchement coupés qui exhale mes sens et éveil ma féminité. Alors je laisse ma sensualité s'exprimer et offre à Dame Nature ma tendre nudité... M.C.

Nous sommes en voiture, il y a un peu de musique et le paysage défile à mesure que le soleil se couche. La chaleur de la journée fait tout doucement place à un peu de fraîcheur. La sensation de l'air qui entre dans l'habitacle éveil nos sens et nos désirs. Sa main chaude qui se pose sur ma cuisse, du genou à ma hanche se glisse. Puis sa main passe sur mon entre jambe et tout en moi s'éveil.  Clignotant à droite et je me range sur le côté, dans un coin calme, où nous ne serons pas dérangé. Le contact est coupé et nos baisers se font passionné. Nos corps s'embrasent et le désir nous consume. Nos vêtements s'évaporent, alors que le désir nous dévore. Enfin nous sommes nus, débarrassé de tout vêtements superflus. Nous laissons libre cours à nos envies, nous faisant l'amour jusqu'à la fin du jour... M.C.

Ce que j'aime la voir se saisir avec une délicate élégance sa tasse à café et la porter à ses lèvres gourmandes. Voir ses yeux se fermer pour se laisser envahir par les puissants arômes du café. Puis enfin s'abreuver du nectar précieux et intense, avant de se laisser consumer par ce breuvage sacré. M.C.