En Toute Sensualité

La soirée s'est terminée, tous convives sont partis, je m'attelle à la vaisselle. Je lave et je rince pendant chéri essuie. On se fait notre debrief de la soirée comme on aime bien le faire, et je sens qu'il me regarde avec envie. Je dois dire que je l'ai un taquiné toute la soirée. Déjà avec ma tenue, je sais que cette petite robe aussi simple soit-elle lui fait beaucoup d'effet. Certainement parce qu'elle est très près du corps et dessine bien mes courbes. Puis je lui ai fait du pied discrètement sous la table à deux ou trois reprises. Et aussi dans cuisine en allant chercher le dessert, il se peut qu'il ait vu que je ne portais pas de culotte en me penchant. Bref, je pense qu'il est mûr, mais il est sage jusqu'à présent. Il se contente d'essuyer la vaisselle en me regardant. Je me mets à dandiner sur place au rythme de la musique de fond. Je fais danser mes hanches et je sens son regard sur mes fesses. Je me sèche un peu les mains et saisissan

C'est le milieu d'après-midi, je prends le temps de rassembler mon linge et de me rendre à la laverie. Panière sous le bras, lave-linge rempli, je lance le programme, plus qu'à patienter. Assis sur l'un des bancs perdu dans mes songes, j'entends retentir les carillons de la porte d'entrée et suivent le tic tic tic, de talons hauts sur le carrelage. Une jeune femme aux jambes élancées s'avance les bras chargés d'une panière de linge prête à déborder. Un élan, je me lève et m'apprête à la rattraper, car ne voyant pas où elle met les pieds, celle-ci manque de tomber. Elle me remercie et me salue gentiment avant de reprendre son chemin en souriant. Je me rassoie et reprends le fil de mes songes. D'ailleurs je remarque que la jeune femme s'y est invitée. Son sourire reste comme gravé à mon esprit, comme l'aura du soleil lorsqu'on ferme les yeux et qui tapisse nos paupières. Je me surprends à jouer les indiscrets, en observant la demoiselle

La nuit a été douce et intense, mon bel amant et moi avons fait l'amour jusqu'aux premières lueurs du jour. Il a dû partir tôt ce matin et depuis le lit me semble vide et froid. Enroulée sous les draps, je suis parvenue à me rendormir un peu. À mon réveil, je sors du lit me faire couler un café, trouve un livre qui traînait là et humant les arômes de café chaud, je me mets à lire. Peu à peu, je sens que mon corps s'éveil. Je sens comme un frisson me parcourir, dans mon bas-ventre né le désir. Les mots s'emmêlent et mon esprit s'évade dans les souvenirs de mes ébats de la veille. Je me sens toute excitée, éprise d'un profond désir de faire l'amour, mais le bellâtre n'est plus là. Que faire ? J'ai tellement envie. Envie de lui, de ses mains fermes sur mon corps frêle. Envie qu'il me parcours de ses baisers tendres. Et à cette simple pensée, je sens ses mains chaudes se poser sur moi, sur mes épaules, mes bras. Je sens ses lèvres douces sur mes main

Tout commence dans l'intimité de la chambre. Ici et là quelques bougies qui scintillent, réchauffent l'ambiance. La musique, lentement, installe la sensualité de l'instant. Sur le lit, la belle est allongée nue, et ses courbes s'animent au rythme des flammes qui dansent tout autour de nous. Les bras au-dessus de la tête, la belle est ligotée aux barreaux de la tête de lit avec un ruban de soie noire. Ce soir elle est toute à moi, et je compte bien lui faire découvrir milles et un plaisir. Elle sait qu'à tout moment elle peut elle-même défaire ses liens, mais l'excitation du jeu est tellement, qu'elle demeure immobile et docile. Prenant garde de ne pas l'écraser, je suis placé à califourchon au-dessus d'elle, et je me penche pour l'embrasser. Déposant délicatement mes lèvres sur les siennes, je sens la douce chaleur de sa bouche, sa langue s'invite dans nos baisers et vient chercher la mienne. Lorsqu'elles se trouvent, commence un ballet s

J’aime tant lui donner l'illusion d'être obéissante, lui faire sentir qu’il me possède alors qu’il est l'esclave de mes désirs indécents. J’aime lorsqu’il me menotte, me ligote, lorsque mes tétons il suçote. J'aime lorsque tel un prédateur il tourne autour de moi, me regardant telle une proie, laissant ici et là traîner ses doigts. J’aime sentir son souffle chaud sur ma nuque faisant frissonner ma peau, ses mots doux glissés à mon oreille, et que de mon corps il s’émerveille. J'aime qu'il soit le bourreau de mes plaisirs, qu'il me fasse si délicieusement jouir. M.C.

L'après-midi est belle, le soleil en parvenu à percer l'épais manteau nuageux et nous réchauffe de ses rayons. Il fait si doux que la belle a ressorti son minishort, comme pour se convaincre du retour imminent des beaux jours. Ainsi, dans une forêt de bois vert, nous marchons main dans la main en flânant dans cette nature qui renaît. Le sol est jonché de feuilles et de mousses sur lesquelles perlent des gouttes de rosée. Ce bain de nature verdoyante nous éveil les sens, tout semble comme décuplé. Les bruits, les odeurs, la perception des formes, des couleurs, tout prend une dimension exaltante. Au cœur de la forêt nous trouvons un petit étang éclairé par un puit de lumière. Toute une vie féerique semble se tenir là. Nous trouvons un large tronc d'arbre tombé là pour nous assoir et profiter du spectacle de l'instant. La pose sa tête sur mon épaule et je l'enveloppe de mon bras. Après un moment, elle tourne la tête et m'embrasse dans le cou, en remontant vers mon

Ce soir la belle aux cheveux d'or se sent d'humour joueuse et taquine. Alors que je viens de l'alléger de sa petite robe noire, je découvre ses courbes somptueuses, sa ravissante lingerie fine. Un très beau soutien-gorge pour envelopper ses seins, un tanga divin qui esquisse avec délice le galbe généreux de ses fesses, une jolie paire de collants élégants qui dessinent ses jambes vertigineuses et de jolis talons hauts qui élancent sa merveilleuse silhouette. Prise par un brin de folie, après un langoureux baiser volé, la belle s'élance sur le lit. Allongée et offerte, elle m'attend impatiemment pour plus de coquineries et ensemble se découvrir lors de mille et un plaisir. M.C.

Dans la douce intimité de ma salle de bain, immergée de toute ma féminité, je me détend et me prélasse. Laissant perler de délicates gouttes d'eau sur ma peau, je savoure chaque sensation, comme une montée d'excitation. Invitation à la tendresse, je n'attends que les mains de mon amant pour l'ouverture d'un ballet de caresses. Mais en attendant qu'il me rejoigne, ce sont mes mains qui glissent avec malice sur mes courbes de délices, effleurant timidement mon intime calice. Je sens une intense vague de chaleur me parcourir, je poursuis avec doigté mes sensuelles caresses, jusqu'à provoquer mon désir et dans l'eau chaude et enveloppante, me mettre à jouir... M.C.

Il est 19h30 passé et je rentre tout juste. La belle est sous son plaid à regarder une série à la TV. Je me penche pour l'embrasser et nous prenons un instant pour discuter, nous raconter notre journée. Puis elle me dit que le temps que je prenne ma douche le dîner sera servi. Alors je file prendre une bonne douche avant que nous ne passions à table. - Chéri ! Viens voir à la cuisine s'il te plaît ! J'ai besoin d'aide. - J'arrive ! Et en effet, j'arrivais, lorsque passant le pas de la porte, je la découvre entièrement nue sur l'îlot de la cuisine. Elle est allongée sur une grande nappe blanche, et son corps est parsemé de quelques makis et sushis. En fond sonore, une musique aux notes d'Asie et tout en me regardant l'air amusé, elle me tend une paire de baguettes en disant : - Le dîner est servi ! Agréablement surpris, je m'avance, fais le tour de l'îlot pour la contempler et en souriant je me saisi des baguettes qu'elle me tend. Je comme

Comme une fièvre qui monte en moi, je sens la douce chaleur d'un désir ardent qui me met en émoi. Alors sur mon corps glissent mes doigts, comme pour montrer le chemin à mon délicieux amant qui demeure pantois. Longeant ainsi la fine dentelle de ma lingerie, je lui lance du regard le plus torride des défis. Celui de me parcourir de tendres baisers, jusqu'à laisser exhaler ma somptueuse féminité. Je n'attends que l'instant où sous ses doigts, je pourrais savourer l'expression de ma sensualité. Qu'avec délicatesse et doigté il découvrir le joyau divin que renferme mon intimité sacrée. Puis dans un ultime gémissement de plaisir, haletante et exaltée, je désir sentir mon corps exulter dans orgasme intense et puissant à m'en faire perdre pieds. Que la raison m'abandonne aux portes de la jouissance, que cette petite mort révèle mon essence. M.C.

Lorsque je la vois ainsi belle et offerte, seulement vêtue de sa plus fine dentelle, je ne peux résister à l'envie de m'agenouiller devant la belle aux cheveux d'or. Subjugué et envoûté par sa presque nudité, je ne demande qu'à savourer sa délicieuse féminité. Sentir qu'en elle s'éveil le désir, s'anime la sensualité, et bouillonne sa volupté. Je n'aurais alors de cesse de caresser avec adresse et doigté ses courbes si délicieuses, jusqu'à ce que d'envie la belle frémisse. Alors sous son regard perçant, je ferai fi de son dernier sous-vêtement, et avec sa permission, je prendrai le temps de savourer gourmand son doux fruit de la passion... M.C.

Quel regard plus vrai, plus authentique, que celui que l'on porte sur soi ? Ainsi la belle a décidé que pour explorer les confins de sa féminité, et trouver son essence, elle serait son propre sujet d'inspiration. Aussi, un matin, elle s'est installée une toile, a sorti ses pinceaux et ses palettes de couleurs, s'est mise à nue et s'est placée face à un miroir pour y voir le reflet de son âme. Elle se fît d'abord sourire de se voir ainsi nue, puis à force de se regarder, d'observer sa nudité, sa féminité, son intimité, elle a ressenti sa vulnérabilité, sa fragilité, une forme d'insécurité. La peur de se trouver laide, mêler à la crainte de se trouver belle. Paradoxe de l'ego, qui cherche à nous flatter, tout autant qu'à nous mésestimer. Elle commença à laisser glisser ses pinceaux sur la toile immaculée, créant lignes et courbes, jouant avec les couleurs, les ombres. Petit à petit se dégageait une silhouette, puis des formes paraissant quelque pe

Ce soir nous avons prévu d'aller au cinéma. Pas sûr que le film me plaise, mais ça lui fait plaisir et moi ça me fait un peu sortir. Je ne saurais dire pourquoi, mais à peine arrivé dans le hall d'entrée que je sens en moi une vague de chaleur m'envahir, comme une bouffée d'excitation venue sans crier gare. Je tâche la faire taire, nous prenons les billets et faisons la queue pour le popcorn. L'homme à l'entrée des salles déchire nos billets et nous indique la salle qui nous concerne. Celle-ci est presque déserte, et nous nous installons sur une banquette double pour être plus à l'aise. Et moi je ressens toujours cette chaleur lancinante qui me parcours le bas-ventre. Je sens même l'excitation dans ma poitrine, mes seins frémissent et mes tétons se dressent sous le tissu de ma robe. Je croise les jambes comme si ça allait suffir à faire taire mon désir, mais c'est en voyant ma cuisse nue, qu'il posa sa main sur moi. Les annonces de films comment

La belle est venue frapper à ma porte pour partager un instant et boire le thé. Mais c'était sans compter cette attirance irrépressible qui nous lie sans pouvoir l'expliquer. Après avoir bu notre tasse de thé, nos corps se sont inexorablement rapprochés. Une main sur son épaule, la sienne sur ma main posée sur sa cuisse. Nos regards s'évitent autant qu'ils s'attirent, et ça nous fait sourire. Cette attraction incontrôlable, transcende la raison, éveille le désir et la passion qui nous anime et à laquelle nous tentons de résister, mais à quoi bon ? J'ai tellement et si souvent envie d'elle... Elle me regarde avec tendresse, ses mains entourent mon visage, elle scrute le mien de ses yeux doux et scintillant. Je la contemple en retour, empreint de désir et d'amour. Je la trouve si belle. Nos lèvres se touchent, se goûtent, nos baisers s'embrasent, nos langues s'enlacent. Le désir s'éveil et nos corps s'entremêlent dans un tendre ballet de ca

Il est tard, et la belle m'a envoyé un message demandant de la rejoindre à son bureau. Ce soir c'était le repas de Noël dans leur locaux. Lorsque j'arrive, tout le monde semble être sur le départ. J'entre et un collègue qui me reconnaît me dit qu'elle est à son bureau, comme souvent c'est la dernière à quitter le bureau. Plus je gravis les étages et moins je croise de monde. Tout est décoré, partout des guirlandes, des sapins, des pères Noël, habillent les open space et les bureaux. Arrivé à son étage, plus un bruit, à peine quelques lumières, l'endroit paraît désert. Je longe le couloir qui mène à son bureau et je l'y vois assise sur son fauteuil, paressant pensive. Je m'avance sans un bruit, et pose une main sur son épaule. Elle sursaute de surprise et quand elle me voit, me sourit. - Tout s'est bien passé ?  - Une soirée de Noël très réussie, oui ! Mais je suis contente que tu sois là, je n'avais pas d'envie de rentrer seule. Merci d&#

La soirée s'annonce musicale. Assis dans le séjour, j'entends flotter dans l'air quelques douces notes de musique. Je me lève discrètement et m'approche de la bibliothèque dans laquelle se trouve la belle qui laisse courir ses doigts sur le clavier de son piano. Quelques mélodies improvisées, certaines plus entraînante, d'autres plus touchantes. Des airs qui transportent, qui laissent s'imprégner des notes. Elle est si belle lorsqu'elle joue. Happée par la mélodie, parcourant avec doigté et légèreté les touches de son instrument, elle joue sans partition, juste à l'oreille, elle suit son intuition, et me donne des frissons. C'est presque érotique de la voir laisser glisser ses doigts sur le clavier. Chaque touche enfoncée pousse un son mélodieux qui nous rapproche des cieux. M.C.

Ce soir visiblement la belle a décidé de me surprendre. Elle m'a demandé d'aller m'assoir sur le canapé après avoir allumé quelques bougies et mis un peu de musique. Je me suis donc exécuté, j'ai allumé quelques bougies qui se trouvaient là, trouvé une playlist sympa, puis suis allé m'assoir. Après un instant, la belle est apparue dans le séjour, lumière tamisée, en marchant lentement, d'un pas gracieux et élégant. Elle était venue de rouge, telle une Mère Noël plutôt sexy. Un bonnet de Noël couvrait ses cheveux longs cheveux et elle portait une robe bustier qui m'était merveilleusement sa poitrine en valeur. Sa robe rouge, piquée d'une hermine blanche s'arrêtait à mi-cuisses, perchée sur de hauts talons noirs, de longues chaussettes hautes aux couleurs de sucre d'orge dessinaient ses jambes exquises, et de longs gants rouges couvraient ses mains et ses avant-bras. Elle était superbe dans cette tenue de Noël. Un avant-goût des fêtes qui n'éta

Il fait si froid dehors, un air glacial qui mord la peau et raidit les muscles et pourtant, comme chaque matin, tel un rituel, la belle se lève, enfile son peignoir et se rend à l'extérieur. Cela ne dure qu'un instant, mais elle respire à pleins poumons, ouvre son peignoir comme pour offrir son corps à la rigueur de l'hiver, puis lorsque le froid la saisie, elle s'enveloppe à nouveau dans son peignoir et retrouve le chemin de l'intérieur.  Ce matin-là, je suis sous la couette à observer sa silhouette frigorifiée, sa peau frissonnante et frémissante, et pourtant sur ses lèvres s'esquisse un large sourire, son regard se remplit de tendresse, et j'y devine même de l'espièglerie. Elle ouvre son peignoir, se libère de ses sous-vêtements pour se dévoiler entièrement nue. Elle passe ses mains sur son ventre, remonte lentement sur ses seins et son peignoir glisse de ses épaules et tombe à terre. Féline, elle s'avance à quatre pattes sur le lit, vient me rejo

Ce que j'aime à contempler les douces collines qui surplombent sa poitrine. Deux délicieuses demi sphères qui ornent avec élégance son joli corps de déesse. Une belle auréole en dessine le sommet, et tout en haut un téton fièrement se dresse. Merveilleuse poitrine, douce au toucher, que l'on prend plaisir, tantôt à contempler, tantôt à effleurer, voir à lécher ou même suçoter. Délicats reliefs qu'une main peut gravir, envelopper, caresser. Symbole de féminité, vibrant de désir, un avant-cœur précieux emplie d'émotions qui s'offre avec prudence et précaution. M.C.

Entre ombre et lumière, la belle dans un ballet sensuel, laisse à deviner sa jolie silhouette. En ombre chinoise, derrière son ombrelle de papier, se dessine sa féminité. L'on devine avec plaisir les courbes de ses hanches, le bel arrondi de ses fesses, et subtilement suggéré, le galbe d'un sein indiscret. Comme protégée par son ombrelle, elle se pavane avec charme et sensualité. Toute en élégance, son corps se meut avec grâce, tout en suggérant l'intimité de sa féminité. Qu'il est doux et délicieux d'ainsi la contempler, tout en souhaitant discrètement pouvoir ne serait-ce que l'effleurer, du bout des doigts toucher sa précieuse et délicate féminité sacrée. M.C.

L'après-midi décline pour peu à peu faire place au début de soirée, et la belle est en pleine décoration de Noël. Ici boules et guirlandes, là sapin et lutins malins qui prennent place, presque semblant prendre vie. L'ambiance cartons de déménagement, se transforme lentement en féérie et magie de Noël avec bougies et musiques pour parfaire l'instant.  Comme à notre habitude, on se taquine, on joue, on se titille, et il n'allait pas en être autrement aujourd'hui. Se faisait de petites farces ou jouant à provoquer le désir, nous ne manquons pas d'imagination tout les deux. Puis l'on commence à se déguiser avec les accessoires que l'on trouve, on ne ressemble à rien, nous sommes certainement même ridicules, mais qu'importe, on rit et ça fait du bien cette complicité. La belle disparaît un instant et pendant ce temps j'arrange les fils et les câbles des guirlandes lumineuses pour les cacher un peu et lorsque je suis prêt : - Ça y est ! Plus qu'à

La belle et moi avons décidé de nous rendre au marché de Noël du village. Bien couvert, nous marchons main dans la main en contemplant les décorations sous les chants de Noël. Ici et là des stands artisanaux, quelques chalets où se restaurer et nous sommes attirés par quelques chichis et du vin chaud. Prenant place dans un petit espace reculé pour simplement observer cette foule qui se masse dans une atmosphère chaleureuse et festive. Les mains autour de son gobelet de vin chaud, la belle grelotte et vient se blottir dans mes bras. Je sens son petit corps frissonner tout contre moi et je me surprends à la désirer. Envie de caresser sa peau, la sentir se réchauffer et son désir se réveiller. Mais le froid glacial nous pousse à quitter le village pour nous en retourner au chaud à la maison. Sitôt arrivés, la belle se précipite devant le poêle, où je la rejoins après m'être défait de mon blouson. Je la prends dans mes bras et niche mon visage dans son cou. Le bout de mon nez tout froi

La semaine a été longue, pour ne pas dire interminable, et j'ai envie prendre l'air, envie d'ailleurs. Il est 13h, mais plus envie de rien, un message à la belle pour savoir ce qu'elle fait, et elle me répond qu'elle aussi tourne en rond. Ni une, ni deux, je lui propose de se tenir prête, je quitte le bureau et passe la chercher pour une escapade improvisé. Je passe par la maison, jette quelques vêtements dans une petite valise, un nécessaire de toilette et hop, je passe prendre la belle à son bureau d'où elle s'éclipse au cœur de l'après-midi. Comme deux adolescents qui sèchent les cours pour profiter du week-end en avance, nous prenons la route direction l'inconnu, mais loin, loin de ce quotidien oppressant et de tout ce superflu. Les kilomètres défilent et le paysage aussi. Nous faisons une pause dans un coin de campagne pour prendre le temps de peaufiner notre destination, puis la belle prend le volant pour me relayer. Assis côté passager, le reg

Ce matin je me lève, la Belle est encore endormie. Je remonte la couette sur ses épaules, lui dépose un baiser et discrètement sors de la chambre. Je vais profiter de ce temps pour un peu de travail. Soudain j'entends que ça s'anime dans la chambre. Je profite qu'elle se soit engouffrée dans la salle de bain pour terminer rapidement un dossier. Quand elle sort de la chambre je la vois l'air encore ensommeillé, portant l'un de mes t-shirts et un bas de jogging à moi. - Tu comptes aller courir Chérie ? - Non ! Mais je n'ai rien à me mettre... Je me regarde, la regarde et elle réalise en pouffant de rire que je suis en caleçon. Charmeuse comme elle sait l'être, elle relève tout doucement mon t-shirt qui glisse avec délice sur son ventre, dévoilant sa peau nacrée, son nombril, puis la naissance de sa poitrine. Elle joue un peu avec mon t-shirt et mutine elle me montre ses jolis seins qu'elle prend délicatement entre ses mains. Elle me regarde intensément, no

Sous sa robe féminine se cache une femme féline. La délicatesse de ses courbes n'ont d'égales que sa fougue animale. Sa sensualité exquise camoufle une femme insoumise. Et si elle dévoile ses formes avec ardeur, elle ne montre son corps qu'avec pudeur. Son cœur sauvage fait des ravages, son âme féline demeure câline. M.C.

Que dirais-tu de prendre le temps, d'ensemble partir au gré du vent ? Se retrouver toi et moi, avec seulement le ciel pour toit. Que dirais-tu de partir loin, seule la nature en serait témoin ? S'apprivoiser, se retrouver, s'émerveiller en toute intimité. Que dirais-tu de nous libérer, nous affranchir de nos erreurs passées ? Se pardonner pour mieux s'aimer, s'écouter, échanger pour mieux partager... Que dirais-tu de m'embrasser, et partager un instant d'éternité ? M.C.