En Toute Sensualité

Toute guillerette, la belle apparaît dans le salon en tenue de soubrette. Toute en dentelle noire, de jolis bas qui élancent ses jambes, petit tablier blanc et une coiffe dans ses longs cheveux. Un joli corset raffiné dessine sa silhouette, et son string met délicieusement ses petites fesses en valeur. L'air penaude, elle s'avance vers moi comme si elle avait fait une bêtise et cherchant à ne pas sourire, elle me tend une cravache en disant : - Je n'ai pas été sage mon Chéri... Je mérite d'être puni... Et tenant l'autre bout de la carvache, elle nous dirige vers la chambre en minodant pour m'attendrir. Elle se place à quatre pattes sur le lit, me tend ses jolies fesses galbées et en me regardant avec un léger sourire, me répète : - Je n'ai pas été sage, punis moi ! La cravache en main, un peu hésitant, je demeure perplexe. Mais visiblement elle n'attend que ça. Alors je donne un petit coup sec et franc. Elle sursaute et pousse un petit gémissement, tout

Voilà déjà 2h que la belle s'affaire dans sa penderie. Elle tire, elle range, elle essaie, vêtements d'été, d'hiver, chaussures. De quoi ouvrir une boutique de seconde main. Je passe de temps en temps pour demander si tout va bien, et je la retrouve le nez dans l'armoire, ou en train de remplir des cartons. Ici et là, pèle-mêle, traînent chemisiers, sweats, culottes et chaussettes. De quoi éveiller les idées, mais il n'est pas temps de la déconcentrer, alors je m'installe dans le séjour avec un bouquin. Soudain je reçois un MMS d'elle qui fait une moue sensuelle. Elle me demande de la rejoindre, ce que je fais. Je pose mon livre sur le bras du fauteuil et me dirige vers le dressing, où je la trouve en dentelle, dans une pose polissonne. Les cheveux remontés en chignon improvisé, elle s'est parée d'une exquise lingerie de dentelle blanche transparente, qui laisse à voir sa somptueuse féminité. Elle me sourit avec son air taquin et tout en me regardant

Sur sa divine peau lisse, ses doigts longs et fins se glissent en direction de son exquis calice. À deux doigts de son intimité, la belle éveille sa féminité, dévoilant avec sensualité, sa merveilleuse nudité. En un éclair et avec doigté, elle défait son sous-vêtement, lentement la fermeture éclair descend, faisant crisser chacun de ses crants. Du bout des lèvres je voudrais la tutoyer, sur ses jolies lèvres j'aimerais déposer de doux baisers, comme pour lui murmurer d'intimes secrets... M.C.

Là un peu plus haut, la belle est allongée nue sur le lit. La scène est si belle qu'il me faut vous la décrire. Éclairée par la douce lumière du jour qui perce par les fenêtres, elle s'étale de toute sa féminité exquise. Son corps ondule comme des vagues de plaisir sur un océan de désir. Ses mains délicates se font caresse sur sa peau de nacre et suscitent ici et là frémissements et frissons. Les yeux fermés comme pour savourer l'instant, elle se crispe et se cambre à mesure que ses caresses se font plus intimes. Généreuse et fière, sa poitrine délicieuse se dresse, et entre ses doigts fins, elle pince ses tétons mutins. Ses lèvres se plissent, se pressent, elle se mordille de désir, comme pour réfréner cette vague de plaisir qui peu à peu submerge ses sens. La respiration haletante, le cœur bondissant, ses mains aventureuses migrent lentement vers son entrejambe. À nouveau son corps ondule et se place de sorte qu'elle puisse du bout des doigts effleurer son intimité sa

Nous marchons dans la nature, comme souvent lors de belles journées ensoleillées après le déjeuner. On flâne, on observe les oiseaux, on déambule entre les bois et l'eau. Le temps est doux pour le milieu de l'automne, mais c'est agréable de sentir ce soleil sur la peau, et pouvoir n'être que si légèrement vêtu. En effet, la belle voyage léger, simplement perchée sur ses talons ouverts, elle ne porte qu'une fine robe rouge qui contraste avec la nature qui nous entoure. Mais elle est si belle dans sa robe qui laisse deviner ses jolies formes. Elle marche devant moi, d'un pas lent, laissant danser ses hanches. Puis elle prend appuie sur une rampe de bois. Elle observe l'horizon, respire à pleins poumons, gonflant sa poitrine qui semble vouloir se libérer de sa robe ajustée. Elle passe ses mains dans ses cheveux, s'étire de toute sa féminité, puis laisse ses mains vagabonder sur ses seins, sa chute de reins, ses hanches qu'elle balance lentement. Ses mai

Tant d'injonction quand on est femme, tant de pression que l'on se fane. Ne pas trop grossir pour toujours plaire, Pas trop de plaisir ce serait vulgaire. Donner son avis ? Mais pour quoi faire ? Contente-toi d'être jolie, Ça fera bien l'affaire. Prends garde à tes ambitions, Préfère plutôt la soumission. Voilà comment le monde d'aujourd'hui, Conditionne le reste de ta vie. Mais il existe une autre voie, Celle de faire entendre ta voix. En ce monde ici-bas, Tu as tous les droits. Le droit d'être toi, De porter des bas, D'être femme de loi, Présidente même pourquoi pas. Aucune limite à tes envies, Tu peux tout rêver et tout faire dans la vie, Tout bâtir, construire, Et tout obtenir. Sortir du cadre n'est pas un affront, C'est la solution. Ni pardon, ni permission, Juste vivre sa vie avec passion. M.C.

Ce soir la belle est taquine, et ne manque pas de me le faire sentir. Un brin coquine, elle m'entraîne dans la chambre et me fait m'assoir dans le fauteuil placé dans le coin, avant de s'engouffrer dans la salle de bain. Je me mets à l'aise et laisse mon esprit vagabonder, pendant que la belle se fait désirer. Un instant plus tard, la porte s'ouvre, une musique langoureuse retentit de la petite enceinte sur la table de chevet, et la belle sort vêtue d'une nuisette jaune toute en transparence, qui laisse à deviner d'élegants sous-vêtements assortis. Elle commence à se trémousser lentement, puis à danser avec grâce et volupté. Ses courbes se meuvent avec sensualité, ses hanches se balancent délicieusement, ses doigts fins passent dans sa chevelure ondulée, son visage doux et lumineux rayonne. Elle est si belle dans cette tenue. Lentement elle se saisit des bretelles de sa nuisette et fait mine de vouloir l'enlever, avant de les remonter en souriant, et lan

Il fait chaud cet après-midi là, je me sens enfermée dans mes quatre murs, seul le soleil pénètre mon intérieur par la fenêtre du séjour. La chaleur est telle que je suis nue, je viens de finir ma vaisselle, j'entends ma machine à laver biper. Je me saisis de la corbeille à linges, je retire mes fringues de la machine et je commence à les étendre sur le tancarville. D'un côté ma lingerie et de l'autre mes vêtements. Je sens le soleil me caresser la peau et cette sensation est tellement agréable que je reste un instant, avant de réaliser que je suis nue à ma fenêtre et qu'en contrebas, un homme profite de la vue. Dans un sursaut de surprise, je me cache derrière l'étendoir, et lui de tourner la tête comme si de rien était. Puis il tente discrètement de me regarder de nouveau et prise par l'envie de me montrer, je lui lance un clin d'œil et montre une jambe. Je crois que j'ai attiré son attention, car il s'est tourné vers moi, tout en me regardant avec

Nous avions le projet de sortir boire un verre en ville. Prêt à partir, je n'attends que la belle qui se fait désirer. Je fais les cents pas, puis je l'appelle et lui demande où elle en est. - Je suis prête ! Je t'attends sur la terrasse ! Je sors pour la rejoindre et je la trouve assise dans la chaise longue, et pas du tout en tenue pour sortir boire un verre, mais ça n'est pas pour me déplaire. Elle sourit en voyant ma réaction, et laisse glisser ses mains sur son corps divin. Délicieusement vêtue d'un bel ensemble sexy, mêlant cuir et transparence, toute en élégance. Sa tenue dessine parfaitement ses courbes sensuelles, le haut transparent met merveilleusement sa poitrine en valeur et ses cuissardes élancent sa silhouette tout en sublimant ses jolies jambes. Elle se lève de la chaise, attrape ma cravate et me tient comme en laisse et de la suivre je m'empresse. Ses jolies fesses et ses hanches dansent de gauche à droite lorsqu'elle marche, ses talons claq

Telle une ode à la passion, la belle minaude avec provocation. Toute de rouge vêtue, elle fait fi de sa vertu. Des bas nylons couleur carmin, dessinent ses jambes comme au fusain. Corsetée dans une guêpière écarlate, sa dentelle contraste sur sa peau nue délicate. Entre ombre et lumière, se dévoile sa beauté singulière. Sublime poitrine galbée, offerte avec générosité. Cambrure exquise d'une féminité insoumise. La belle diablesse envoûte et charme, et à qui est ensorcelé ne reste alors plus que ses larmes. M.C.

Belle et sensuelle dans son body noir en dentelle. Elle se dandine, pavane, et me charme. Élégante et taquine, elle déambule et danse, une chorégraphie envoûtante, qui éveille peu à peu mes sens. Elle s'offre de toute sa féminité et laisse à cœur ouvert s'exprimer toute sa beauté. M.C.

L'après-midi est belle et douce, je suis dans le jardin à bricoler, pendant qu'à l'intérieur la belle est restée se reposer. J'ai un peu chaud et j'ai envie de boire, alors je vais pour entrer et étancher ma soif, lors-qu’à travers les lames du store du séjour, je vois la belle sur le canapé en train de bouquiner. La chaleur semble l'avoir gagnée, puisqu'elle ne porte que de la lingerie. Elle est si belle, concentrée dans son ouvrage, touchée par ce qu'elle lit dans ces pages, son émotion est presque palpable. Absorbée, elle lèche le bout de son doigt pour l'aider à tourner les pages à mesure que l'histoire défile et que le temps file. Je reste là, à l'observer voyager dans son imaginaire et laisse le mien vagabonder. Ce que j'aimerais à cette instant savoir lire sans son esprit, mais je ne peux que me contenter de la contempler et patienter jusqu'à ce qu'elle me raconte ce qui l'a ainsi absorbée. M.C.

Il y a celles qui minaudent pour attirer l'attention, qui pose dans un vain jeu de séduction. Celles un peu frêles, qui en perdent leur naturelle. Celles bien trop à l'aise, parfois un peu niaises, qui mettent malaise. Et dans tout ce panel, il y a une femme, belle, sensuelle, au charme naturel, qui lorsqu'elle pose, en impose. Sans chichis, ni minauderies, juste par sa grâce, son élégance. Sous l'objectif, elle est elle en toute circonstance. M.C.

Voilà 2h que je suis là, à pianoter sur mon PC pour terminer un dossier. Je vois la belle qui déambule en faisant les cents pas, et je sens qu'elle minaude autour de moi, qu'elle n'a pas du tout l'intention d'être sage.Elle commence par lentement retirer le pantalon qu'elle portait, le faisant glisser tout près du corps, pour bien dévoiler ses hanches, le galbe de ses fesses et ses jambes sublimes. Elle se trémousse avec sensualité, en me tournant autour comme pour me charmer. Presque impossible de ne pas la regarder, j'essaie de demeurer concentrer, mais elle sait y faire pour m'émoustiller.Me voyant tâcher de rester imperturbable, elle poursuit en retirant tout aussi sensuellement son sous-vêtement, qu'elle fait tournoyer au bout de son index taquin, et me le lance, tout en me lançant un clin d'œil mutin. Je sens le désir m'envahir, j'ai chaud et mon cœur palpite dans ma poitrine.Elle vient s'asseoir près de moi, joue avec son petit

Telle la nature automnale, qui aux portes de l'hiver procède à son effeuillage, la belle aux courbes sensuelles se dévoile. Observateur averti, je la contemple émerveillé, en train de lentement se dénuder. Un vêtement glisse par ici, un autre se soulève par-là. Et voici la délicieuse déesse qui s'effeuille avec élégance et nonchalance. Subjugué par une hanche délicieuse, une cuisse malicieuse, où se perd lentement son délicat sous-vêtement. Subtile suggestion, ultime tentation, celle où se devine l'antre sacrée de sa somptueuse féminité. Ainsi sans ambages se clôt le divin chapitre d'un bel effeuillage... M.C.

Ce qu'elle est belle au naturel. Cheveux rassemblés en un chignon improvisé, sans chichis, juste merveilleusement épanouie. Elle revêt avec charme et élégance, une jolie nuisette bleue ciel toute en transparence. Celle-ci dessine les courbes sensuelles de sa féminité. Ainsi l'on peut deviner sa voluptueuse poitrine, ses hanches divines, son nombril mutin, qui se laisse deviner, tout comme sa somptueuse intimité derrière un voile fin et raffiné. Un brin taquine, le sourire aux lèvres, le regard pétillant qui étincelle, la belle use de ses charmes naturels et peu à peu m'ensorcelle. À ses volontés je m'abandonne, et me laisse porter par delà les nuages du septième ciel... M.C.

J'aime sentir sur ma peau la finesse de ma lingerie, observer le galbe de mes jolies fesses arrondies. Sur ma peau hâlée se dessinent les volutes de ma dentelle fine qui se dévoile à mesure que se glisse le cuir de ma jupe. Du bout des doigts j'aime me saisir de l'étoffe raffinée et esquisser les courbes sensuelles de ma féminité. Je me laisse envoûter par les frémissements suscités, tout en faisant naître en moi des envies de sensualité. Je me sens désirable, irrésistiblement désirée, et n'attend que l'instant divin où mon corps peu à peu dénudé, trouvera de tendres mains qui sauront m'apprivoiser... M.C.

À toi petit organe érectile,  Je voudrais t'adresser ces vers. À toi qui aime le langage subtil, Je voudrais trouver à te plaire. Cerise sur le gâteau du beau sexe,  Tu rougeois quand on t'apprivoise. Source d'un plaisir sans complexe, Lorsque tu tutoies l'extase. Petit par la taille, Mais grand par l'excitation, Tu es bien plus qu'un détail, Qui aspire à de tendres succions. Véritable joyau de l'orgasme, Bouton de rose en éclosion, Tu procures frissons et spasmes, À qui sait jouer d'intimes stimulations. En très peu de mots dire, Je t'ai sur le bout de la langue. Je ne demande qu'à te faire frémir,  Et qu'à force de plaisir tu en tangues. Je m'applique à lire sur tes lèvres, À comprendre ton langage charnel. Celui d'un amour qui nous enfièvre, Nous rend d'humeur badine et sensuelle. M.C.

Nous avons passé l'après-midi à marcher, se faufilant entre deux averses pour découvrir la ville où nous passons le week-end. Nous décidons d'aller nous réchauffer dans un café qui nous a été recommandé. La façade en colombages nous transporte soudainement dans un autre temps et l'intérieur nous plaît tout autant. Un barman accueillant nous invite à prendre place près d'une fenêtre qui donne sur la rue passante. Le ciel est bas et la pluie fine tombe sur les badauds qui enjambent les flaques d'eau. Un grand chocolat chaud, et un café viennois généreusement garni de chantilly nous sont servis. Tes mains enserrent la tasse pour se réchauffer, et je souris de te voir grelotter, tu sembles frigorifiée et tout en me regardant te sourire, tu me lances le tien avec malice. Tu te lèves, et viens t'asseoir près de moi pour que je te prenne dans mes bras. - Il fait meilleur ici ! Dis-tu en t'enveloppant dans mes bras. On regarde tout deux par la fenêtre, nous amusant

Recevoir un SMS un peu coquin, me demandant quand j'allais rentrer, et ne plus penser à rien qu'à ce qui peut m'attendre à la maison. Imaginer mille et un scénario et laisser vagabonder mes pensées. Je dois avoir faim car je l'imagine dénudée sous un tablier de cuisine à préparer ses délicieux muffins. Je ne tiens plus, impossible de me concentrer. Je range mes affaires et saute dans ma voiture, direction la maisonnée.  À mon arrivée, pas un bruit, pas une odeur pouvant témoigner d'un indice sur ce que la belle est en train de concocter. Je m'allège de mes affaires, passe la tête dans le séjour, puis la cuisine, espérant sentir le doux parfum de muffins sortant du four, mais rien, ni personne. Je me rends dans la chambre où ne trouvant personne je me déshabille et je file prendre une douche bien chaude. Je me sèche et enroule la serviette autour de ma taille avant de croiser ma mine cernée dans le reflet du miroir. Une petite moue et je file, je n'y ferai ri

La belle en déshabiller de soie, joue les impudente lorsqu'elle me voit. Toute de rouge vêtue, sourire narquois, elle semble vouloir se jouer de moi. Non sans malicieuse désinvolture, elle use de ses charmes et ajuste sa posture. Espiègle tout autant que sensuelle, elle fait montre de tout ses attributs naturels. Son outrecuidance frôle l'impertinence. Délicieuse mutine cachée sous un masque d'indolence, qui taquine, envoûte mes sens. Ses lignes et ses courbes exquises qu'elle dévoile avec hardiesse et effronterie, ont raison de mon esprit. Belle et culottée, elle éveille ma curiosité. Derrière son joli minois, se cache mon désarroi. Je voudrais lui résister, ne pas succomber, mais la tentation est telle, que je m'offre tout à elle. Je fais fi de son impertinence, et succombe à ses charmes, et son élégance. M.C.

Au loin je perçois un fond de musique, qui semble provenir du salon. Lorsque j'y arrive, je vois la belle étendue là, de tout son long sur la méridienne. Le regard tourné vers la fenêtre, elle semble savourer l'instant, paisible et calme. La douce lumière qui perce le voile des rideaux, illumine son visage au repos. À demi-nue dans son peignoir fin, elle se détend, et se prélasse. Ses jambes glissent l'une contre l'autre, se frôlent et s'enchevêtrent. Profitant de ses mouvements lents et délicats, sont peignoir s'ouvre pour laisser à paraître courbes sensuelles et délicieuse dentelle. Son parfum subtil embaume l'air et envoûte mes sens. Comme charmé par sa beauté allanguie, auprès d'elle je me suis assis, et de la caresser, délicatement j'ai entrepris. Du bout des doigts j'ai dessiner son corps, et effleuré son cœur. Mes lèvres tendres et gourmandes se sont aventurée sur sa peau douce et sucrée, dont lentement je me suis délecté. Peu à peu nos co