En Toute Sensualité

Nous avons déjeuné et c'est confortablement blottis dans le canapé que nous entamons la soirée. À la télé ils diffusent 3 épisodes de ta série préférée. Le programme de la soirée semble scellé. Mais... C'était sans compter nos envies passionnées ! Le générique du premier épisode à peine achevé, sous le plaid déjà nos mains commencent à s'animer. Assis, blottis, on s'enlace et s'embrasse. Mes mains cherchent le chemin de ta peau nue, sentir ta chaleur sous mes doigts. Tu grognes quelque peu, me disant que l'épisode est inédit, mais je dépose un baiser au creux de ta nuque, tentes de te déconcentrer. Ça y est mes mains sous tes vêtements se sont glissées, à ta peau chaude et douce enfin j'ai accès. Je continue inlassablement mes baisers sur ta peau sucrée. Ta nuque, tes trapèzes, puis tes épaules, que tu hausses et roule pour tenter de faire diversion. Mais je suis bien décidé à te donner des frissons... Mes mains glissent sur tes bras, s'invitent s

Précieuse comme l'améthyste, parfumée comme un brin de lavande, aux couleurs de la noblesse et de l'élégance. Rose s'alanguie dans son plus simple appareil, chic, belle et naturelle. M.C.

Toi ! Oui, toi qui pense que je ne le vois pas. Ne restes pas là, approche toi. Viens t'allonger près de moi, viens mettre mon cœur en émoi. Alors que je franchis la porte, je la vois nue, échevelée sur son lit, les draps froissés. Elle me lance un regard empli de passion et les jambes croisées, elle me tend son string accroché à son pied. Je m'avance, un peu gêné, je crois même que je rougi. Ses mains caressent des jambes élancées, saisissent ses seins galbés et se glissent dans sa chevelure bouclée. Elle se pince délicatement les lèvres, comme si elle savourait un fruit juteux. Et moi je sens mon cœur s'emballer, et mon appendice se réveiller... Approches, viens le chercher ! Dit-elle en faisant osciller son string du bout du pied, que je saisi tel un trophée. Elle me fit signe de me déshabiller, ce que j'entrepris avec une pointe de timidité, encore gêné par la dureté de mon appendice tout excité. Chemise et pantalon étaient enlevé, mais si mon sous-vêtement ne

Tel un chasseur à l'affût de sa proie, je suis à l'affût de la photo qui me mettra en émoi. Alors que je réalise un shooting photo, comme souvent cela m'est arrivé, j'ai face à mon objectif, une déesse de la Beauté. Une nymphe espiègle et taquine, si naturelle que chaque fois elle me fait rougir. Je n'ai de cesse de prendre des photos, sous tous les angles, dans toutes les postures. Mais soudainement plus joueuse, la Belle dans sa tenue d'Ève ondule. Ses mains audacieuses se glissent sur sa peau délicieuse. D'un doigté léger, la Belle s'ouvre à sa féminité. Par delà les portes du Paradis, elle franchit avec malice le royaume interdit. Le fruit des délices à portée de main, ce sont de doux frissons qui parcourent sa peau de satin. Rien de plus beau que cet état d'extase à immortaliser en photo... M.C.

La nuit est tombée, la soirée s'est rafraîchit, mais l'atmosphère peu à peu s'échauffe. Madame est dans la salle de bain pendant que je termine de ranger le dîner. Alors que vais pour la rejoindre, elle sort en peignoir de la salle de bain. Un baiser volé sur le pas de la porte et je vais prendre ma douche. Alors que je regagne le salon pour éteindre la télévision, je la vois qui m'attend assise sur la table de la salle à manger, le regard taquin et le peignoir entrouvert. À porté de main, un flacon de miel liquide et la bombe de chantilly... Madame semble avoir des envies gourmandes pour la soirée. Je m'approche d'elle pour l'embrasser, glisse mes mains sous son peignoir pour les poser sur sa jolie taille. Mes doigts dansent sur sa peau toute chaude, mes lèvres gourmandes cheminent sur sa nuque, pince légèrement le lobe de son oreille, puis redescendent le long de son cou, ses trapèzes, faisant ainsi glisser le peignoir le long de ses bras délicats. S

Allongé à ses côtés, je me laisse enivrer par l'odeur de sa peau tiède. Sur son corps alanguie, mes mains aventureuses se glissent. Dans la pénombre de la chambre, je peux distinguer sa peau frémissante. Sa poitrine qui se soulève à chacune de ses profondes inspirations. Son cœur bat si fort que je peux presque le sentir battre au rythme du mien... Me lançant un regard perçant, ses mains sur ses seins glissent et d'excitation ses tétons durcissent. Gourmande, ma langue s'invite à la danse. De sa poitrine à son nombril, je la couvre de baisers, descendant jusqu'à la lisière de son intimité. Comme un halo dans l'obscurité, une douce lueur se dépose sur le Mont de Vénus. De ses doigts délicats, elle se saisit du haut de sa lingerie, relevant un peu celle-ci comme pour me laisser entrevoir les portes du Paradis. Un délicieux jeu de lumière se fait entre sa jolie dentelle et sa peau si frêle. Telle une invitation à plus d'audace, mes doigts s'invitent

Dans l'intimité de son boudoir, au première lueurs du jour, la Belle dans sa robe du soir, s'installe à son secrétaire le cœur lourd. Elle portait un chignon élégant, laissant libre sa nuque et toute la chute de son dos, jusqu'à la naissance de ses fesses. Sa robe portée comme un drapé, glisse sur elle comme une voluptueuse caresse. D'un geste lent elle sort d'un tiroir un vieux rouleau, trempe sa plume dans l'encrier, et couche ses états d'âme sur le papier, formant ses lettres avec une incroyable sensualité... M.C.

À l'heure se siroter l'apéro, je saisis une bouteille de pétillant, deux flûtes et le seau de glace. Ce soir il fait si chaud qu'un bain de soleil s'impose sur la terrasse. Sur son transat ma bien aimée est allongée nue, ruisselante et délicieusement bronzée. Offerte aux dernières lueurs du jour, de ce spectacle je me délecte et je savoure. Je nous verse une coupe, nous trinquons son regard plongé dans le mien. Elle porte la coupe à ses lèvres et savoure une gorgée. Alors que je prends place sur mon transat, elle plonge sa main dans le seau pour en retirer une poignée de glaçons. Ramenant ses jambes élancées vers elle, elle lâche les glaçons au creux de son intimité. Elle lâche un soupir comme pour réprimer la sensation de froid, puis du bout des doigts saisit un glaçon qu'elle fit fondre sur son corps en ébullition. Passant de son front à ses lèvres. Glissant de sa nuque à sa poitrine, passant sur ses tétons alertes et descendant jusqu'à son nombril, où

Ce soir petite séance photo après une semaine des us longue au boulot. Carrément impatient de rentrer ce soir et de troquer le stress du bureau pour une chaleureuse ambiance boudoir... Sitôt terminé, le bureau fermé et les 30min de trajet effectuées, place aux réjouissances. À peine ai-je franchi la porte que déjà l'encens enivre mes sens. Les lumières sont tamisées, la musique est lancée et sur le guéridon à l'entrée, un petit mot m'invite à m'installer confortablement. Sur la table du salon, un verre de rhum ambré, et mon appareil photo d'or et déjà prêt. Je m'installe dans le canapé, saisi mon verre et aval une gorgée. Le doux nectar se diffuse en moi comme une vague de chaleur intense. Puis je me souviens qu'un peu plutôt dans la semaine, ma Belle m'avait dit avoir commandé de jolies choses à porter. Alors je me suis imaginé tout un tas de tenues sans parvenir à me décider sur ce qu'elle a bien pu choisir.  Tant pis, au rythme où comme

Dans une contrée lointaine, subsiste un mythe, une légende locale qui prête à une cascade une âme féminine. D'après cette légende, une fois par an lors d'une pleine lune d'été, l'âme de la cascade s'incarne sous les traits d'une femme délicieuse, aux courbes somptueuses. Certains chanceux prétendent l'avoir déjà aperçue, marchant nue sur un dédale de rochers. Elle prendrait place au plus fort de la chute d'eau, allongée sur les pierres lissées par le fil de l'eau. Au cœur de la nuit, on peut entendre sa voix cristalline, lorsqu'elle chante dans une langue oubliée. Puis le jour se lève et la Belle disparaît derrière les brumes de la cascade et dans le fracas de l'eau sur les rochers. M.C.

Je la vois assise au sol, accoudée au sofa, l'air boudeuse. Elle porte son petit haut rayé et sa jolie robe à fleurs, un foulard négligemment noué à son cou. À ses pieds, ses talons noirs préférés. Dès qu'elle m'aperçoit, son regard s'illumine, ses yeux soudain pétillent et elle prend son air taquin, glissant ses mains le long de ses jambes, faisant lentement remonter sa robe fleurie. Encore et plus encore, jusqu'à laisser deviner ses dessous bleue nuit. Faisant une légère moue  féline, elle passe sa langue sur ses lèvres, tout en tendant son bras vers moi, et avec son index, m'invite à la rejoindre. Elle est comme magnétique, l'aimant de mon désir, mon centre de gravité, à laquelle je ne peux résister. Plus je m'avance et plus elle m'envoûte, son parfum délicatement déposé sur sa peau tiède m'enivre, comme hypnotisé par son regard de braise, je succomber à la tentation. Je n'ai qu'une seule envie, me laisser tenter... M.C.

Ce que j'aime ce petit moment avant de me lever. Quand les draps sont encore chaud de la nuit passée, mon odeur imprégnée sur l'oreiller. Je fais lentement glisser les draps sur ma peau dénudée. Alors naît en moi le désir d'une caresse, mes mains dansent sur mes cuisses, passent sur mes fesses et jusqu'à ma poitrine s'empressent. Je sens ma peau frissonner, ma respiration petit à petit haleter, mon cœur doucement s'emballer. Je laisse alors libre expression à ma féminité, je m'accorde cet instant de sensualité, ce moment précieux d'intimité... M.C.

Comme enveloppée d'un pétale de rose rouge, la Belle resplendit de mille éclats. Dans l'écrin de sa tunique carmin, elle soutient sa poitrine exquise d'un revers de la main. Tel un rubis rougeoyant, la Belle étincelle aux yeux de son amant... M.C.

Ce que j'aime observer ma dulcinée sous sa douche. Le délicieux jeu de transparence de sa féminité qui danse à travers la parois vitrée. Voir sa jolie silhouette onduler au rythme de la musique qu'elle met pour s'évader. Quel doux spectacle que de voir l'eau perler sur sa délicate peau de pêche, ses courbes élancées, sa poitrine ruisselante, en toute sensualité. Je ne peux me lasser d'ainsi la contempler, si belle et naturelle en train de chanter : "Une Femme libérée..." ! M.C.

Musicienne sensuelle, la Belle sur la scène se déhanche et balance. Guitare à la main, lookée Glam Rock, faisant vibrer les cordes du bout de ses doigts, elle envoûte la salle et électrise la foule. Solo endiablé, rythme effréné, sensualité passionnée. La Belle se donne corps et âme à son public déchaîné. M.C.

Parce qu'elle sait que ses plus belles courbes sont celles de sont sourire, ses lèvres d'un trait la Belle fait rougir. Alors sans nul autre vêtement que sa sensualité féminine, la Princesse à l'âme féline, se montre d'humeur taquine. M.C.

Comme une offrande à nos yeux écarquillés, la Belle dans son écrin d'étoffe blanche satinée, laisse dévoiler sa tendre féminité. Dans ses dessous noirs qui dessinent délicieusement ses hanches, la Belle alanguie patiente lascive que son amant fougueux la saisisse par la taille. Et dans ses bras musclés, la fasse tournoyer, souhaitant la posséder, mais n'osant pas entraver sa liberté. M.C.

Toute en lumière chaleureuse, la douce Rose se glisse dans sa lingerie ardente en forme de cœur et orné d'un délicat nœud papillon aux ailes pourpres. La dentelle finement ciselé, esquisse délicieusement les courbes de sa féminité. Laissant rêveur nombre de prétendants gourmands. M.C.

Au-dessus de ses délicieuses jambes élancées, s'arrondissent de jolies fesses galbées. Sans culotte, certes, mais pas sans dignité, la Belle aux courbes exquises se pavane sans vanité. Alors pleine d'élégance elle prend la pose, attendant les caresses délicates d'un amant qui l'ose... M.C.

C'est au bord de l'eau que cette femme j'ai rencontré. Alors que je faisais du pédalo, la belle sur les berges déambulait. Sur la pointe des pieds, cachée par les roseaux, Dame Nature laissait exprimer sa nudité. Sous le soleil, dans un halo, je la voyais belle, toute en féminité.  Puis porté par le courant de mes pensées, je me mis à dériver et déjà au loin la somptueuse Princesse disparaissait. Ne subsiste alors que l'heureux souvenir d'une délicieuse silhouette sensuelle qui de timidité me fit rougir... M.C.

Qu'il est doux de laisser s'exprimer ma féminité aux chaleureux rayons d'un soleil d'été. Me dévêtir avec légèreté, savourer le rayonnement du soleil sur ma peau dénudée. Entre ombre et lumière, jouer de ma sensualité, me laisser caresser par cette brise au doigté léger. Alors sur ma chaise longue, je m'alanguie nue et offerte à ce bel astre solaire. M.C.