En Toute Sensualité

Nous avons passé la journée à déambuler dans les rues parisienne. Quelle vie trépidante, tout semble aller à 100 à l'heure, une frénésie constante. Mais la ville est belle, et nous avons profité d'une belle journée ensoleillée. Nous avons dîné aux chandelles sur un bateau mouche en voguant sur la Seine et sous les lampadaires qui jonchent les trottoirs menant à notre hôtel, nous marchons main dans la main. La soirée est douce, l'air est frais et avant de retrouver notre chambre, nous restons assis sur un banc qui se trouvait là à contempler la ville de nuit. La nuit fraîchie et nous regagnons l'hôtel, montant les marches sans faire trop de bruit, jusqu'à ce que l'une d'elles grince et nous déclenche un fou rire. Nous arrivons à la chambre en étouffant nos rires comme deux adolescents et la porte refermée derrière nous, on se lâche. L'euphorie passée, la belle entrouvre la fenêtre, s'assoit parterre près du lit, et lentement se déshabille. Nœuds et ru

Le matin est doux et par-delà les fenêtres, on peut entendre le chant des oiseaux qui virevoltent. On entend le bruit des voitures, des terrasses de café, les voix des commerçants, des passants. Toute une vie s'éveille au dehors. Aaaah Paris ! Nous y sommes que pour le week-end. Petite virée à deux à la capitale pour visiter et profiter des richesses architecturales et culturelles. Mais ce matin, si dehors tout semble déjà en effervescence, dans le cocon douillet de notre chambre d'hôtel, la vie bat à un tout autre rythme. Nous venons de nous réveiller et pendant que je prends ma douche, la belle est à la fenêtre. C'est alors qu'il m'est donné de voir l'un de ces merveilleux instants de féminité. Elle est assise nue près de la fenêtre. Son corps est encore parsemé que gouttes d'eau qui perlent sur sa peau. Ses longs cheveux sont enroulés dans une serviette et tout en observant au-dehors, elle fouille dans sa trousse à maquillage et en sort quelques accessoir

Nous sommes en fin d'après-midi, le jour décline peu à peu. Dans la mezzanine, entourés de bougies qui scintillent et de volutes d'encens qui dansent, nous sommes face à face en position lotus.  Une musique de fond aux rythmes de tambours donne une atmosphère presque hypnotique et envoûtante. Chacun part à son rythme à la découverte de son intériorité, puis après quelques minutes, on commence à percevoir l'autre, sa présence physique, son énergie, à percevoir les battement de son cœur qui frappe au rythme des tambours qui vibrent et résonnent. Nos mains se cherchent, nos doigts s'entremêlent comme une connexion corporelle. Sa main chaude se pose sur ma poitrine, au niveau de mon cœur et je fais de même. Sous ma paume je sens battre son cœur, et elle ressent le mien. Peu à peu, c'est comme s'il n'en battait plus qu'un. Nous sommes à l'unisson, comme si de cette connexion nous étions entré en fusion. Nos corps se meuvent lentement, et à présent placé d

Nous avions besoin d'évasion et nous sommes octroyé quelques jours pour voyager où le vent nous porterait. Quelques vêtements dans une valise, paddle sur le toit du van et quelques kilomètres plus tard, nous roulons près du littoral atlantique. Fenêtres ouvertes, cheveux au vent, nous papotons et rions en écoutant de la musique. La belle accoudée à la fenêtre contemple le paysage qui défile. L'air fait danser ses cheveux et le soleil illumine son visage, elle est superbe. Quelques kilomètres en dessous de la dune du Pyla, nous trouvons à garer le van près de la plage de la Lagune. Un bel endroit à l'ombre des pins et au loin l'océan et ses vagues qui grondent. Le ciel est parsemé de discrets nuages et le soleil entame sa dernière course. Le temps d'enfiler nos maillots et hop, nous filons nous mettre un peu dans l'eau. Nous laissons traces de nos pas dans le sable chaud et main dans la main marchons vers les vagues.  Après la baignade, nous regagnons le van et c

La matinée est particulièrement chaude aujourd'hui. La belle s'est installée nue près de la piscine et vient d'enduire son joli corps d'huile solaire parfumée. Étendue sur sa serviette de plage, sous son grand chapeau de paille, elle est prête pour sa séance de bronzage. Je perçois d'ici l'odeur du monoï qui exhale mes sens. M'approchant de la baie vitrée, je la regarde se prélasser. Une main baigne à la surface de l'eau, pendant que l'autre lentement parcours sa peau comme pour en chasser la sensation de chaleur. Quelques gouttes projetées ici et là perlent sur ses courbes, mais sous les rayons du soleil, très vite s'évaporent. Sa peau commence lentement à dorer et par endroit à rougir. C'est à cet instant qu'elle décide d'entrer lentement dans la piscine. Elle fait quelques longueurs aussi gracieuse qu'une sirène, puis retrouve la position allongée sur sa serviette. À présent se sont son dos et ses jolies fesses qui se laissent

Partis en week-end pour un peu d'évasion, nous traînons ici et là, au gré de l'intuition. Après une matinée à marcher sur des sentiers boisés, nous avons regagné le gîte où nous étions hébergés. Une petite demeure sans prétention, juste coquette et confortable comme nous le souhaitions. Nous avons pris le temps de déjeuner, affamés que nous étions de cette randonnée. Puis chacun ayant besoin de se ressourcer un peu, elle belle se mit à la fenêtre pour bouquiner sur une chaise à l'allure rustique, mais somme toute confortable. Et je suis monté dans la chambrette qui tenait plus d'une grande mezzanine, pour m'étendre quelques instants. Je regardais longuement le plafond, cherchant le sommeil, mais j'avais l'esprit vagabond. Après un moment, je suis descendu et me suis assis sur ce qu'il y avait de plus approchant d'un canapé qui n'avait pas d'âge, mais demeurait confortable. Et je me suis pris à contempler la belle qui tournait ses pages. Conce

Après une grasse matinée passée à batifoler, la belle se lève et se dirige vers la salle de bain. L'eau chaude coule sur sa peau nue et se met à embuer la pièce. Ses mains parcourent lentement son corps, esquissant chaque courbe, chaque ligne de sa sublime féminité, et l'eau ruisselle en une cascade sensuelle. Elle prend le temps d'éponger son corps ruisselant, enroule une serviette autour de ses cheveux, puis tout en chantonnant, elle fait danser ses courbes en marchant jusqu'à la cuisine. Je me suis levé et l'ai suivie juste pour savoir cette vision exquise de son délicieux corps qui s'anime. Ce qu'elle est belle dans son plus simple appareil. Le nez dans le frigo, elle est en quête d'un en-cas pour satisfaire son p'tit creux. Elle sort de quoi grignoter et je la regarde se restaurer. La voir se lécher les doigts après s'être délectée de son repas me rend tout chose. Sa poitrine se gonfle à chacune de ses respirations et je ne peux qu'obser

Je me sens comme en ébullition, voilà des heures que je me prends à rêvasser, fantasmant sur mon voisin de palier. Qu'il est beau ce bellâtre ténébreux à la musculature saillante. Chaque fois qu'il me regarde je me sens fondre comme un glaçon. J'aurais envie de ses mains fermes sur mes hanches, de son regard perçant dans le mien et s'il pouvait m'offrir de torrides coups de reins... Huuuum... Je deviens folle, la raison m'abandonne. Ma poitrine se gonfle de désir, je me caresse comme s'il s'agissait de ses mains qui sur mes seins se pressent. Mon ventre se crispe de plaisir, mes cuisses s'entrouvrent et je sens mon intimité qui palpite. Mon clito se gorge de désir, ma fente humide se dessine sous ma petite culotte blanche. Je sens mon corps qui s'embrase, je me consume, il faut que ça cesse, vite un verre d'eau, je me dessèche. Troublée, plutôt que de boire, je verse mon verre d'eau fraîche sur mon intimité en fusion. J'aurais pensé q

L'attente fût cependant de courte durée, enroulée dans sa serviette de bain, la belle déambulait dans le spa avec charme et sensualité. L'avantage de cet horaire, c'est que nous sommes quasiment seuls. Sauf pour le sauna visiblement... Mais revenons à la belle qui me précède et tout en marchant, lentement fait remonter sa serviette dévoilant ainsi ses jolies fesses. Quelle vue exquise ! Elle se retourne et me lance un clin d'œil complice, avant de laisser retomber la serviette et ouvrir la porte toute embuée de l'espace hammam. Elle y jette un coup d'œil et se précipite vers moi, me prend par la main et m'entraîne avec elle. L'air est tellement chaud et humide que l'on peine à voir à l'intérieur. Elle m'entraîne sur le banc en mosaïque où je place ma serviette et m'assois. Elle me regard avec son air taquin et s'installe à califourchon sur mon bassin. Son sexe se frotte au mien qui très vite durcit sous ses lents va-et-vient. J'em

Allongée sur les bancs de bois du sauna, la belle perle aux grandes eaux. L'atmosphère est sec et chaud, et la belle aussi est de chaude humeur. Sur son corps mille et une goutte de sueur apparaissent ici et là, dessinant sa silhouette de femme. Gourmande, elle suçote une sucette qui exhale une odeur de fruits rouges. Je suis là, adossé à la parois du sauna, je la contemple en souriant, sans dire un mot. Elle est si belle dans son plus simple appareil. Sa poitrine se gonfle chaque fois qu'elle respire et son ventre se creuse chaque fois qu'elle expire. Et dans se petit creux naturel qui se forme au niveau de son nombril, les gouttes d'eau s'y agglutinent, formant peu à peu une petite flaque qui s'agrandit à mesure que perle sa peau. Cela nous fait sourire et rire, et en riant son ventre se gonfle et l'eau se disperse. Le temps s'égrène et la belle sens la taquinerie monter en elle. La chaleur éveil son désir et elle cherche à éveiller le mien. Sa façon d

Entre ombre et lumière, la belle prend un bain de soleil. Son corps nu se dessine en un jeu d'ombres qui danse sur ses courbes de femme. La lumière parcours sa peau comme une caresse et son absence laisse après elle un frisson, une douce sensation. Munis d'une simple fleur, avec lenteur je l'effleure. Les pétales sur sa peau s'étalent, laissant ici et là un peu de pollen. Chaque parcelle de sa peau s'éveille en un long frémissement. Elle se mord les lèvres, ses paupières se ferment comme pour savourer le plaisir de l'instant. Sa poitrine se gonfle, ses jolis tétons pointent d'excitation. Son corps se met à onduler, comme pris d'une intense vague de désir. Son cœur frappe dans sa poitrine qui se soulève à chaque battement. Son souffle s'accélère et dans mon regard elle se perd. Je suis la ligne de son dos, la fleur s'arrête sur ses jolies fesses, en esquisse le galbe, puis poursuit sa course le long de chacune de ses jambes, jusqu'à ses pieds,

J'entends le craquement des matches, puis plus rien. Je me lève pour voir ce que c'est, et je trouve la belle assise au milieu des escaliers. Elle porte un top blanc près du corps et une jupe courte qui d'ici laisse à deviner sa lingerie sexy. Une paire de talons hauts aux pieds et des bas blancs lui font de jolies jambes élancées. - Que fais-tu là ? Lui ai-je demandé. Sans un mot, ses mains se sont mises à parcourir ses jambes avec légèreté. Tout en me regardant intensément, elle caressa ses hanches, sa jolie taille et ses mains ont délicieusement enveloppées ses seins. Elle se libéra lentement d'une bretelle de son vêtement tout en caressant délicatement l'arrondi de son épaule. Toujours avec lenteur et une certaine langueur, elle retira son haut blanc dévoilant son joli ventre, son nombril, puis son exquise poitrine. Libérée de son vêtement, elle masse ses jolis seins entre ses mains, pince ses tétons entre ses doigts fins. Je la contemple du bas des manches dan

Voilà un moment qu'elle s'est absentée et ne la voyant pas revenir, ni l'entendre non plus, je me mets en quête de la retrouver. Pas dans la salle de bain, ni dans la bibliothèque où elle aime parfois s'isoler pour lire, pas non plus dans son bureau. Je poursuis ma recherche jusqu'à la chambre où je vois par la porte entrouverte que le lit est défait. Je m'avance alors discrètement et la trouve étendue sur le lit. La belle est allongée nue, étreignant son oreiller contre son visage ensommeillé. La douce lumière du jour qui perce par la fenêtre vient de se poser sur sa silhouette, esquissant délicieusement chacune de ses courbes de femme. Elle est si belle ainsi endormie. Le simple fait d'être là, à pouvoir la contempler, rempli mon cœur de joie et sur mon visage se dessine un sourire. Un dernier regard et je quitte la pièce en refermant la porte derrière moi. M.C.