En Toute Sensualité

Je me prends encore à rêver, perdu dans mes songes, la belle s'anime et se dandine. Sublime et élancée, elle danse nue dans mes pensées. Vertigineuse et élégante, elle hante mon esprit, et ensorcelé, je ne peux que contempler son exquise nudité, je ne peux que succomber à ses charmes, et lorsque le sortilège est levé, je n'ai plus que mes larmes. Sensuelle déesse de la féminité, envoûtante prêtresse de la beauté, elle envoûte ma psyché, jouant avec mes désirs inavoués. M.C.

En balade d'un coin reculé, nous avons trouvé l'endroit idéal pour la photographier. Un lieu un peu rustique au milieu des champs, tout en vieilles pierres d'antan. Pour l'occasion la belle s'est glissée dans une nouvelle robe qu'elle s'était offerte quelques jours plutôt. Lorsqu'elle reparaît, elle est perchée sur de jolis talons noirs, et ses courbes délicieuses sont dessinées par cette exquise robe orange moulant ses formes généreuses. Je commence une série de photos. Quel plaisir que de la contempler à travers mon objectif, c'est comme si je pouvais la toucher des yeux, immortaliser sa féminité, son charme, sa sensualité. Elle marche avec grâce et élégance, je dandine et minaude, elle sourit, me taquine et prend la pose. Elle joue avec son corps, danse comme le blé des champs sous l'effet du vent, puis caresse ses courbes, relevant un peu sa jupe pour laisser deviner ses jolies fesses que je m'empresse de prendre en photo. Puis assise jam

Ce matin la belle est joueuse, À demi-nue à la fenêtre, Elle irradie de tout son être, Se pavane élégante et radieuse. Délicieuse du côté pile, Elle dévoile exquise son côté fesses, Déambulant avec charme et style, Elle est mi-ange et mi-diablesse. De toutes ses courbes elle rayonne, Du regard je dessine sa silhouette, Sa sensualité la rend polissonne, Je la contemple, elle est parfaite. M.C.

Il fait doux ce matin-là. Je marche entre les dunes de sable et découvre l'intense bleu de l'océan et le vacarme des vagues qui viennent s'échouer sur la plage de toute leur puissance. Le sol en tremble sous mes pieds. Je reste là, un moment, à contempler ce spectacle de la nature, puis je vais me baigner. La fraîcheur de l'eau me saisit, tous mes muscles se crispent et se contractent, puis petit à petit se relâchent et se détendent. Je fais la planche et me laisse simplement porter par le flux et le reflux des vagues, comme bercé par les éléments. C'est si bon de sentir sa petitesse, sa vulnérabilité face à cette immensité, cette puissance sauvage qui me trimballe sans peine et pourrait si elle le voulait m'engloutir. Mais je flotte et dérive, contemplant le paysage et mon esprit lui aussi dérive... Je regagne la plage en nageant un peu, aidé par de belles vagues qui me raccompagnent. Sous mes pieds le sable est chaud, je fais s'envoler quelques mouettes en

Cet après-midi la belle est joueuse, déjà dans la voiture elle me provoque, cherche à éveiller mon désir. Sa main qui remonte le long de ma cuisse et s'arrête sur mon entrejambe alors que je conduis. Puis elle remonte lentement sa jupe fleurie qui laisse apparaître ses jambes lisses. Elle sourit et me sussure des mots coquins à l'oreille. Arrivés sur le parking elle m'embrasse et sort de la voiture. Je prends le caddie et nous entrons dans la galerie. Nous commençons les courses, et la belle est toujours d'humeur très joueuse. Elle me frôle, me met la main aux fesses, se baisse devant moi de façon très suggestive, voir explicite. On déambule dans les allées, remplissant le caddie de choses et d'autres. Et je dois dire qu'à force de me chauffer, la belle a réussi à m'exciter. J'ai de plus en plus envie d'elle, là entre les rayons, mais bien trop de monde pour être discret, ce qui semble d'avantage l'exciter. Je la vois qui réajuste sa jupe, ap

Dans son plus simple appareil, la belle s'offre et je m'en émerveille. Elle déambule dans la pièce avec grâce et volupté, dévoilant peu à peu son exquise nudité. À genoux sur le lit, elle laisse pleinement s'exprimer sa nature exquise. Pudiquement elle cache de ses mains son beau sexe et ses jolis seins. Comme pour faire monter le désir, elle me faire languir. Toutes ses courbes délicieuses se meuvent avec élégance, suggérant le raffinement avec une pointe de défiance. Regards intenses, jeux de séduction, un brin d'insolence, la belle est prête pour que nos corps s'unissent et dansent. M.C.

Arrivée sur la plage pour contempler l'heure dorée, je me mets à mon aise et dévoile ma nudité. Libérée de mes vêtements, je marche dans le sable chaud pour mettre les pieds dans l'eau. Quelle douce sensation que de sentir l'air marin, se laisser caresser par les embruns. Assise sur le sable, j'observe l'horizon. Le soleil décline peu à peu et son reflet rase la surface de l'eau qui scintille de mille éclats. L'eau est chaude et glisse sur ma peau de miel, mes seins se dessinent sous les rayons du soleil. J'en frémis. L'instant est exquis... M.C.

Quand je la vois allongée là, j'ai le cœur en émoi. Allanguie sur les draps, elle s'abandonne à la rêverie. À demi-nue son corps s'abandonne sous ses caresses, qu'elle prodigue avec douceur et tendresse. Ses jolies jambes dansent et se balancent, s'ouvrant par alternance sur son intime essence. En tre chaire et dentelles, s'anime sa féminité, qui ne demande qu'à s'exprimer. Comme un appel à coquineries, une invitation au délice, je rêve de sa peau douce et lisse, mais n'ose approcher, de peur si je la touche, de me laisser envoûter. Mais comment résister à la tentation de succomber aux saveurs intimes, aux charmes irrésistibles de sa somptueuse féminité ?... M.C.

Il est assis là à me regarder, il a pour consigne de ne pas bouger, il peut contempler, saliver, se caresser s'il le souhaite, mais en aucun cas il ne peut me toucher, pas sans que je ne le lui ai expressément demandé. Et coquine que je suis, je ne compte pas lui rendre la tâche facile. Je commence gentille et habillée de ma petite jupe noire et de mon débardeur blanc, je passe devant lui en me dandinant, avant d'aller m'asseoir sur le lit. Je le regarde, lui souris, puis je commence à caresser mes jambes comme pour les dessiner, je caresse à présent ma poitrine, agitant un peu mes seins que je sors de leur écrin. Je le regarde taquine, je vois que son désir s'éveil et ça n'est que le début. Je caresse et malaxe mes seins, je presse délicatement mes tétons entre mes doigts, qui durcissent d'excitation. Mes lèvres se pincent de désir et je sens une douce chaleur m'envahir. Il n'est pas en reste et tente de demeurer impassible, mais je le connais que trop

Comme milles étoiles qui scintillent dans la voie lactée, ses petits grains de beauté parsèment sa délicieuse féminité. Son corsage étincelant, sa jolie poitrine dans son bel écrin blanc, me laisse les bras ballants. La belle est exquise, elle baguenaude avec espièglerie et malice. Et moi comme ensorcelé, je la contemple avec délice. M.C.

Entre ombres et lumières, Féminité s'éclaire. Délicieusement dévoilées, Ses courbes se dessinent avec sensualité. Tel un divin rituel, Elle se pare de résilles et de dentelles. Morceaux d'étoffes et bouts de ficelles, Qui enveloppe avec élégance, Ce merveilleux être charnel. M.C.

Joueuse et mutine, Audacieuse et taquine, La belle en petite robe bleue marine, Se montre d'humeur babine. Provocatrice, un peu coquine, Elle dévoile sa jolie dentelle fine, Un élégant ruban noir se dessine, Telle un papillon aux ailes badines. Espiègle et silencieuse, D'une main aventureuse, La belle soulève sa robe voltigeuse, Laissant deviner son intimité mystérieuse. Virevoltant dans le boudoir, Le beau papillon noir, Rallume la flamme de l'espoir, De nos rêves illusoires. M.C.

La belle dans son déshabiller de soie, traverse la pièce avec grâce et allégresse. Ceinture dénouée, son déshabiller s'ouvre sur sa nudité. Elle est belle et élancée, ses jambes longues et fines se dessinent à chacun de ses pas. Sa poitrine frêle et exquise, éveille la gourmandise. D'un pas léger, sans vulgarité, elle déambule de toute sa coquetterie. La belle, tel un élégant flamant bleu, prend la pose , elle se laisse caresser par les doux rayons du soleil qui percent par les fenêtres. Et moi je suis là, à contempler sa beauté naturelle, subjugué par les charmes de la belle. M.C.

La belle en tenue d'Ève se rend à la cuisine. Aujourd'hui elle a un dîner à préparer pour recevoir quelques invités. Elle enfile son tablier, rince ses légumes, prépare son plan de travail, coupe, râpe, émince. En fond, une petite musique joyeuse et entraînante, sur laquelle la belle se dandine. Elle danse entre ses plats sur le feu et ses verrines aux noix et au bleu. Elle s'affaire derrière les fourneaux, et je la contemple du pas de la porte, observant ses courbes et ses jolies formes se mouvoir avec élégance. Je ne devais pas rentrer sitôt, mais la voir ainsi pétillante ne me fait pas regretter d'être en avance. Je reste discret et garde le silence, pendant que la belle cuisine et danse. Les minutes s'égrainent et elle chantonne. Ça sent si bon les épices, un véritable voyage olfactif. Et la voir ainsi, éveil également les sens. Elle plonge son doigt dans le plat qui mijote et comme dans un ralenti sensuel, le porte à sa bouche, le suce et le goûte. J'en sal

Chaque être tient en ses mains les sables du temps. Celui-ci lentement s'égraine, faisant parfois passer les jours pour des semaines, et les mois pour des années. L'instant fugace d'une vie qui défile sous nos yeux sans que l'on ne puisse jamais le rattraper. Sablier impartial, qui dessine le temps et l'espace, dans lequel chacun de nous cherche sa place. Nul temps pour les lamentations, la vie n'accorde pas de prolongation, chaque instant d'une vie se savoure, comme un moment d'éternité, qui en un claquement de doigts disparaît. Le temps de l'insouciance, de la légèreté est révolu, prendre sa vie à bras le corps, voilà à quoi nous sommes résolu. Parceque le temps nous est compté, apprenons à l'apprécier, et à le partager, car nous sommes éphémère, femmes et hommes ne font que passer sur cette terre... M.C.

Au détour d'une balade dans la nature, la belle prise d'un élan de libération et d'un besoin d'exhibition se met à nue.  Tout en regardant l'horizon, elle se saisit de son haut blanc qu'elle retire élégamment. Comme une provocation, sa poitrine exquise est offerte, telle une invitation qui vous ferait perdre la tête. Seins nus, caressée par la soleil, elle déambule, féline, dans cette nature dense et sauvage. L'appel de la liberté se fait plus prégnante et sans plus la faire attendre, la belle s'allège de sa jupe et lentement, du bout des doigts retire son dernier sous-vêtement. À l'image de la nature, la voici nue et sauvage, délicieuse dans ce bel écrin de verdure. M.C.

La tendre et fougueuse belle aux cheveux noirs, ce qu'elle me plaît lorsque de violet elle revêt son corps. Une femme exquise et mutine qui montre sa sensibilité avec charme et sa féminité avec élégance. Un brin audacieuse, quelque peu joueuse, délicieusement mystérieuse. Toute de fine dentelle vêtue, elle envoûte et ensorcelle avec sensualité. Telle une Muse inspirante elle fascine et hypnotise, suscitant ainsi la passion du désir... M.C.

Les vacances sont terminées et la belle a troqué maillots de bain et paréos pour une tenue sobre d'écolière. Mais la journée est chaude et la tentation est forte de faire l'école buissonnière. Derrière son bureau la belle est rêveuse. Regardant par la fenêtre, elle songe à son bel amour d'été et se prend à penser combien elle serait heureuse qu'il vienne la délivrer de cette rentrée survenue trop tôt. Elle l'imagine l'entraînant par la main, rasant les murs, se cachant des passants, et l'évasion réussie, ils se retrouvent tout deux dans un parc boisé, à l'ombre de grands arbres. Ils se tiennent par les mains, se regardent amoureusement en tournoyant dans une danse légère. Son rêve semble si réel, qu'elle dessert l'étreinte de son nœud de cravate. L'écolière n'est plus si sage, elle déboutonne son corsage, pour son bel amant un heureux présage, mais la belle n'est pas sous les ombrages. Les yeux fermés, elle se mordille les lèvres. Son

Comme une envie de sentir ta douce chaleur sur ma peau, tes rayons délicats qui se posent sur moi. Je veux sentir mon corps s'embraser sous l'effet de ta lumière étincelante. Astre radieux d'un matin naissant, je veux me sentir sous l'emprise de ton éclat. Je veux me sentir telle une fleur délicate et frêle qu'un papillon butinerait à tir d'ailes. Tout mon être palpite de désir et d'excitation, tes tendres caresses me laissent d'intenses frissons, je suis en pâmoison. Alors que je soulève le dernier vestige de sous-vêtement qui l'enveloppe, sous un voile de dentelle tu t'éclipse et disparaît dans l'ombre de ma féminité sacrée. Pour toi je brûle de désir, tu me fais rougir, je sens que le plaisir me consume et l'anime. Je succombe à ton charme solaire, l'instant est des plus torride, presque caniculaire. Puis vient le temps d'exulter, impossible de dissimuler mon plaisir, celui de te recevoir, de te sentir me parcourir, tendre et p

Lorsque la féminité rencontre l'élégance, cela donne Rose tout simplement. Une femme belle, élancée, toute en courbes délicieuses et sensuelles. Une femme qui ne dévoile sa féminité, sa merveilleuse nudité, qu'avec beaucoup de raffinement. Elle fait découvrir son univers pleins de charmes et de mystères, ouvrant délicatement les portes de son jardin secret à qui saura l'admirer, la contempler avec humilité, sincérité et respect. M.C.

La belle sur sa peau de miel porte de la verte dentelle. Celle-ci fine et frêle dessine avec charme ses courbes de femme. Lascive, pensive, elle se pavane avec grâce, laissant sa délicate féminité s'exprimer avec pudeur. Je contemple sa merveilleuse silhouette du regard, et sa sensualité naturelle fait palpiter mon cœur. Chaque ligne, chaque courbe, chaque forme semble avoir été esquissé avec un doigté divin. Un instant je cligne des yeux, et l'instant d'après elle n'est plus, comme disparue. Était-ce un songe ? Une rêverie ? M.C.

Ce soir la belle a rendez-vous, une soirée chic à laquelle elle m'a proposé de l'accompagner. Ambiance guindé, petits fours, cocktails, poignées de mains et sourires forcés. Tout ce que j'aime et en plus je vais être engoncé dans un costume ridicule. Mais l'heure n'est pas à la complainte, la belle a rendez-vous et c'est important pour elle. Je sais qu'elle compte sur moi pour la soutenir, je serais là ! Pour l'heure, elle sort nue de la salle de bain, ses longs cheveux bruns enroulés dans une serviette. Sa peau à peine sèche ruisselle que quelques gouttes d'eau. Elle fait les cents pas dans la chambre, ouvrant tiroirs et placards en quête de quelque chose à se mettre. Elle se saisit d'un ensemble de lingerie noire qu'elle enfile sans même voir que je suis là à l'observer déambuler. Elle est belle et j'aime tant la contempler. Sur le lit elle jette quelques vêtements, qu'elle envisage de porter, se regarde dans le miroir pour se p

La belle semble avoir été dessinée par les anges. À peine vêtue d'un petit morceau d'étoffe singulier, elle irradie de beauté et de sensualité. Finement suggérée, sa féminité se devine sous le mince voile de tissu froissé. Sous se dernier, mille subtilités demeurent cachées, n'attendant que l'amant bienheureux qui saura les révéler. Il faudra l'apprivoiser avec patience, savoir lui parler avec élégance, la charmer avec déférence. Puis quand viendra le temps de lever le voile du désir, il faudra sans cesser assouvir ses envies de plaisir. Parcourir sa nudité de caresses et de baisers. Effleurer avec légèreté et doigté, chaque parcelle de sa féminité, jusqu'à explorer les merveilles de son intimité. L'observer se cambrer, se crisper, écouter ses désirs, l'entendre doucement gémir et sentir lorsqu'elle sera prête, prête à connaître l'ultime plaisir... Alors seulement, dans un dernier échange de regards tendres et complice, il sera temps de succomber

Sous cette chaleur écrasante, la belle allongée nue s'évente. Alanguie et haletante, elle s'étire et ondule de toutes ses courbes exquises, qui à cette instant ne demandent qu'à être caressée par la brise. Sur son corps étendu là, perlent de fines gouttes d'eau qui dessinent avec lenteurs les contours de sa peau. Prise de frissons, sa peau frémit sous l'air à peine frais de l'éventail qu'elle agite. Elle reste là pensant à la fraîcheur d'une brise marine qui se ferait caresses sur ses courbes divines... M.C.

  Le désir au bord des lèvres, Le cœur qui palpite, Je sens en moi la fièvre, Fougueuse passion qui m'habite. J'ai des papillons dans le ventre, Les yeux qui pétillent, Je le veux dans mon antre, Sentir en moi sa queue qui frétille. Je brûle et me consume de désir, Mon intimité à sa vue dévoilée, Avec lui je veux connaître le plaisir, Qu'il me déguste et savoure ma féminité. Du bouts des lèvres il tutoie mon intimité, Ses doigts effleurent mon bouton ardent, Je suis en train de m'embraser, J'ai le souffle coupé et le cœur bondissant. Avec douceur et fougue il me fait l'amour, Je sens sa force autant que sa tendresse, Je voudrais que l'instant dure toujours, Qu'il résonne comme une promesse. Instant de magie partagé, À mes lèvres de feu il a succombé, J'en tremble encore de plaisirs inavoués, Il est transit et épris de ma sensualité. M.C.